: wan devront se choisir des commissaires, Ce n'est pus lun événe-
‘pliren cet
Drgone des Catholiques française du Nord-Ouest
u chagu \ 000 versonnes
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f5ème Année | ÉFE> 2.705 À la veille des élections scolaires ' «… #
[L est des sujets sur lesquels il faut sans eesse revenir: ils sont à lt fois toujours anciens et toujours nouveaux, Toujours anciens re que nos ancêtres ont eu à les étudier comme nous et que les cir- astuces présentes, identiques à celles du passé, nous les ramènent els quels sans aucune altération; toujours nouveaux, parte que leur sualité est plus pressante que jamuis, et que, la mémoire étant la faculté d'oublier et non celle de se souvenir, ils se présentent souvent à Pesprit comme s'ils n'avalent Jamais existé,
Das qudlques jours tous les distriets d'écoles de la Suxkateche-
meut bien uouveau: il revient chaque année, depuis 20 aus, à la mé- me date. Cependant, c’est peut-être encore le petit nombre chez nous qui se soient avisés de l'important devoir que tous nous avons à rean- Le occasion, ‘À certains points de vue, Pélection de ces of-d fiers revêt un sens autrement plein et une portée autrement sérieu- s que celle des députés qui siègent aux assises de la nation, soit à Réginà, soit à Ottawa. Il nous est inutile de nous ménager des dé- fenseurs daus les divers parlements du..pays, si l'école trahit la foi et pervertit l'âme française de nos enfants.
LES CATHOLIQUES ET L'ECOLE. ,
Que notre avenir se joue actuellement dans nos écoles, tous l'ud- mettent. Oui, entre les murs parfois très pauvres et très ressertés de nos alles de classe, ée forment ou se déforment les générations qui viendront après la nôtre et devront nous représenter dans le concert des peuples futurs, ‘ |
Cependant entre l’admission de ce principe et l'adoption des mo- kens qui mettraient l'école à couvert de toutes les attaques et les en- reprises de l'ennemi, que la marge semble difficile à franchir! Les catholiques ont toujours ‘été lents à comprendre la main mise de l'e- cole sur Pavenir.- De fuit, ils ont été les derniers à faire servir pour le bien ces forces toutes puissantes sur le destin des nations et des in- dividus, qui s'appellent lécole, le journal, le cinéma, le radio. Coin- ment expliquer ce manque de prévoyance, cette indifférence erimi- nelle, cette sécurité insouciantie et coûpable chez des gens qui se pro- dament. les disciples du Maître dont toute la vie s’est passée à redire: “Yillez ct priez; le ciel souffre violence; les fils des ténèbres seront- ils toujours plus sages que Les fils de lumière?” LA LECON DE L'HISTOIRE.
L'histoire se répète ct elle se répète contre nous. Il n'a pas fal- lu un siècle pour changer complètement par l'école lu physionomie de la France’, et pourtant la France avait dans les veines.qninze siè- cles de christiani$me. [l'a fallu moins que celu pour faire des Etats- Unis lu terre classique de l’apostasie irlandaise; et-préparer à VE atholique en ce pays un aveuir des plus sombres, si elle ne sapvuvail encore sur la fécondité des races jeunes qui v émigrent et l'âme hau- lement religieuse dés’ Allemands. des Polonais et des Cunudiens-fran- qi, Car, Cest ut fait que les Irlandais ne veulent pas des écoles puruistules: It où fleurit le système scolaire de l’enseignement libre, il est soutenu par des contribuables d’autres races. Mais attendons h fin: le jour ne seinble pas loin où, de Pautre côté du 450, l’école publique portera tous ses fruits au sein de nos coreligionnaires irlan- dis: Les forments imnatériulistes qu’elle y a déposés feront lever le masque, briseront cette écorce de religiosité que l’âme y garde enco- re connue le dernier vestige d’un christianisme séculaire, et mettront à nu le vide de Dieu creusé par l’école feutre, eu un rien de teurs, dns la vie d'un peuple qui a donné s6us d’autres cieux tant de saints à l'Eglise. e ..- ‘ .
Ce qui est arrivé # d'autres bien plus forts, bien nrieux trmés que nous, ne saurait manquer de se produire parmi nes populations d'écoles, On ne résiste pas à ce.voinmerce continu, à cette commu- nion joutualière de l'intelligence, du coeur, de la volonté avec des iles cl des livres, des enseignements et des maîtres qui vous prèchent de mille facons le mépris des choses du ciel et le culte des satisfac-
+
”
- tions d'icibas, “On ne réfiste pas, parce qu'il est impossible de ré-
sister. La pénétration de ees idées et de cet idéal peut prendre un wmys plus où moins long, selon que la formation première et lut- musplhiore du foyer lenr sont plus où moins réfractaires, mais rich ne saurait l'empêcher, Die sans doute pourrait faire un miracle: il est toutefois hors de ses habitudes d'en fäire pour les paresseux et pour les lches.- lARESSEUX ET LACHEÉ. on Pareseux et Liches nous le sommes, lorsque nous noûs désinié- sons de n6s écoles, lorsque nous négligeons de nous servir de Pur- ie de lu loi et de l'arme de notre vote pour monter la garde’ autour de line de nos enfants menacée par l'école. C'est le devoir des ex- thaliques de se faire représenter au bureau de direction de leurs tco- le par def commissaires catholiques et ce devoir est grave. . Or pour élire à ce poste de confiance ct d'houneur de hommes de Valeur, des catholiques convaineus et militants, if faut s'en donner k peine; il faut se rendre aux assemblées des contribuables, il faut EXpOser avec tact, habileté et fermeté le point de vue catholique ot finçais, ct quand vient le jour du vote, il faut être là avec le sien pour le l'aire peser de tout son poids daus le plateau de ja justice, Je “ai jamais comptis les parents qui suént‘sang et eau pour avoir fous Les jours du pain à mettre sous là dent de leurs enfants, ct qui ne re- ment pas une paille pour empêcher l’école d'empoisonner leurs HS Hnnortelles. UOISISSONS LES MBILLEURS. | \
Toutes proportions gardées, le devoir est aussi impérieux pour tons de choisir des-commissaires, qui-fassent respecter ct enseigner no le langue dans les écoles sontenues. par nos deniers. _Dailleurs, aNcais et catéchisme reçoivent toujours, à peu de chose près, le même laïlement, Quand nous avons élu des commissaires chez qui la no- less d'âme ne s'élève pas jusqu'à exiger pour nos enfants le respect de leurs droite et de leur langue; nous en avons élus pouï qui la “ieuce des vérités éternelles compte peu dans leur appréciation. Enfin, faisons-nous représenter par des commissaires qui ne sû “olenteront pas d’être des commissaires de bois, Si c'est un hon- teur d'avoir mérité le vote et In. confiance de ses co-paroissiens, test Ms nue charge: la visite régulière des écoles, l'application des rè- “einents scolaires selon le désir des parents, l'engagement d'institu- ae nstioncieus, Je contrôle de l’énseignement donné, sont autant
VDgations sérieusés à r ir. URE VENTRE À LINE. remplir :
À la veille des élections de nos commissaires d'écoles, nous pro Pusuns, comme sujet do méditation aux Franco-canadiens de la Sas- alchewan, la lettre suivante parue en Tribune Libre dans l'Union
d'Edimonton. . D Cu ‘ : LS (Suite à la puge.5) :
os (2
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PE EE PEER ENEEE
Où siègera M. Bourassa? ML Heuri Bourassa était de passa ige à Ottawa ces jours dernicrs, ol discuté avec M Beauchesne, grof. ‘fier, Fa question du siège q#'il oc: cupe a on Chambre. H siègora sur , . , a première rangée de droite, entre
Les activités de l'A. C. F. €. ‘M. Greonfieldl garde son iman- }les libéraux et les progressistes.
da
S
CÉEZ NOUS ET AILLEURS
a + ame sum 28 due de
Cette semaine nous avons reçu
Î . û CES du Comité paroissial de Meyronne : Pourquui M. King siègera dans
‘Edmonton, — M Greenfiold a nié
RE LANGUE!
nent à crmnnen re
le plein montant de la contribution de la paroisse aux geuvres de l'As- sociation, soit pour 59 familles que compte cette paroisse, la somme de 873.50, L'Exécuntif remercie bien sincérement le Comité paroissial de Meyronne pour sa promptitude à
” LES NOUVELLE
la rumeur qui cireubtit au suiel de sa démission comme député pro- vincial de a Rivièreda-paix, M. Greenfield a passé $on titre et sa charge de premier «ministre à M. Brownlee, mais il gu'de son siège de député, à
|
» les tribunes M. King vient de faire une dé- claration au sujet des raisons qui Font empéché de se chercher un come avant louverture des Cham- res:
glise.
M. Hrownice est avocat, cet il iséimble curieux qu'un avocat soit Monsieur Eugène Durette, secré- apoclé à présider un jouvernement taire du Comité de Shell River, nous fermier, On dirait Que le parti-fer. avise que ce comité a pris connais mier change quelque pou st poli- sance de la communication du Pré- tique, lui aui “bord Darais- aident et qu’il étudie le moyen d'a qtique, lui qui tout sporl PATES" Lde toute démarehe à laquelle on river à contribuer annucllement sa suit ètre si exclusif. Seraitne la pouvait raisonnablement s'objecter, quote-part an soutien de nos oeu- fin de ce parti politique en Alberta? j'ai cru suivre ane ligne de condui- vres nationales. Monsieur Durette: = nous dit que nous pouvons compter qu'ils feront l'impossible pour nous
répondre à la dernière circulaire de
, En cherchant, dut, & connaitre notre président,
uu plus 166 {a volonté de ki majorité de fa Chambre des Cormunes tetie due constituée à la fermeture des bureaux de voitation, de 29 octobre, et en m'abstenant dans l'intervalle
faire parvenir prochainement Jeur ; 15} A part à cette fin, | RE EE
Nous accusons réception de $5,00 ÉE ;
» ETF !
de M. Eugène Durette en paiement de cinq contributions de membres FE zélateurs, ‘ ! | }
1: —— 11
16 prix pour la Saskatchewan |
Réginu.— La Saskatchewan a ga À gné 16 prix sur un total de 155 cons [fi
le du
currents dans la classe du blé rou- :ffl {
ge du printemps, à Pexposition in-{|}fil i . ernationale du foin et du grain à RE - .
Chicago. Le Montana à obtenu les ‘À . . . «
trois premières places et la Saskat- il ! Poe si F'aisons-leur um acceuil digne
chewan la quatrième, Le Montana 3: \ ;
a obtenu neuf prix et remportera} : d'eux et de nous
vrobablement championnat
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|| “LA SURVIVANCE | | FRANCO-CANADIENNE ”
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Administration et Rédaction:
1303, 4ème Avenue Ouest Prince-Albert, Sask.
, Un an, Canada. .....…
Donne
Tél. 2964
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Etats-Unis ..... Europe .......
JE. MORRIER, Administrateur
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te que tous les esprits impartiatux s'accorderont à reconnaitre à l'a bri de tout soupeon,”
M. King n'a pas voulu retarder ln réunion de la Chuusbre,
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L’Itelie paiera par souscription volontaire
Rome, =. Le mouvement lincé à Gênes pour prélever, at moyen d'u- ue souscriplion Volontaire d'un dol- av par tête los $5,000,000 annuels
requis pour les cinq pronières ane
nuités dues aux Elats-Unis en ver- tu du réglement de li dette itlien- ne idtervenu à Washington: gagne tout fe pars, Les Bourses du chur- bon de Milan et de Gênes ont invité lous leurs membres à souscrire ant “fonds de la dette”, elle directoi- re national du parti fasciste doit
inviter tous les membres de ce dor-
nier à souscrire leur quote-part,
tresses lentes à
Briand, président du conseil, et Loucheur ministre des finances
Paris MM, Briand, Poumer et Hoerriot furent approchés à tour de rôle pour former un gouvernement après du chute du eabinet Painievé: mais aucun n'ayant réussi, M. Briand essayva une seconde fois dans ln mi- ue semaine et réunit les membres sivunts du cabinet qui va tester de tirer La France de son impasse fi- naucièro,
Pronier el oininisire des affaires dlrangéres, Avistide Briand: minis- dre de Ja justice, Mont Renaults in tévienr, Comile Chautemps: finan- cvs, Louis Louchenrs guerres Pan Painlevés marine, Goories Leygues: instruction, Édonard Pelabier, com- iwuree, Daniel Vineusts tunvaux pu- blies. Anatole de Mouzies hygiène, Antoine Durafonr: pensions, Paul Jonrdsin; agriculture, Jens Durand: ecton'es, Léon Perrier,
M Jourdain représente l'Alsace: Lorraine, et c'est ln première fois que Les provinces rocouvrées ont un représentent dans le enbinet de- puis que M, Poincaré devint premier tinistre.
Les sonscninistees sont: pour Pa viation…M, LourentEynacs guerre, M Ossolas linance--Pon) Morel: ma viuc eavehtande--Chirtes Pantlou: régions Hbérées\f, Chanvin: dur sation Paul Boenazets logement M. Levassour,
M. Briand se trouve à commander 269 votes snr 597, ue s'appuie ni Sur fes communistes, hi sur les s0: cintistes, ni sur los nationalistes, Les éléments modérés de la droite et du centre se ratfieront probable ment au homer eubinet, qui se compose de quatre sénateurs et de nouf députés, ot
4 DH ES]
Nouvelle chute du franc
monde avec du blé Marquis venant | M Neon. La erise du minis cu, Dr Seager Wheeler, de Rosthern, , Lire Français n amené one nouvelle qui lui-même n'arriva que cinquiè- | ! Llebute de Crane. Le 25 nov, il était me: | L | Loups MY pe 5, “ côté à 83: sous, Pour empé- k En Le classant le premier de ta D _ #2 ‘Faisons-leur un accueil digne d'eux ct de nous cher la déroute complète la Ban- Saskatchewan, W, J. Large, dé Lu- + , te Lémoions , ati i ll . 1 dblque de france a dû sonserire à selund. s'attrihun Je prix. spéein de, DL En és. témoignages. d'approbation et de bienveillance , continuent ES Ent 1.560,000.008 de franes, Le PE offert pur, lé Pacifique Cana fét . de nou$S arriver de la Province de Québec. Nos frères de chez nous danger de fF'inftution Cat réa grand, dien. ‘ ‘ ET . ; Le LO se pèler! sé it , les tipanuciers cunéribains disent al entende cevoir royal 5 ! FANCEPE CURE one qi ntend nt recevoir royalement les pèlerins des Proviñces des prairies que seules des tuedttes Les PHLOU.
Une ville de 100,000 habitants | E] ‘ dans la région du Lac Still
_rier de St-Hyacinthe”. Jeen
taires sur le voyage des nôtres.
Québec, — Des autorités de la
nouvelle compagnie Aluminium | “Les Canadiens-Français de l'Ouest ne sont pas seulement nos frè-
Corporation, qui s'installe dans Ja la] région du lac St-Jean, disaient à des He
membres du. gouvernement que! de nous, leur isolement relatif dans des milieux anglo-saxons, les lut- Jeur compagnie ferait naître dans | tes au'ils ont souténues là-bas pour garder intactes leur religion et ce distriet une ville de plus de _ à Ce oo +
100,808 habitants, et dès le com- leur langue, les nôtres, les différentes caractéristiques de notre natio-
ment on construirait des maisons ipouvant loger 6,000 familles. |
La compagnie elle-même requer-\l ra de sept à huit mille emplovés, et onu fera aussi d’autres entreprises {Bi dont on ne sait pas encore la na- ture. :
La nouvelle ville s'appellerait Ar- vida et serait construite dans moins: de cinq «ns, et on en nrofitera pro- bublement pour décider les Gana- lis diens français de la Nouvelle-Angle- ;} terre de revenir-au pays et de s'ins- |} taller dans la région du lac Saint-|f Jean, ‘ Al
nalité canadienne-française.
Survivance, partout reçus royalement.
chain, l'avant-veille de Noël. heures 15, et repartiront le soir entre dix et onze
—"#:
—
Le traité de Locarno en une |} seule langue: le français ||
Les six traités de Locarno ont été rédigés en français seulement, con- trairement au traité de Versailles, leauct fut bilingue, les deux textes anglais et francais faisant égale- ment loi. Le français a done re- conquis à Locarno son glorieux pri- vilège de lañgue diplomatique. Tous les peñples de race française ne peuvent que s’en réjouir, — SEC,
vons en donner les grandes lignes.
tesec.
OL nn vi
. . . comité d'organisetion Le Reïchetag approuve le trai l'Ouest.
té de Locarno Bertin, — Le Reichstag vient de ratifier le pacte de sécurité et les traités d'arbitrage de Locarno, ct d'approuver leutree de lP’Allema- gne dans la Ligue des Nations. Le voie fut de 300 à 174.
faite à nos frères de l'Ouest. Ville, puis visite de la ville.
CA se:
oo om nn
\
rope
| Le R. P. Kierdorf va en Eu | à
de l'accueil qui leur sera fait”. ; |
: “‘Faisons-leur un accueil digne d'eux et de nous”, dit le “Cour- Puis, il continue en ces termes ses commen-
res, mais ils nous'sont doublement chers par l'éloignement où ils sont
LE . , - . On aura lu dans les journaux l'itinéraire complet du voyage de + * Li « Nos amis de l'Ouest feront en sens inverse, à quelque différence près, les excursions de la Liaison Française. Ils seront
“A St-Hyacinthe, les voyageurs arriveront le 23 décembre pro- ls seront ici dans l'après-midi à 4
dire que nous aurons à coeur de leur préparer un accueil digne de la réputation de notre ville, et que tous les citoyens voudront partici-” per, d'une façon ou d’une autre à là réception en leur honneur.
“Le programme n'est pas définitivement arrêté, mais nous pou- Vu le peu de temps disponible, la réception devant avoir lieu entre deux trains, il faudra nécessaire- ment que les choses soient pour une bonne partie, expédiées en vi- ec. Îl y aura visite à l'Evêché et au Séminaire, réception civique à l'Hôtel de Ville, dîner par la ville et les citoyens”.
“L'étoile du Nord” nous annonce de son côté qu'à Joliette, un s'est formé en vue de recevoir les visiteurs de
‘A une assemblée, on a discuté le genre de réception qui sera Îl y aura d'abord réception à l'Hôtel de Leur visite sera courte, mais la récep- tion sera des plus chaleureuses et des plus amicales,
“Nous pouvons affirmer sans crainte que les Canadiens-F'rançais seront des plus heureux de visiter notre ville et resteront enchantés
heures. Il va sans
|
e soeitie allemande hnmigrae fl Comme on le voit, c'est partout le même mot d'ordre, la même ; ol ‘ à | | . + L] L . ion aile do NGuébee. ||} note franche et amicale qui sonne et noys presse d'accepter l'hospi- Re religl Da avrive Sun vo | | talité qu'on veut bien nous préparer. Que tous nos frères de ‘chez + zélé religieux arriv | qu'e ni où raté dans Ouest canadien où il a | nous” soient remerciés en attendant notre visite. Nous avons tout fl 1e dans. ere et auxquels 1° lieu d'espérer les meilleurs résultats et d'attendre un succès complet 4 :s dans ces régions et aux i c à | | Sintéresse avec emueoup de dé- de notre excursion. Encore une fois, hâtez-vous de nous envoyer ul “EUR P 1 É : au'i votre nom. ° / au ‘Le R. P. Kierdof a déctaré qu’il : | l partait pour l'Europe à bord du l “Montclare”, de la compagnie du |} bi Pacifique Canadien. Îl fera un sé-{Iif | : : : | jour de trois mois en Europe cen- |) trale où il travaillera à reeueite D . | meme des gens disposés à venir travailler jh ——— _ — fe les terres de l'Ouest. EL — Re
|
Blue nous n ele pensons”,
rouses porvent restorop te crédit dé la france, DRE LEE . En Syrie Beirut, Syrie Des renforts out permis aux troupes fruncsises de repousser Lex Druses qui se sont vcofuis dans fes montannis, Aprés Danns c'est ln ville de Rysheiva qui au été bombardée par les aéropla- nes. Les Eraincais sv soul servis, comme à de batoille de Ja Marne, de tnxienbs pour fousnie des von forts aux villages pienaces,
mnerrnenmmnrs LUS Lonemne sons does
Les ‘seconds Pères de la Con- fédération”
Wianipes, - La loruulion d'un Bourd of Feade nationthi, la recou: naissunec des aspirations des Proc vipees Maribines, ba création d'un comité copsohantif non politique de colonisation et de développement agricole ont ëté recommandées dans des vésointions qui ont ëté lornudées à ta dernière séance de ln premibre conférence éeononique aslionale qui s'est tenue en cette ville,
Les résultats de cette conférence de trois jours à loquelle ont parti- cipé fes chefs industriels de fontes les parties du pays vont maintenant ètre mis sous tnt Forme concrète,
Vers la fin de Be séances M: AM, Beldings, de Stdenn, N.-B, 2 Snsisié sur Pimportance d'une telle conté. renre ei déclarant:
“Nous sommes vérhablement tes seconds pères de Ii Confédération, une confédération de bonne ete. te et de bonne volonté mutuelles, de crois que nous avons fait plus
1%: Deuil de trois mois
Oitawa, La période pendant laquelle la cour portern le Jeuil de la reine-nére Alexandra s'étendra du 20 novembre su 20 février, Pen- dant le troisième mois, c’est-i-dire du 20 janvier au 20 février, le de- mi-douil seul sera de rigueur.
Cette disposition a été annonect ici dans le message suivant at Gouverneur: ,
“Sa Majesté Le Roi à ordonné que la cour porte pendant lrois mois le denil de Sa Majesté Ia reine Atex- andra, comme suit: plein deuit du 20 novembre au 20 janvier, et de fà au 20 février, demi-deuil”.
_—
Grève des samofilistes ,
NL) Re
Londres.— Les sansfilistes sur les vaisseaux britunniques viennent de déclarer la grève pour protester contre Ja rédnction des salaires. iGette Union comprend à peu prés fr membres, et ils ne se mettront
en grève qu'au fur et à mesure de l'expiration du contrat qu'ils détien- nent actuellement, :
Li
Page 2 7
Evangile
prosterner à ses pieds, en s’écriant: “Vous êtes vraiment le Fils de Dicçu !?”* Alors le vent cessa.
et ils se trou-
Ch, XIX, -— Jésus marche sur les}vèérent immédiatement à iÎendroit flots où ils allaient, sur le rivage du
pays de Génézareth; et ils ÿ amar- rérent.
La-stupeur des Pisciples ne fai- sait que grandir, car déjà its n’a vaient rien compris au miracle des pains: leur coeur était aveugié,
{s. Mt XIV, 22
S . ,
-36: S. ÀL, VI, 45-56 VI, 15-21.)
, Jésus, sachant que la foule allait Penlever de force pour le procla-
mer roi, pressa ses Disciples de} A peine furent-ils débarqués que s’embarquer le soir même, et de lelfes habitants reconnurent le Sei. précéder de Pautre côté du lac, lineur, Hs envovérent répandre la
tandis que lui-même renverrait le} nouvelle de son retour, et, parcou- peuple. ‘ant eux-mêmes toute la contrée, ils Les Disciples descendirent vers [ui apportaient les malades sur des le rivage et, Ja nuit venue, Jésus, orabats, 14 où ils apprenaient quil après avoir congédié le peuple, selse trouvait, véfugia de nouveau tout seul, sur Partout, en effet, où Jésus en- la colline, afin de prier, frait, dans les bourgades, les villa- Les Disciples étaient en pleines ges ou les villes, on déposait les in- eaux et se dirigeaient vers Gaphar- firmes au milieu des places publi- naüm, La nuit était profonde, un ques. vent contraire soufflait en tempête, [tre de toucher au moins le bord de les vagues se soulevaient et défer-fsa robe, et fous ceux qui le tou- laient sur la barque avec fureur. |chaient étaient guéris, Les Disciples se fatigunient à ra- | ——
le conjurant de leur vermet-
Réponses aux ques
Bureau d'informations. ; Quand l'Eglise a-t-elle défendu aux prêtres de se marier?—
La loi du célibat ecclésiastique pour l'Eglise d'Occident fut promul- guéc au concile d'Elvira, en Espa- gne, vers 314 Mais en ce temps- là, Ja majorité des prêtres étaient
célibataires. ”
| Ést-il vrai que toutes les indul- | sences soul révoquées durant lan- née salnte?—
Non, Les indulgences pour Îles âmes peuvent Ôtre, gagnées, ainsi que les indulgenees per sonnelles de l'Angelus, des quarante Heures et lPindulgence à Particle de la mort.
Un non-catholique peut- -il rece- voir, la sainte cemmunion dans une église catholique ?—
Non.
mer, GO Environ cinq kilométres.
Ils n'avaient fait environ que (b) Trois heures du malin. vingt-cinq ou trente stades OR —— sus n'était pas Hi; quand à la qua- ’
trième veille (b), Jésus, qui cétail resté seul à terre, vovant teur dés
tresse, s'avanca sur les flots, et pas- sa près de ln barque, come s’il voulait les dépasser, En l'aper-
lus de 3C98 signataires de ce cartel
ce ant, ils furent tous saisis d'unc grande terreur:
“Cest un fantôme!” dirent-üs, Et ils poussaient des cris d’effroi,
“_—_Rassurez-wvous! leur ‘dit aussi- tot Jésus. C'est moi! Ne craignez point!”
“—Scigneur, reparlit Pierre, si c'est vous, ordonnez que jaille à vous sur les flots. _:
Viens! dit gésus.
Pics descendit de Hi barque el s'avancça sur les caux pour aller à! Jésus. Mais vovant la violence du vent, il cut pour, et; comme il con mençait à enfoncer: “Seigneur, s'è cria-t-il, sauvez-moi!” |
A Pinstant, Jésus étendit Et main ! et Je saisit:
“Homme de peu de foi! lui dit il! pourquoi as-tu doutè?”
a Régina, — La combine des ocufs et des volailles, en voic de formo- {ion pau PAssociation des firain Growers de la Saskatchewan, à dé- jà reçu plus de 3900 contrats à ses quartiers généraux provisoires, On espère mettre ce nouvent ear- tel en imarehe vo for mars 1926, IH y sur Ja route :leontrats,
pour faire signer les
10 poules 5400
OÙawa, — Dix poules canadien- nes, dont le record de ponte est de
._ Alors les autres Disciples voulu- {250 oeufs et trois cogs de la Co- rent le recevoir dans fa barque. loribie -Brilannique, ont éit ven- Dès que Jésus x fut monté avee dus à un éleveur du Danemark,
Pierre, les se‘pour la jolie somme de 4)0,
Disciples vinrent
AVIS Avis est par les présentes don- né que lassemblée annuelle des contribuables de l'Ecole | Catholique séparée de Prince- Albert aura lieu jeudi, le 3 décembre, à 6 heures du soir, dans la salle de l’Ecole Sépa- rée.
—
4
Jules S. Casgrain
Secrétaire-Trésorier
La Cure des
a actuctlement 240 agents ;
LES NOUVELLES
Le Garnet remplacera le Mar- quis
Toronto, — Une dépèche d’Otta- wa au “Globe” de Toronto, dit que la produetion du blé Garnet dans les Prairies recevra beaucoup d'en- couragenient, méme plus que lors de l'apparition du blé Marquis, Ce dernier bié a permis aux Prairies de devenir Je grenier de L'univers, el _ecpendant une autre espèce supplantora, le blé Garnet, a hoins auce de prochaines expériences, les finales, révélent une faiblesse qui n'a pis apparu encore,
Le blé Alarquis réduisait à 110 jours les 129 jours qu'il fallait a- vant son apparition çnire dax se- mence et Ex récolte, et cette marge jéc dix jours a ajouté des millions d’acres, dans Poucest, dans Ha pro- |duction du blé, Le blé Garnet ré duirait encore cette période à 100 jours.
1. H, Newman, céréuliste du Do- minion, à surveillé la croissance de cetle nouvelle varièté. et ne veut pas accutmulcr des espérances non fondées, mais il travaille sürtout à retenir l'enthousiasme de geux qui ant suivi les expériences faites jus- qu'ici, Si Je blé Garnet doit ré- volulionner Hù production de l'ouest, comme il le fera {rès vroba. blement, c'est tant mieux, dit-il Alais tant que cette révolution ne era pas un fait acconipli M. New- aan n'en veut rien dire et sera dis- crel.:e Jusqu'ici on a fait des expé- rienees sur une centaine de terres de l'ouest et les résultats obtenus just merveilleusement pour les Iprovinces des les prairies,
L'Union des éleveurs de
l'Ouest
L'assemblée annuelle: de l'Union des éleveurs de lFoucst aura licu à:
Saskatoon les 10, Il et 12 décembre,
} Un train-exposition de porcs à
bacon
Le département de l'agriculture, en coopération avec le G N, ct un certain nombre d'intéressés, a é- quipé trois wagons-exposition de porcs à bacon, sous Ia direction de: conférenciers-Cx ports. Ces WagOns ; parcourent depuis lundi, Le 30, mn ré- eion de la rivière Carotte et de Prince-Albert,
Tous les cultivateurs devraient profiter du passage de cette expo- sitton pour $ instr uire de ectte bran- che si rémunératrice d élevage,
PILULES R( UGES
. Pour les Femmes Pâles et Faïbles
rend plus parfaite la beauté de la femme, parce qu'elles enrichissent le sang en substances colorantes et donnent par conséquent aux joues et aux lèvres une couleur rose naturelle.
Les Pilules Rouges améliorent la santé générale et donnent une appérence fraîche et saine contrastant avec l'aspect précocément vieilli de la femme anémique et maladive, En outré le traitement aux Pilules Rouges ramène l'appétit et les forces et soulagent tou-
jours: MAUX DE TÊTE, INSOMNIES, MAUVAISES DIGESTIONS, DOULEURS AUX REINS, AU BAS-VENTRE, TROUBLES URINAIRES. :
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. J'étais si faible pouvais à peine
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guis très satithti
mes épuisées’”.
“Cinq maternités en gix ans m’avaient ren- due très anémique
nir debout ; j'avais des battements de cœur chaquefoisque) je mon- tais un escalier, je n’a- vais plus d’appétit et mon estomacser tait de mon épuise- ment général, J'avais aussi des hémorragies utérines qui contri- buaient à m’affaiblir davantage. d’üne voisine, je me suis décidée d'essayer les Pi- Dès les premières boites je me suis trouvée beaucoup mieux, je me suis sentie de l’ap- pétit et mes forces revenaient dé jour en jour. Je
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À. Crerar,
sérant- -sénêt ral des United Grain Growcrs | à l'assemblée des diréc- teurs qui a été tenue ici Les autres
nominations sont: M. € Rice Jones, ler vire-présidents M, J. Kennedy,
19e vice- président; M. IS. Law, 5e- crétaire,
Le comité. enteutif «à été formé de MM TT. À! Crerar, Rice, Jones, F4, Collver, 44 MeLcland et J.- EF Reid reau de direction ont été réélus.
Manitoba
Le département de Pintérieur à Ottawa, vient de oublier ta 2c:édi. lion d'une intéressante brochure sur ha Province du Manitoba, C'est he mine de renscignements sur la plus vicille des provinces de POucst. Ce travail de 46 pages est divisé cñ douze chapitres,
Nous ignorons s'il existe une ver. sion française de cectte excellente jbroc bure; dans fous les cas, il de- ivrait y en avoir une, fes Franco: lc: anadiens ont fait plus que leur part dans l'établissement et le pro- (grès de cette province: ils ont droit
à leur part da publicilé, me,
Record mondial
Winnipeg. "Dans la seule jour- née de jeudi, - 19 novembre, 3,447. 624 boisseaux- de tous grains furent mis en vente aux divers endroits desservis par Île Pacifique Cana- dien dans FOuest Cest là un re- cord non seulement pour le Gana- da. mais-encore pour Le monde en- tier. Pour trouser un chiffre se rapprochant de celui ei, it faut re- monter au {8 octobre 1915, alors qu'en 24 heures, 3.106.000 bois- jSeaux furent vendus sur le parcours des lignes du. Pacifique Canadien dans les prairies, L'on se rappelle aue la récolte de 1915 fut lune des plus considérable, dans l'histoire de notre pays. { Ha fallu pour 447,624 boisseaux de grain au che- ! min de fer, le concours de quel- aue 40.000 camions de fermes, les- duels durent, pour atteindre ce
apporter ces 3.
chiffre phénoménal, déverser leur précieuse careaison dans les élé-
.vateurs aux taux de 100 boisseaux à la sec onde, pendant 24 heures consécuiives. Placès à la suite les uns des autres, ees camions 6t leurs altelages auraient pu couvrir la dis- lance qui sépare Winnipeg de Brandon, où Montréal, de Québec.
Depuis le 1er août jusqu'au 19 inovembre inclusivement, ‘144,579, 445 boisseaux de tous grains 'ont été Jinis en vente sur Je parcôonrs des dignes du Parifique Canadien dans l'Ouest, comparativement à 107. 953,436 Dboisseaux pour la pér iode correspondante Fan dernier, C'est june augmentation de 34%. Sur Île total de Pannéce courante, 126,000. 000 de boisscanx ont déjà été char- sûs et transportés par chentin de fer,
À peu près 1000, wagons de grain ont quitté Winnipeg chaque jour ce mois-ci, à destination de ! a tète des Grands Lacs,
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Comme auoi on peut réussir sur la terre
Winnipeg. —- Sept familles men- nonites, arrivées dans l'ouest sans Je sou Flautomne dernier, onf rén- llisé un bénéfice de $26,000 en louant 2 0359 acres de terre en cul- iture à Provost, Alberta, annonce 7. O. F. Herzer, gérant de li Canada Colonisation Ass’ n. Jequel ajoute œuc grâce à ce bénéfice les familles vont” pouvoir -acquérir le matériel dont elles ont besoin, et, se préva- lant d’une promesse de vente pour les terres louées par elles, devenir définitivement : pr opriétaires de celles-ci, :
“Ces sept familles mennonites dit M. Herzer, ont payé de loyer de leurs icrres, à peu près 51,500: elles ont versé $20,000 sur le prix d'a- chat: elles ont remboursé lPargent qui leur avait été avancé pour Île vovage et ont gardé 53,500 pour dé- penses courantes. sidère que ces gens-là sont arrivés au pays il Y 4 Un an sans ressoulr-
Îces, pareil succès vaut mieux que
des volumes pour faire comprendre quelles chances offre l'Ouest aux pauvres familles sans terres de l’Eu- rope”,
1 Association fait rapport que 98 1-2 p.c. des colons établis par el- le sur,des Lerres réussissent à mer- veille”
La récolte de 1925 n'a été dépas-
sée qu'une fois
Presque tous les pays de l'hémis- phère ‘du nord ont maintenant four- ni des évaluations de la production du blé, et ces évaluations ont été publiées par l'institut International. d'Agricullure, Les seuls pays. qui n'ont pas entre fait: rapport sont la Belgique, le Danemark, PEcosse, Flrlande el ù Portugal, mais leurs récoltes sont insiguifiantes par rap- port à la production mondiale. La vroduction lotale du blé cette an- uée dans l hémisphère du nord, Rus- sit non comprise, est m: aintenant ê- valuée à 2,909,339,000 bôisscaux con- ire 2,644.216,000 en 1924 et 3,014,- 000 en 192% Lu production de ect- te année est done de 265,000,000 boisseanx sipérieare à celle de l'année derniére et t de 106,000,000 boisseaux inférieure à la récolte é- norme de 1923.
La récolte totale de blé en Euro- pe, Russie non comprise, est de 1,- 313,649,000 boissenux contr e 1,028. 452,000 l'année dernière et 1, 299956, 000 en 1923: c'est là une augmenta- de 286, 000,000 boisseaux sur Pannée dernière et de’ 91.000,000 boissenux sur 1993. -
En seplembre, le gouver nement des Saviets estimait que la récolte de Il Russie, Sibérie comprise, se-
rait de 661,000,000 boisseaux contre
282,000,000 boisseaux en 1924 De- puis lors, ce gouvernement a décla- ré que l'év aluation doit ètre rédui- cent. Il parait maintenant certain que Îles évalua- tons de la récolte avaient été gr an- dement exagérées, car la Russie n'a exporté jusqu” ici que très neu de blé ct, d'autre part, la température très mauvaise qui a sévi pendant la moisson doit avoir sérieusement en- dommagé la qualité du grain, Des renseignements de source.-sûre nous apprennent êg salement que les récol-
tes du plusieurs des Etats des Bal- kans ont été évaluées trop haut; quoi qu'il en soit, ces pays n’ont fait que très peu d'exportations. Par conséquent, malgré la forte augmentation enregistrée dans la production totale de l'hémisphère du nord, le Canada a de bonnes chances de vendre sa récolte énor- we de 422,000,000 boisseaux, qui n'a été dépassée qu’une seule fois dans : .
ce pays, FP’absence des exportit- tions de la Russie et des Pays des Balkans, les récoltes déficitaires de l'Inde et des Etats-Unis, laissent le marché d'exportation pour les mois d'automne presque entièrenient pour, le Canada, dont le superbe blé rou- ge ‘dür de printemps est cn grande deniande.
On porte maintenant un intérèt tout spécial aux récoltes de l’hémis- phère du sud, qui sont sur-le point d'être coupées et qui apparaîtront sur Îles marchés pour faire concur- rence at blé canadien au commen- coment de la: nouvelle année. Les rapports venant de la république Ar gentine sont favorables et il sem- ble maintenant presque sûr que ce pays aura une bonne récolte de blé sur une étendue plus considérable que lannée dernière. Quant à Ia récolte de l'Australie, elle est main- tenant dans un état critique. n'est tombé que très peu de Pluie en octobre et la sécheresse n’a été interrompue qu'à de rares accasions depuis ce mois. On dit que la rè- colte de blé sera inférieure d'au moins 40,000,009 boisseaux à celle de l’année dernière.
(Publié par le Directeur de la . “publicité "Ministère fédéral de Va griculture, Ottawa),
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clergé que l'archevégue de Mohilev _ ”_ comparut devant le tribunal goviée Rome. — Toute atidience el toute tique, sous l'accusation d’avoir en- réception seront suspendues au Va-}frent la ‘ défense d'enseigner la tican, du 29 novembre au 5 décem- | doctrine catholique aux enfants de bre, car le Souverain Pontife cet|moins de 18 ans, Condamné à ja cour pontificale feront les eker-}imort comme Mgr Budkievicz, sa dices spirituels. peine fut commuée en dix ans ———— NS, d emprisonnement, grâce aux puis- Nomination de deux évêques santes interventions étrangères qui se ,manifestérent en sa faveur. Il
y a dix-huit mois les portes de sa prison s’ouvraient, et l’archevèque était déporté de Russie,
a baptisé trois enfants d'une famille | ÿ<g te nenne ee tandienne, rançaise, respective: LE TS DIS DO GS 2 CU 0 GE A OT 0 nt BA DES 020 OT OU GE 03€ OÙ es ment âgés de 1 3 ans. Le len- | GA Ch GE ON ) ; ; San pen dés de 10, 2 «3 ans, Le jen CR PER EP CF QN CP ci LE GE LE GA QE QE QU QE RUES OP QU GAP SEP QE SE DE GNT QE SA GET BEN GE GR GE GE OUR GARE QAR RE SET GE LA ainsi que quatre autres de In mème famille faisaient leur première coni- munion. Il s’agit d'une famille ca- Avocat nadienne-française émigréc aux Etats-Unis, loin de tout centre reli- gieux et français, Il y a plus de soi- Xanté ans que le grand-père a quit- té le pays: ses énfants y ont perdu la langue française et peu à peu la foi, Sur ses six petits-enfants, trois n'avaient pas encore été bap- tisés, et les autres, quoique âgés de 16, 15 et 12 ans, navaient pas en- core fait leur première commu- nion.
Revenu au pays avec sa famille, . R au mois de mai dernier, le père ne | Avocat ét Notaire
irouvant pas d'ouvrage retourna HENRI COUTU, B. A.
EE —— me = sn de la Pologne, Je veux t arti- {5 He ÿ GP & ù ù () û D G: 6 & ; ; 10 À D 00 LU DE LE NE QE OU OU OU 00 0 AN US DD LE 0 à er E LES NOUVEI : del Pologne, Je veux tout parti | 3 LR EEE LOS LE CLP CE LE LR LE AP SE LE SET AE LE LEP SA LE SEP SE BAR SE SA SE SE LA LE LE SE SET JE SEA SE SE LE Ge [4 pre !. 1: À {.) à V 14 3 Ï [ll ES les Polonais d'Amérique.” Le 24 ART ec Grp Rae oo £# 3 Fi T | NT 3 CHEZ NOUS ET AILLEURS Convorsien de Conde. [él PRIT BOTIIN DU MONDE PROFESSIONNEL |: oo __— français ÉE u nas TT : s ‘ nr” e a Go... , 6 sie ss Ê ù " ‘ F É. sustéon des audiences au ‘“Eeviathan”. Cest en compagnie], Récemment M, le curé de St- Le ils à 1 ; 1 . Intaraption des at en eonnie |, Récemment M de Leur de St: | On trouve ses bons conseils à la bonne enseigne - - - vérité de La Palisse es « ee
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Rome. — S. S. Pie XI vient de nonuner M. l'abbé Thomas, Weich, St-Paul, au posie déveque «qe Ci de St Pa vb Maurice Me- |. M8 Cieplak est venu en Améri- Dulath et M, l'abbé, Maurice SC Que ur linvitati des Cauliff au poste d'évèque auxiliaire ‘hhents lonais TON RUES LATOUDEr D Ronnectieut ents polonais des Etats-Unis, de de Hartford, Conne . Mer Callagher. .évé ss “ne Mer ner» ÉVÉqUe de Détroit, | = ’ nn .. let de Mgr Rhode, évèque de Green Mgr Cieplake aux États-Unis [Ba Wis. ji,ne se montre guère —— . disposé à parler du sort qu'on lui New-York, — S, G. Mgr Cieplak,}à fait en Russie. Il se contente de archevêque de Mohilev, que les So: jdire que tout chrétien, à sa place, viets mirent en prison il y a trois l'aurait fait de même. : ans et qui faillit subir le sort de} “Je suis venu en Amérique, dit- son vicaire général, Mgr Budkievicz il, pour remercier le gouvernement mis à mort dans une prison de Mos-|des Etats-Unis de ce qu'il an fait eou, est arrivé à New-York sur le nour moi et pour Pindépendance
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d,vers des centres 1 È eais organisés en paroisse, d, Mais il nous reste l'obligation
Re CEE TRE sms Quelquefois, Nous avons
l ments d'âme qu'il est opportun de
aire des observations. Aux fa-
milles qui demandent du pain, fut- N il celui de Pexil, il faut au moins
le leur laisser prendre et nous cf-
é forcer d'en enlever Famertume pré- sente et future en des dirigeant
“anadiens-fran-
d'en prévenir la répétition,
nantes o
La mode iminorale
S, S, Pie XI met les maisons d'édit- cation en garde
Lors de Paudience accordée ré-
cemment aux membres du Congrès
des Ligues «catholiques féminines,
À S.S. Pie XI a félicité les dames con-
gressistes d’avoir inscrit à leur pro- gramme la lutte contre Ja mode in- morale, “objet de ses plus graves
ä préoccupations”; puis, le Pape a
fait l’importante observation sui-
j vante:
“Nous avons remarqué, pré-
à cisa-t-il, que parfois le sens, de ré- pulsion contre la mode inconvenan- te fait défaut mème où l'on sv
heureusement. Toute la paroisse , u M prit part à la fête; les trois marguil- Géomètre et Notaire '
#.attendrait le moins, même dans des à maisons d'éducation qui, pourtant,
‘sont chrétiennes et qui aiment à s'appeler de ce nom. Nous n’ou- blions jamais, quand Nous voyôns des religieuses, de leur demander si elles ont des maisons d’éduca-
dtion. Et à leur réponse le plus
souvent affirmative, Nous n’omet-
d’insister sur la modestie chrétien-
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À tons jamais de leur .
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Lu vie chrétienne est-elle une vie umoindrie? ". (suite) Je suis vraiment moi-même quand
| Dieu ou à ceux qui tiennent l’autori-:
té de Dieu, et à eux seuls—avouons qu’elle peut faire cela sans déchoir,
Ù elle est libre, Mais quand, par là- Ï cheté ou par respect humain, elle | Msasservit à des puissances iHigi-
times, quand par faiblesse elle se laisse entrainer à d indignes com-
sions, dans ces mauvaises habitudes.
n'est plus libre. .
Les facultés inférietres obéissant aux facultés supérieures, Je ,corps suivant In loi de l'âme, ct l'âme sui-
ire se donne autant de tyrans, elle iles
ET pour enraciner dans les cocurs l'es- prit de la vertu, le sentiment ‘de l'ineffable dignité de lPâme humai- ne. “En effet, c'est même au nom de l'humanité qu'il faut combattre our la décence de la mode; et il e faut surtout pour là dignité du nom chrétien,‘ car nous portons tous les traces du saug du Rédemp- tour, témoignage splendide des des- %inécs éternelles qui nous atten-
+
dent.” = SEC.
h: L’Almanach franciscain
Les Almanachs de 1926 commen- cent à nous.arriver, Le premier à nous arriver est PAlmanach fran- ciscain qui vient de paraitre, en un beau fascicule de 80 pages. Edité
pur les Frères-Minours Capucins,
il contient un ample recueil de nou- elles ct de netices intéressantes, de choses utiles, édifiantes et récréa- tives, L'illustration en cest parti- culièérement soignée, Prix: 25 sous. S'adresser à L'Echo de St-Frantois, 102, rue Wellingtan. Ottawa,
CE
‘ LU Ld Ld Appel pressant et intéresse “L'Echo” a. formé le projet de constituer pour l'usage de ses cola. borateurs une bibliothèque aussi complète que possible d'ouvrages franeiscains et canadiens. Nous faisons appel à. la charité de nos amis qui auraient des livres en dou- ble ou qui consentiraient à se dé- posséder en notre faveur de cer- tains volumes. Les ouvrages an- ciens seront particulicrement «4p- préciés. . . Merci d'avance à nos charitables bienfaiteurs. Il va sans dire que tous les frais d'expédition seront à notre charge. : …; Le Pére Directeur de “L'Echo”.
Les religieux sont-ils des êtres diminués? |
.
la; et.parce qu'elle s'emploie à diriger vers une fin commune des volontés humaines (rien de plus changeant que l’homme), elle doit
statuts, où du moins un règlement plus ou moins minutieux et, par le fait, plus où moins gênant.
Le renoncement imposé cest sou- vent pénible; tout de même va-t-on parier de imutilation immorale à propos d'un fonctionnaire qui ent tre dans une administration, ou
al MU : , vor H A 1e “| À plaisances pour le corps, auquel elle id un amateur qui. donne son nont à
À devrait commander, dans ces Ppas-
une société sportive, où mème de l'officier qui s'engage à observer règlements militaires? Et s’il sv engage sur Phonneur? Et s’il lui plait, pour rendre Dieu témoin de sa promesse, de S'v engager Dar voeu (eur voilà la question), nour- quoi serait-ce une déchéance?
SE
[VOOUX,
“Que venez-vous checher? Ele:- vous aple? Avez-vous es lorces
‘suffisantes? les forces du corps el
cofos de, Pâme? Tenez, voici nos règles. Etudiez-les,”
Après réflexions, #il dans son dessein, va-ton tout de suite le recevoir irrévocablement ? Non,.il faut qu'it s'éprouve d'abord, qu'on l'éprouve pendant un un, at moins, de noviciat, Alors, on lui redemande :
“Etes-vous toujours dans les
mêmes dispositions?
- Qui,
-Bien, vous allez prononcer vos Défivitivement? Nou, pas encore, mais des voeux temporaires qui vous laisseront libre, à leur ex- piration, de vous retirer sans of.
fense de Dien et sans faire tort à
personne,” Ce nest qu'ensuite, après tous eus essais, que le religieux se donne dé-
de collaborer toujours avec d'autre des religieux, ses frères, pour mieux atteindre un but qu'il « Hi- brement et mûrement choisi. Oui, librement et mürement, [y 4 peu d'actes aussi pleinement libres, aussi vraiment humains que celui du religieux prononeant son voeu d’obéissance,
Mais pourquôt s'engager ainsi ir- révocablement? Pour micux se fi xer dans une voie qui conduit sû- rement à la perfection, l'Eglise s'en porte garanle, pour témoigner pu- bliquement que l'attachement au service de Dieu est irrévocable : donc, par amour, Qui ne voit d'ailleurs les avantages de ée méfi- toire renoncement? I permet à lt
Congrégation d'entreprendre, selon
sa fin propre, des ocuvres de lon. guce haleine, car elle est sûre de trouver toujours Îles ouvriers né- cessaires.
en RE to RE . +
Un missionnaire vient de mourir à Ja tâche; le poste est périleux. Qu'importe, s'il faut tenir malgré touf? Dans une Congrégation de missionnaires, Ja relève est toute prète: de jeunes hommes «se sont engagés à partir el n'attendent, n- natients, qu'un signe de leur supé- rieur. Le supérieur Les hénit El ils partent,
On admire un soldat qui s'offre nour une tuissioù dangereuse: s'il v reste, on dit que c'est un héros. Et le religieux qui, pur voeu, st gage à ne jamais refuser un poste de combat, quelque dangereux quil soit, ce religieux-serait un être dé-
. . À je me. soumets.— Quand l'âme obéit prendre ses fa ranties contre le ca- | uradé? me lindustrie la plus payante qui soit au pays. Le Ù À ceux qui ont des droit: sur elle, à price et l'inconsiance. De ft, des!” Je ne comprends plus! ,
(à suisre)
persévere |
9)
10 11 finitivement et promel d'obéir et 40
marne meenmaansie
La Semaine Liturgique
DU 6 AU 12 DECEMBRE 1925.
!
Tde Have, S : , ose à de Loelive, Se Mathieu à lu dignilé darchevèque,
+de Poctave, Sd.
!
+
Bt,de loctave, Ed
Eu Din. de FAvent, Sd, 2e Ge. de S, N'eolas.A vèpres mu, du auiv, et de S, Nicolas,
S, Ambroise, évéque et docteur, P,
lnmaculée Conception, fête du p'dron principal de lurehidiocése de Régine, D de 1ère classe avec octave commune, fête d'obligation,
Daunase, pape, Sd
K
& vi
RSION “EL Survivance Franco-Canadienne ” de la Saskatchewan |
nee meme ne cm cena 0 Pan met ma
dixième anniv. de l'élévation de Mgr
RE F. s AR
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Every bottle maintains 4 uniform high standard for quality and flavor. Is the ageing of all our Old Ale, American Style Beer and Extra Stout that gives that smooth, rich flavor. THE
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> Fi . i de Dieu, voilà Fordre de [quo nc STEROSE DU LAC, MANITOBA « Ne ji de Dr Véritable ex- |, Tout engagtment personnel ‘doit » Es Dansion Cest le bienfait de la foi ètre temporaire, à déclaré M, Wal. a ; ; religicuse et de la loi morale de de ; À UN PROVIN É DE QUERE( . nous mettre et de nous Mae | Sinon ce serait apdiquer 565 | , KE os qi re FT mr dans cet ordre supérieur, Je ne dis droits. , ‘ « | ° , , PAR F . j pas qu'elles ne sont Pile génantes et —Quels droits? Le droit d'étref[& - " | À anclans chnse nalheul | BG contrariantess MAS EUR = insoumis, lâche, révolté? Pourquoi | hf ! | ! LURH Ê (AUIUUT É : Du hôre ,linsoumis, 1iche, Fevolci : . ee , Â QUELQUE HN Ma Ngur ES U]L faisantes, elles nous libérent de ne peut-on pas engager devant si | | A en T & FDF à | Ù : En ï liens qui nous étaient ha poutre conscience et devant Dicu, pour-F ; IS = eh L) é De Lu hs =: g x ï : 5 st idé spéditi è ar tre,-qui étaient tout de meme des ÿ ne peuton s'engager Bout Es | * ‘ : ; € n Ér + iéale nour los expéditions de crème, €a re, at de 1 auoi ne D s'engager po ul j | ll elle neerve OU Ps qualités vous permettant d'obtenir de liens; elles sont, par Cons AUen Aer touirre, quand on s'engage à faire [Es .. Départ de Prince-Albert 8.35 A. M. le 18 décembre. ï ni crade. Vous cet 2 n'est-ce pas, que le prix dé” |llun asservissement ni Der lle bien? [El . , ce . plus haut grade, Vous comprenez n'est-ce Das, . À : ; | | , pend du grtde. Le prix moyen payé Dour le crème que nous avons tion, non une mutations, Les g Où Fon voit reparaitre le cadavre. Li Wagon-lit (tourist et standard), char réfectoire, etc. | reeue nu cours du mais d'octobre, était plus élevé que celui payé mise en sa eur de ce q 5 Ge qui est imm oral dit-on, c'est | E | par nous depuis plusieurs années, . _ e que le religieux s’abandonne comté >our tous renseignements, adressez vous aux agents de Ponr Monte os moillours résultats, évitez de laisser geler | I, — Parlons des religieux me un cadavre (horreur!) entre les |) Pour tous renseignements, : ni ag votre crème et exnédior à noire succursale La plus rapprochée. | 7 maintenant .. [mains de son supérieur. $ il doit }& 1 la Compagnie des chemins de fer Nationaux, où SERRE ee PR | . À VOTRE Une congrégation est une socié-[faire désormais tout ce qui lui est [ff | DEMANDEZ NOTRD TEURDE'DE CREMERIE A EUR on té à but religieux: on s'v propose commandé, est-ce encore an hom- PE | | | Le à , rOU Ÿ SSEURS Îfa NY EN "À PAS Di MELLE se de tendre vers la perfection chré- me? . . . . L. J. DAVIS, | 4 Coetoit 5 Oposses fn timitel {ltienne par la pratique, des com! I doit jus ce qui mi est con - : H . N'E \ÿarn ary ann fa ? | He {| LOU lilseils évangéliques, et, d'une manier mandé? Distinguons, Même si on [if } nn er | Ë dasKaichewan Greamêry and ic8 Cream LSTEA AR LU , sis une Are: dc faire le bien. lui commandait une vilenie, con: AGENT DES PASSAGERS . à | : La formation des novices, les que fraire à sa conscience? Jamais. Si . | ns | ! a ri ; règles é is € » nux constitu.| à _ des, le genre de vie, les règles, tou l'ordre est contorme aux consuitn ip . > ALBERT, SA8K, IMESS— est "orienté vers ce bui. Vous vou: |tions approuvées par l'Eglise? Qui, |: Téléphone 3020 . PRINCE-ALBERT, SAS "Ta lez entrer dans la Congrégation? let je ne vois pag qu i se cache Là AW, : _… [ilraudra vous plier # ces CHI nces, aucun mystère d'inicuité, | WOLSBLET. Ce n'est pas prétention esiraor Quand le candidat s'est présen- | ÿ
—Vinaire, Toute association en est 16, on lui à demandé:
,
la Cousine
|d'une tristesse où d'ine douleur, il ' est ecrtain ue le monde actuel est J'aimerais vous parler aujourd'hui, impuissant à nous le donner et que du bonheur. Le bonheur! nom magi- ‘seulement plus tard dans un monde ‘que. qui fait battre le coeur de totis meilleur nous pourrons espérer l'at- les hommes, et devant lequel Fhu- teindre, Si at contraire, on se con- manilé à toujours palpité d'un es-/tente d'in bonheur relatif qui con- por indomptable. Des premières site dans un épanouissement suffi- lueurs du jour aux derniéres teintes sant de nos facultés physiques et du couchant, des vagissements du berceau au sommeil de la tombe, on à l'atteindre. en poursuit frénétiquement la réali- | Le premier élément du bonheur sation, et, comme lhorizon recule l'est la santé physique: car, le corps au fur et à mesure que nous avan- étant l'instrument de lesprit, il est çons sur la raute, de même, sur le assez naturel que le dernier ne puis- chemin de la vie, le bonheur qui en se accomplir sa tâche s'il a affaire forme l'horizon, semble fuir éperdü-jà une instrument en mauvaise état, ment devant nous. Sommes nous Pour atteindre te premier élément done condamnés à voir éternelle lne négligeons pas notre santé, L’o- ment nous échapper ce que nous dé- bligation au travail et la sobriété on sirons avec une si farouche éner- | sont les deux facteurs principaux. gie? Sommes-nous comme ces vo-| Vivez avee vingt sous par jour, vageurs des déserts qi poursuivent et gagnez-les par votre travail”, ‘ |
Ma chère Cousine
jufatigablement la source tant dési- dit un hygiéniste anglais. rée, laquelle finit par disparaitre en! Le second élément du bonheur; « Li 1, ‘ ol # ps % . mème temps que s'éteint le mirage? c'est Ha santé: inorale, C'est-à-dire Mais qu'est ce en somme que “Le cet, état d'équilibre mental qui fait bonheur”? ‘ ‘que, sans se laisser abattre pat les! Si l'on entend sous ce vocable 1e événements, sans se laisser ébrander . plein épanouissement de toutes nos par les déceptions, on eonserve ect! facultés et le complet rassasiement état de calme intériour, de “Seir de tous nos désirs, sins l'ombre Control”, Pour cela il est absolu,
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lex vamassons patiemment une ne, nous arrivons à confectionner le
A bonheur passager, mais encore ap- | nour Ja bénédiction de Ia
nes mers te de
ment nécessaire de dominer notre imagination, cette folle du logis, évi- ter de l'écouter lorsqu'elle nous dé- peint l'avenir, soit tous les couleurs enchanteresses du mirage, soit sous Îles couleurs sombres du décoirage- ment, .
Le troisième élément du bonheur est la santé intellectuclie, c’est-à di- re le plein épanouissement de nos facultés mentales. Tout comme Île corps, notre esprit demande de l'ex- ercice, et de quelles joies ne se pri- ive-t-on pas lorsqu'on néglige en soi la culture intellectuelle, Les arts,
incomparable du language ailé de la poésie!
Le quatrième élément du bonheur est En santé de la conscience, la rec- titude de la vie. L'homme juste, mé- me sil est accablé d’infirmités, mè- me si le malheur semble s’acharner sur Jui, conserve toujours au fonds de lui-même un trésor que nul ne saurait lui ravir, ce sont les joies ineffables que lui réserve le senti- ment intime de sa paix avec Dieu ct avec Htismème,
Le boriheur est done le résaltat
de quatre facteurs. Permettez moi [le € | Cou- jwalheur— Les petites fleur
ici une comparaison, ma chère sine. un chainp DrOMeNnons: de fleurs: ces fleurs, ce sont les pe- tits bonheurs que nous rencontrons dans notre existence, Si nous déda”- snons ces fleurs, sous prétexte qu'a- vec une fleur, on ne pe un bouquet, nous passerons à coté | du bonheur, Si, au contraire, nous | 4 K
hab'tons. Seulement sa-i
oem ie
Figurons-nous que ln vie est;
: . unes immense où nous nous : dU6S-unes ce champ est parsemé:
‘préciable qui est°le ot du monde Win Es dlque nous ,vez-vous ce ani arrive parfois, c'éit ls À qu'un vent terrible se déchaine dans son.
Le Problème de la
-
comme il le désirera.
DOMINION DU CANADA
Obligations de l'emprunt de guerre DUES LE ler DÉCEMBRE 1925
LA BANQUE DE MONTREAL, avec l'autorisation du Ministre des Fi-
nances, est prôte à rembourser ces obligations à échéance, sans frais, à n'importe quelle de ses succursales. . | | Pour la commodité des dêtenteurs de ces obligations, la Banque de Montréal
acceptera les. obligations n'importe quand avant le ler décembre et payera. le premier décembre, soit par chèque soit en créditant cette somme au détenteur,
secouées, toutes sont courhées, quel- sont arrachées, mais le plupart résistent et lorsque le vent a passé, car ces vents terribles sont toujours passagers, si quelques seurs du bouquet que nous tenons en mains se sont envolées, repre-
ut pas faire["ons noire eucillette, reconstitüons
patiemment le ‘bouquet de notre bonheur. COUSINE JEANNE, LL Pourquoi S. Blaise est il invoqué gorge?—
ee saint délivra mira- À un jeune enfant qui “Mouffait avec une artie de pois-
>arce que culeusement
évaluation
en France
er anna
. par
HENRI TURCOT, Licencié ès sciences économiques sociales
et politiques (Paris), professeur de langues à l’école : Normale de Saskatoon.
Impossibilité actneile de la dévaluation
1, Exuminons les choses d'une ma-
nière aussi concrète que noble. |
[four opérer 4 dévaluation d'une
monnaie, il laut-posséder ou cons- Üituer une caisse de conversion, H s'agit, en effet, non pas précisé- ment, de rendre le billet converti- ble duns le pays mème, mais de
ncrmettre Pachat de change à un: "ptaux fixe.
La caisse de conversion,
par da spérulation
Nous ne ferons que mentionner lt spéculations Qu'il v ait des 5pt- culateurs ennemis du: franc, dési- vant sa ehule. "guettant l'occasion de Ja provoquer ct de Paggraver, les uns par haine politique, les au- {res par cupidité, c&en’est ni ‘dou- teux ni surprenant, ‘ Mais La spé. culation ne pourrait et n'oserait
L Q : ë É 3 ne ai te : + chose. Sa puissance : x . ee re Ne . ne a réelle RP DI Rabolique à des travaux ceclésinstiques He oui peut étre une grande banquelrien si le franc woffrait aucune est peer e € squ 1 $ aPDAQUe 4 LES ITANEAU ? à l'émission, reçoit le billet et re-inrise à la baisse: élle ne saisirait ment injuste que ‘la
met de l'or où une devise, à an point fes occasions qu'elle gnette
prix eonstant, el recoit de aielle paie avec le billet nalionat, LA OUR prix constant,
udétermiser ce prix? La dévaluation a hausse.
Hitique fui à fourni en abondance |
I faut done, de toute né- Les occasions, les raisons et Îes pré- grd [textes de baisse,
lend à Pélat de choses
existant, ecessité, Lenir compte d'un
consacrer
[eomptes, l'état da budget.
Elle est impossible en principes
Ou est ainsi amenée à uue aflir- mation absolue: c'est que la déva-
circonstances actuciles, est impos- sible. Comment apprécier Fétat de Hi balance des comptes, alors qu'au
feun des problèmes financiers que da guerre st fait naître n'a rceu de! ne
solution, alors que a France sait positivement ni ce qu'elle re- covra de ses débiteurs, ni la econ- duite ar’adopteront à son ses créanciors?
lualion, pour là? France, ct dans icsi
Ï
|
Portsi celles-ci lui étaient refusées par tune politique prévovante orientantiliés à coûté si cher, Mais romiment incttement et sûrement ie franc vers
Malheureusement la po-
ve da politiune fisancière défectueuse
H veste que Ja politique financié-
parvien-
tes, ibtellectuels, qui ne draient nas, dans la nouvelle mêlée, à obtenir le supplément de ressour- ces nécessaire pour compenser lé- lévation des:prix,
L'incuiétude est
' \ d'autant vrave à cet égard qu’à partir du mois de juillet jusqu'en décembre
plus
de cefte année, il v a pour plus de:
|
|
26 milliards de Bons qui viennent à échéance, Par quelle aberration ñ-ton pu bloquer ainsi, à la mème épodue, d'aussi formidables ter. mes? Sans doute, on espérait can- didement faire face à ces échéan- ces avec Îles paiements de PAlle- imagne. La carence allemande est bicn la cause première des diffi- “altès financières de la France, Mais il ne fallait pas non plus blo- encor sur quelques mois une éché. ance dont on ne nouvait prévoir les ‘'ongers, Au total les bons de la défense atteignent un eapital é- valué à olus de 62 milliards,
Delle allemande et deltes interallièes
Tournons-nous maintenant du côté de la dette ailemande: L’AI- lemagne commence à executer les réglement: du olan Dawes et elle devra payer davantage, chaque an- née qui vient. Mais qu'arrivera-t- A? importe ‘que le’ Gouverne- ment francais s'emploie avec la plus grande activité à obtenir des Alliés la mobilisation, d'une partie
tout nu moins, de‘ce qui revient à |
la France des obligations indus- triclies et ferroviaires prévues par le plan Dawes ct qui se trouvent dans les intins de la Commission des réparations, I serait vrai. ment paradoxaf et inique d'impo- ser aux contribuables où aux ren- tiers français, de nouveaux sacrifices lalors que la France possède au-de- Lx Ga Phin la somme de centaines de millions de dollars. Si lon pou- jvait ecscompter une fraction de cot or, ce serait un inmense soulage. ment pour la Trésorerie, Mais que se passera-[-il? _. H fatidrait aussi en finir une fois pour toules avec les dettes interal- liées. Sans doute il est souveraine. France, si jineuririe, et à laquelle la: victoire qui lui cest commune avec les Al porte tout Île ipoids des dettes contrariées pour ila défense du Droit, Mais le gou-
vernemeont qui emprunta à PAngle-|le marché des changes, *
boursement qui pourrait dépasser 440 milliards de franc, hypothèse absurde peut-être, mais mathéma- tique, toute stabilisation de: la mon- naie française serait impossible,
Emprunts el ‘impôts
‘omment L'Etat n’augmenterail-it |
pas sa dette flottante et ne recour- aitil pas à l'inflation, puisque le budget ne peut être équilibré? En 1921, le seul budgei général (sans parler du budget spécial des ré- gions libérées, dit des “dépenses reccuvrables”) s’est clôturé par un
déficit de 5.413 millions qui, en 1922 a atteint 5,480 millions. Les
budgets suivants se sont présentés avec un équilibre apparent, mais cet équilibre n’a compris ni le rem- boursement à la Banque ni d'autres dépenses portées à tort au budget des dépenses recouvrables,
Au lieu d'accroitre les impôts, PEtat a eu recours à Pemprunt ct à Pinflation. -
L'emprunt accroit Les charges d'intérêts qui pèsent sur le budget: or toute augmentation des dépen-
ses d'un budget déià déficitaire crée une menace d'inflation, ct,
var suite, impressionne le spéeula- teur. L'emprunt modifie la répar- tion du revenu national entre la production et la consommation, ou, si l’on préfère, entre Tépargne ct la dépense; dans la mesure où PE- taf emprunte, l'épargne disponible est détonrnée par ni des emplois productifs pour défraver les dé- penses . sénérvilement improdueti- ves des. fonctionnaires ‘ct des ren: tiers." . ù .
Linpoôt, surtout quand le con- tribüable est déjà très chargé, n'est. il pas, lui aussi, prélevé sur les sommes destinées à Pépargne pro- ductive? M. Rist ctablit de la ma- nière suivante la supériorité de Piüpoôt. pour la réalisation de lé- quilibre budgétaire, “D'abord, dit- il, it restera toujours cette diffé- rence que Pimpôt ne grève pas lPa- venir,‘ L'emprunr, charge Îles bud- gets: futurs du poids de lPintérèt, menace ainsi Îeur équilibre, et crée, par Hà, cette inquiétude sur lPavënir si: déprimante pour D'autre
terre GE à PAmérique, pendant ia! part, le contribuable prélève ‘en, gé-
gucrre, connoit Ha faute incaleula-
ble de ne poser à époque aucunc}tion,
condition d'évaluation ni de rem- boursement, Huit ans ont passé, et c'est maintenant, au moment où
l'impôt sur Sa COnNsSomMmi- Pour l'acguitter, ou bien consomme moins. où bien il trn-
néral
aille plus: mais il cherche à main. {enir son épargne au niveau habi-|
re défectueuse suivie pendant etiles Nations se sont de nouveau iso-{tuel. En comblant le déficit par
depuis la guerre, et dont nous à- vons énutueré Îles résultats, consti-
lées dans leurs intérêts et leur égot- sine, qu'il faut débattre les condi-
Pimpôt, on risque moins d'entamer Pépargoe du pavs qu'en recou-
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suite, la pression de lFopinion dans d'une penses publiques sera plus dans les pavs où Pon préfère premier, son de supériorité.”
I est vrai que certains emprunts
des dé- forte le & c'est encore unc rai-
le sens réduction
peuvent être considérés comme productifs ceux qui soñt'contrac- ctès au bénéfice des régions’ libé- rées.. Mais ces_ cinprunts, comme les autres, ne cessent d'alourdir la charge des intérèts ‘qui pèse d’un poids croissant sur le budgcl. Comme [es autres, ils augmentent les chances de déficit pour Pave- nir, et par suilé. les risques d'infla- tion fuxquels la spéculation sur le
change est si sensible, | Qui voulez-vous servir —"L'exclusion de Pinfluence sa-
cerdoïais dan: es affaires de ce limonde, la proclamation de la sou- | Yeraineté voptiaire, l'établissemetnt ‘de ta liberté et de l'égalité révolu- Ptionunaires, ct spécialement du sul- ‘frage universel. ont pour effet de soustraire les sociétés humaines À l'action de Jésu:- Christ et de son tEglise, D'après le plan divin, Jé- “suifhris!, le roi des rois, l'Eglise,
a seine des nations, ont la haute dhvetion des Etats: suivant Ha thé orie révolutionnaire, les volontés hunaines réglent souverainement leurs destinées, les masses populai-
! U + ce ee lres sont au fimon de PEtal. Dieu
au di: SIT faut que mon’Christ rè-
, LL . ‘gne: oportet Tlum regnare! “Les sociétés modernes disent: "Nous
ne voulons pas que le Christ régnc sur nous: nolumus hunc regnaré super nos.” Lorsque Jésus-Christ règne sar les Etats, la vérité et la
tue Ja cause primordiale et dura-fHons de rembouriement du prêt. rant à l'emprunt qui, normalement, justice font Ja loi: lorsque les nus-
ble de Fa dépréciation monétaire. Cousidèéron: d'abord énorme detie flotlante à court terme, Nous
des hvances de la Banque de Fran- ce. Occupons nous des bons de la Défense, .
Les bons de lu défense
Les porteurs des bons de la Dé-
ul égard {fense nationale sont des créanciers Si a balance delei des créanciers à court terme, li- ses eambles devenait brusquementibres de demander Îe-
rembourse:
déficitaire, le faux de change Fixe ment ausi bien que de renouveler
de a Caisse ule conversion serait fours bons à échéance.
Jusqu'ici la
4 Q î Sora ñ : ee ve trop élevé ct la Caisse, obligée 4 un {confiance publique à évité au Tré-
effort hors de proportion avec ses ,sor
lESSOUrCUS, SC trouverait prompte. ment insuffisante, Pour que
orosanisue fonctionne, it faut une
l'embarras des rembourse- ments, grace aux renouvellenents,
cet! souscriptions nouvelles et consoii-
dations en rentes lors des émis-
balance des comptes en équilibre; fsions de celles-ci: elle a permis à
si le Aéséouilibre est Trop accentué, FFtat, par ces emprunts
court
n a
comme on he pout exporter de l'or l{erme constamment renouvelés, de
indéfiniment, on doil fermer ments allemands importants des gestes généreux de 1 part de ses crénneiers, où simolement un ae. cord permettant le règlement des dettes intefallièes, amétioraient ra- videment Br balance des comptes de la France, ln Caisse de conver- sion serait également, impuissante à enmêcher nine revalorisation du frane, Dans les deux 15 son rôle sepait nul, 1 deviendrait néfaste si ln laisse de conversion peuvail
contrehalancer, at eas où - PAîle- lexpédients:
la! Caisse, - Si, au contraire, des paie-[rjeures rieu
subir des charges d'intérêts infé- à eclles des rentes perpé- tuelles, Mais si la désaffection s'aggravait à l'égard des valeurs à revenu fixe, l'Etat plus de prétours nouveaux, et les porteurs de bons, au lieu de re- nouveler fours titres à court terme ou de les consolider à long terme. en demanderaient le rembourse- ment, Et l'EGU n'aurait d'alternar tive qu'entre une solution mauvai- se et deux expédients pires: la so- lution serait la faillite ouvertes les la consolidation des
maëne soldorait progressivement sa [bons par voie d'autorité au Finfla-
detie, les heureux effets de vaiépents: Ai Coisse maintiendrait Pinflation des orix à cm niveau À veu rés /eonstont, à Paide de ses 6 missions de billets contre dépôts d'or à fa réserve.
jvenu le banquier des jdes industriels el des commerrants:
Instabilité du franc causée...
L'avenir ductrane ext (trop incor- fain pour que la dévaluation. c'est: à-dire la ronsécration d'un ê&tat de choses existant, puisse sé conce- voir. Les ennemis du france sont:
ds spéculation, l1 dette lattante. la
créance allemande, les dettes angtn-
saxonne et américaine, le déséqui-
libre budgétaire et Pinflation., NE
ces [tion pour les rembourser en billets.
La consplidation d'office ne scrait- elle pas un désastre, puisqu'elle dé. sorganiserait tout le mécanisme des échanges? Par les bons de la dé- fense nationale. le Trésor cest de: banquiers,
D 2
Pindisponibüité des/bhons ° échus risquerait de paralyser Les han. aucs, ke commerce et lPindusirie, Une inflation nouvelle iènerait à la banguneronte frauduleuse. en en- #vainant d’abord. avec In chuîe de frone, nne honcse générale des orix ani serait l’orcasion de nou- veaux troubles et de nouvelles af.
-. tations pour an nouvel ajustement
ne trouverai |
JComment concevoir le
ide ces dettes? du'une facon:
|
Terra
| |
!
tion au village.
-
} réglement provient de somines dépassant la Il nv a, semble-t-il, ‘consommation courante, Dan: tous ] d'abord obienir un les cas. Pimpôt est plus pénible au iparleruns, à propos de Pinflation, abattement üinportant sur four mon- contribuable que l'emprunt
Par
ses populaires gouvernent, l'empire est uex mains des sociètés secrètes, c'est à dires de Saten.”—Dom Paul RENOTT: :S erreurs modernes,
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Îer décembre 1926,
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(suite de la fève page)
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. LL # eee . lorsqu'il" agit de choisir'une eharrue, tite batteuse où une ceavtonsse? Vos enfants sont-ils à vous où à ces gene? les leur alamédennez vous pour qu'ils en fisent ce qu'ils vondrout ! Sovez donc des home
mes, des soldats!"
U. Langlois, O. M. I.
A, Je rédacteur, nous faisons rire de nous avec notre fameux on de francais”? inutilisé par notre faute. A Edmonton.
Date . . PR rires anglais s'arrangent pour ne rien chänger avant les
sms.
LES NOUVELLES
an On De mn er ou ant de + one ©
D oo NUE , É : En En, dehors. on n'obtient pas de matresses capables d'en- pelle 4 ou bien Pon né récompense pas assez, aux ex: Ag le francs, 0! 17 FC Par aECZ, aux CI - Dr aux inspections, cet enselgnement spécial de sorte que les CHEZ NOUS ET AILLEURS Î Cet M inéme de notre ratel=ne s’appliquent souvent qu'à EEE roro esse
" tntenl À + - Ne a cetion de nos enfants C’est une honte, et une bêtise. ApAOPE
Et si vous pensez Que Je Département de l'Éducation va sexci- “ ère prébceupation west pas de fournir des professeurs
On prépare de grandes fêtes | pour 1926
ligieux, des pasteurs, des profes- seurs, un député et de président de l'Association Catholique des Jour.
ue. Sa pren faction mais de laver les diplémeés. Ainsi des . - nalistes. qi donnent cou li à lemiandent Lu m rie | lin ue ML CE | Montréal, n L'échevin Léon Fré- eee ie : sivee Canadiens de dent * mautresse bilingue, on leur [panier, président général de Ha so- istes , nisatires Qaurtil( RRALGGNT UE MULLER neue, l anier, D . sÉTÉT: i Les pr À ie froidcment uue-Anglaise diplômée qui fait partiede PAllian- |ciété Saint-Jean-Baptiste, de Mon- P EL mr _de l'Alberta Lo dt pas un, mot ‘de français. Et le plus beau cest |'rGal, délégué de ja société at cou et les Hhéraux
puis qui NE SE : : . . : on Vus sens l'engagent, et.alisst cher que si elle savait le franeuis! que OS ST U :
or pool les Jaunes se foraient-ils du mauvais sang! Ca marche " . . . PE A J,: ,
on s'anglieise en payant soi-même l'anglicisation. Les
res du département ne mettent pas de gants pour nous en-
[et
: tnt «ul: | | fynctiontitl
lover poitre.
ap tutre jour, une beune maîtresse eauadieune va offrir ses ser- | La Société Saint-Seun Baptiste a|d'Acadia présentera celle base Dr au école anglo-françaisc. lle n'est pas très diplômée en effet décidé de faire de cette mac! d'entente à M, King. e MT el Enzo ans d'expérience. On lui ré nifestation Le plus grand ralliement a M l'Alberta, mais elle x quinze ans ( experience, n Jui répond Lde tous les groupes de. langue fran- | U slat ministre d ffaires PRO les diplômées passeront avant elle. 'eaise répandus sur ce, continent. n prelat mimisire des affaires D “huis pour les écoles où Vou vent du francais? a | - étrangères
«oh ie ne nveu ogeupe pas, c'est PAnglais qu’il faut en Xlber- ;: TT .
D "0h LRU SU LOS LS Sie Un message du Pape aux Vilna, -— Mur Nécislis Reinuvs,
Et puis les conmisaires engagent Ce qu'on leur envoie. .?
cou ne peut êlre plus: clair. Allons, les commissaires Can Etes-vous moins bons acheteurs quand il s'agit de nos enfants et de choisir une maîtresse, que
E E |
, | n-franeutse Aer l'instruction de
mais elle le vaut bien
ca
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Petits fours
NE, À ne
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SRE
4 4 __ tout chauds _ Senteur affriolante. .croûte brune dorée ; | saveur délicieuse. Les Petits l'ours faits de farine Robin Hood sont un régal | anticipé par toute la famille les jours
Ë nn
et6®
| de cuisson.
| = Res 0n 0000 7 : 4 : : oo
: = : à 12 mois de prison, ainsi que Gua-
RON TER ANR PRE F7 he . au congres de Chicago tre de ses 'domplices; des sept autres N 3 }: BE BE a | à | TT, : en ont tié quitic pour six mois.
RARE RAT LES D No cs an E Amsterdiun, -— Connie la Hole ee meme
ur es I 4 LE NE VE lande aura sa propre section au fu- : Hs 0
| EE -perE _… FPT {ur congres eucharistique, interna Les Allemands à KROMC
! PRE NET NL NE ON tional de Chicago, un.comité natio-
| = a =
RE PET OPEN LS REP PP TRE PE AE SE
. et
|
ina a propagande en vue d'une pa
grès annuel de‘lPUÜnion Saint-Jean Baptiste d'Amérique, a êté chargé d'inviter tous les cilovens améri- cains d’origine canadienne-françai- se de venir à Montréal, le 24 juin
1926, pour célébrer la fête nationa-
le de la province de Québec,
femmes catholiques Washington. -- “La modestie chrétienne dans la toilette doit être enseignée à tout prix."
té de Rome par Mme Harrv-M. Benziger, de Baltimore, et délivré devant le conseil national des fem- mes catholiques d'ici par Mgr: Jo- seph Schrembs, évèque de Cleve- land, Certaines modes actuelles, dit le Souverain Pontife, sont une honte pour les femmes qui se pré- tendent chréticnnes.
“Nous avons remarqué”, dit Île message du pape, ‘que quelquefois le sentiment de répulsion contre les modes les plus frivoles manque dans Les institutions d'éducation qui s'appellent chrétiennes et se réjouissent de ce nom,
“A certains moments DOous 2vons cnténdu dire aue si on insisie sur ce sujet, Les mères retireraient leurs filles de ces inslitutions,
“La modestie chrètienne doit ètre enseignée à tout prix el nous vou- lons que l'exemple vienne des éla- blissements religieux catholiques,”
ee Ne em
La Hollande aura sa section
été formé afin de faire de fa
#
ation plus considérable de
H,
Ds RE = == | : Get édit du Pape Pie XT a été en- Lithanies vient de prendre Char- RNB MES vové aûx femmes catholiques dans [£C qu ministère des Affaire élran- Da DE k tous les Etats-Unis, (a été appor- [£ères de son, pays, à l suite d’un
à Elle coûte un peu plus cher, chargement ministériel.
rbici- [qu'il N aûra ou, en cetté'année sain.
+ 9
Holbite, envi Indais au congrès, qui sera tenu {Rome,
Calgars. —— Les dépulés-fermiers de PAlharta se sont réunis pour ‘dé. ierminer les conditions auxquelles ils coonèreraient avec les Hbéraux bour maintenir Ceux-ci ait pouvoir " Ottawa. Robert Gardiner, député
cien professeur à PUniversité de Kaunas, membre du parti chrétien démocrate et l'an des pius éminents chefs du mouvement entholique en
Ce changement ministérie) ne fut pas le résultat d'une crise: il fut un simple rajustement de portefeuilles, La position du parti chrétien-déuo crate se trouve considérablement renforcée par Parrivée de Mgr Roi- nys à Ju tète du ministère des Affai.
res étrangères, le portefeuille le ins jnportant, ‘
Le nouveau minisife est né eh ESS et il étudia à St-Pelersbours ot à Louvain. Ordenné prètre en 1907, il fut curé à Vila puis profes- seur de philosophie à l'Université de Kaunas,
_— En —
12 communistes condamnés
« ‘ à r° Londres, -—- Un verdict de cul. pabilité a été prononcé contre les 12 chefs communistes accusés de conspiration et de sollicitation de Parmée à la mutinerie. Le secrétaire du‘ parti contmu- niste Albert Inkoin a êlé conduite
D'après les statistiqués, il apport iron millions de pèlerins à Les Allemand,, dit-on en-
à -
4 Qu = °& - Au Au 20 nu 24 juin 1926. = jeore, sont,-de {fous les peuples “
É far Le: RÉ CPE A1 Les. gix-sepi hommes du comité, jtrangers ccux qui furent es plus
à Producteur EE * ES ns) € Consommateur tent céclésiastiques que ques HOME, .
d Ÿ ag" . ‘ À 'ehoisis représentent toutes les elas-t Je n'ai pas vu
L. DES LACS DU NORD... ., . Mlses. Parmi eux se trouvent des re. me guerrière au bras, GI la sensagent ses net ce 5 : ; : : DS
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les Pilules Moro pendant aix gemai- nes ot elles m'ont complètement dé- barroscé des maux de reins ef de troubles digestifs qui m’avaient mi Depuis ee traitement, je suis par
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tn Ent me menant) mentionne n°2 mue moe 2e ipine ne e mees ere dee mue ee nn me se
cructle au coeurs mais jen ai vu, armés de leur chapelet, faire soten- nelement, pieusement, peut-être un peu tropeinilitairement, Eve. que en lôte, la procession aux Hire siliques Romaines,
Conversion d’un juge . Philadephin— Pendant que Les élveteurs de Philadelphie caresis- | irnient les votes qui, SN eût voeu,
|
au arnre AA ETES TER
sure qu'ils étaient magniliques, Et cette beauté que fai vue ue faisait oublier cette cruauté qu'on n'avait racontée. Ca ue doit, ea ne peut pas être les mônies, coux-ei ot ceux-là, € Be Messager de Sherbrocke)
On ste on comes FRS an
e Li On retrouve l'original
Nuremberg, AHemagne, L'o- riginal de Ja confession d'Augs- bourg, qui forme fa base doctrinale de la religion de Luther, a été trou- vé dlans les archives du musée Na- Honal aHemand, ec qui 4 mis fin à des recherches ausaqnelles s'étaient consacrès pendant des nnnées thé
ologiens el historiens, La, confes. sion, Claborte par Philip Melanch-
ton, au et collaborateur de Luther,
fut envovée le 15 juin 1330 au con:
St de ville de Nurembouras, et de
1 à a diète convoquée à Augsbours}
par Charies V.
eme ane LEP nee one
‘ Un monument colossal aux Etats Florence, - Les fonderies Vie
gnali viennent de termine nutent colossal représen dépendance américaine”. dont Faut- tour est le senipiour Güison Bor- gui, °
Le monument a une hauteur de Loinètres et une largeur de Lo, Pour fe dransport, pourra être di visé en 2) pivcess it sera expédié à Now York à Ha fin de l'année ou au commencement de TO,
OU 160:
s’en mettre jusqu'aux oreilles
: Harvisburs, Pa, De a crème glacée en quantité suffisante sera produite cette annéo aux Plrts- Unis pour fournir ae mains dix pinies à chaque hopine femme el enfant. Fred Hosmussen, sorrée faire exécutif dos suanufncluriers assouiés de evèvie, dit que fa nro- duetion de Pannée sern 2000 90 de pintes. vo vuviron 4,001 usipes de crème slacée, DE ES
Le premier ministre de. l'Etat Libre à Roms Li
ls vont
Rose, Vian JO Gosgrave, président du cubinet de Etat Li bre d'dande, qui arrivait à Rome eomme sheple pôlurin de PAnnée Sainte fut recu par les attoriés ft livanes averses honnesrs dûs à on chef de gouverrement.
“Malgré visite oon officielle de M Coserave,, de aouvernemient ir lien avait mis à s4 disposition un char spfeial ot exempla les ment bres de En détéontion des fortmatités d'usage à la frontière et à Bone. AL Cosgrave Pot ennduit à son hôtel sous l'escorte d'une uarde dhon eur. était cecommngné de sa femme. membre du sénat et du Dail
Pireann, d'an grand nombre de de LOU polie.
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pes cette belle accasion ot onvayez-nous le résultat
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Et je vous as:
DANS L'AG TENTE
Pauruieut Gt Procureur de la ré-
tant Uln-,
sien, l'ancien juge OM. Patterson, fut baptisé et recu dans Flglise eur tbolique sur son til de mort, À sept “heures les buremux de votation fer- cmient et le décompte montra une nutjorité pour le juge Patterson, À ouze heures el trente celui-ci expi, vait,
Quand le juge Patterson réutisit
;) | \ i que sa condition était critique, it }
[Ut demander He RP Albert G. iBrown, SH euré de l'Eglise du
Gésu ct recteur du Collie Stdosenh Liv, Le Pore Brown trouva le pa- lient en pleine connaissance el'lui udtuinistra Le sacrement du Bapté- me cet lui donna l'absolutions Le juge Patterson gard sÿ connaissan- ce durant plusieurs beures et vers cinq houres tomba dans le coma,
La conversion du nee Patterson vint après de longues années d'étir- des, qui peu à peu lamentrent au lentholicisure
ST ne
L'Eglise et l'Etat en Suisse Per Maglionc, nouee apostolique en | Suisse, «4 donné Et consécration 6e piscopale au nouvel évéque de BA le et Eugano, Mgr Ambuht, Après li cérémonie, cut lien un banquet, fau vours duquel le conseiller dt at bernois, M, Burren, ehargé du jdépartement des cultes, à prononcé sun diseours signitieatif.
| Nous avons renversë, netil Qi, es barrières que te Kuforkampl ne vait éluvées”. 1 a rappelé ensaite juie le gouvernement de Berne ie vuit rétabli uotubre. de paroisses autrefois supprhnées. ct rétabli In procession de fi Fèfedhion, Et :Voiei St conelisont. léAuiourdhti, la paix règne entre AMD de Berne ef l'écèehé de Hâle,! deux pouvoirs qui, pendant de lon guPs, Hun6es, se RON tourné Le dos, iCette paix Si nouvelle esp encore nu peu fragile, inats couservons-la avec Son comte un objet pré: lcious. LGtnt el Péglise chacnn dans fe domine .quétui est propre, idoivent travailler a bivn du peu- pole. Le gotivernement hernois se [ent see progvannue, et ba per sonne du prélat qui vient d'être vonaeré 6$t garante que, du côté: lde lévéché de Bale, ou est antite Pdes=mêes filentions?,
A Biirren est un protestant, ef d'opinions, connue on dit, “avan cées", Mis avec beaueoup d'au ilros, il discorng fes avantages que le cathalicisnie procure à un pass,
- LA ;
eo
‘ VISITEURS, ESQUIMAUX Enthousiastes pour le bon | Tabac
Les merveilles de la civili salon moderne daissent indifférents jes qualre esquimaus Savakak, Artdoin, \iwinga ct Tapila, récemment de | passage À Montréal, où les vain conduits quelques officiers de muson Révilou Fréres, Les qua- tre “visiteurs des zônes gliciales sour'nient et prenaient no peu int térot aux anmisements de fours fré- res blines, mais ils ne montrérent pas bouuvoup d'enthousiasme pour les merveilles méeatiaques eut vor vaient pour a première fois.
La vue d'unut ehoïe cependant, avait invariablement Peffel de ren dre ce quartette joseus autant qu'on puisse Je désirer. Le tabac qu'ils | ne eopnaissaient gaUCHnenent avant de S'embarquer sur de navire en Bévillon”, qui des u conduits de Bakou Lake à Livefpool, Nouvelle
|
\
Écosse, était Fort apprécié et goûté du ces braves gens.
Pour adoucir fes sigueurs de Phi: ver seplenirionnt, Lous quiudre. ne prés avoir essivé plusieurs varié és de tabac qui leur tail offert umportorent avec eux à Pagwu, On tario, une abondante provision de cigarettes Milbank Virginia el de tubae à lumer de li marque Dixie Bright Plug contenu dans des boi tes spéciales el herméliquement fer. mecs, est évident que ces peit- ples primitifs ne sont pas lents à Saisie da valeur et Lx qualité d'une chose qui est sotinise & leur appré- ciation. -
SPIRINE
LAVERITABLE 4
| | | | Prenez sans crainte,
les instructions contenues dans | chaque paquet “Bayer”.
A moins guüe vous ne VOyitz le nom de Bayer en croix Sur lc va- quet ou les pastilles, vous “obtenez pas des véritables aspirines Bayer
reconnues sûres par des initlions
et prescrites pur les médecins de-
puis plus vingt-cinq an$ contre Rhumes Maude lête Nephrite Lumbago
Rhumatisine Douleurs , paquet Bayeï non déca-
Maux de dents Névralgie Chaque 1
chelé contient un mode d'emploi éprouvé. Les hoites facilement ma-
douze pastilles ne coû- Les phar- s bou-
niables de tent que quelques sous. Le maciens en vendent aussi UC teilles de. 24 et de 100,
en = me
2
NOFFRE AUCUNDANGER.
suivant COURS COMMERCIAL en anglais,
Lettre de Mme. Ayars disant commènt le Composé Végétal de Lydia E. Pinkham l'a soulagée
Sprinr Valley, Sask"J'aui pris le Conpose Végeétal avant mon der- nier accouchement, cut je me rene tais si mal que je ne dormais pus la nuit, see douleurs dans le dos et les hanehes, et le jour, je pou vais À peine faire mon ouvrage. de
n'ai jamais nccouché aussi facile ment, eb c'est mon sixième bébé,
J'ai lu quelque chose su sujnt du Composé Végétul de Erdin #, Pink- ham dans le ‘Farmerx T'elegram,! et j'ai écrit pour avoir un de vos livres. Nous n'avons pas de phar- macie ici, mais j'ai vu votre rame de qunoueé daus le entalogue de M Eaton, Je suis l'épouse d'un abri- culteur, done j'ai à faire les Une vaux appropriés Man bébé est une jolie fillette en #unté qui, à sa naissanee, posuit 9 livres, de me porle bien, après avoir préparé un grand jardin depuis sa naissance (le ost aussi bonne qu'elle pout l'être), Votre remède ext Je ineils leur pour les femme, j'en pi paris ob mône éevit à mes amis" -Mme Aonie À, Aus SprinrN'alrn, Sage katehewntn,
Lo Composé Véeétal de vdi EF Pak eat eçenlinnt pour Las nie res dans Patlonte, olles devraient en prondre durant tout la periode, H fuelifie ef tante lo systéme en vétrérat, af de Je faire wipondro us détorins dec voture sur tous tapports Vous les phuvmaelens vone dent ce remède fiable, Vesuyez-lo
Deva
‘ i porter sa femme M, rois Bis d'Etina, Sushs, de css Ma fonmie est lonbée malade uprees avoir donné naissance à un unraut, Ses nains el ses pieds 6 Bent Si cnffés que je devais fa por ter l'on endroit à Pauire, Le doc- Leu dit que c'était des rhotintis- mes, de ai emmente à l'hôpital, M Les docteurs diront que c'étail une mafndie de sans File n'atiait pus peus el lai ramenée à la mai son ef ti commencée à bai donner du Navore du Dr. Pierre. Elle va és bien auaintenant et a tres bon- neomine, Ce roméde végétal bien connut apiéliore Et eondition dt sang el débarrasse fe svstéme de ses nr puretés. HE est vendu directement, pas dans des pharmacies, Éerire an Dr, Peter Pahrney & Sops Ce, EH LE Waushineten Bvd, Chieugo, HE
Livré exempt de douane tt Gn- nach, L'ex-chancelier d'Allemagne
aux Etats-Unis
Cblonue, Be De Wish nn eue lhotique fervent, ancien chaneelier d Allemagne, vient de eonplétes ne-teaurnée heureuse dans l'ouesi
Lnesen en faveur de fn pris et de
Paunitié Inlermitionale, Avant so départ il a assisté à a messe à Pé ghise des Pranecisenius SCPicrre, Durant son séjour jei, 4 commu niqué son message de conciliation à certaines personnes bfloentes de cetle partie di pars.
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vécu sous sa direction durant Îles années difficiles du début. vonsurvions de lui le meiïlleur des souvenirs: Pintérèt qu'il nous por- te lui donne un titre de plus à no- tre affection.
nous quitter sans adresser Lt paro- le aux élèves.
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ui sont affilites, entre autres Île soliège de Sudburv et celui de Gru- velbourg, Son cours classique est
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gnent, Joseph LAFRANCE, Elève en Philosophie, Collège Mathieu, . Gravelbours, Sask, Gravelbourg, 25 nov, 1925
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‘Fout d'abord on éprouvera une joie réelle à parcourir les six pa- ses que l'honorable Monsieur Tho- imus Chapais consacre à la mémoi- ire de Monsieur Mjred DeCelles, dé. cédé dernièrement à Ottawa, Ensui- ie, un autre canadien francais, qui idumeure à Paris expose L’oeunre | d'irréliqion que la politique fran- enise poursuit depuis qu'elle a léhassé Dieu de Pécole, Cette étu- ide est une sorte d'analvse du tout
iSouvenirs el impressions de voyt- lues dont nous fait part Monsieur l'abbé Cvrille Gagnon qui, Pété der “nier, s'eét promené dans lPOuest lavec Ja Liaison française. Cette fois UM, Gagnon nous entretient de La Suruivance des nôtres là-bas. Mon- Sicur Gaillard de Champris donne ‘la suite de ses Trois discours sur il“histoire de France, dont la pre- 'imiére partie à parue en avril der- nier, Les Normands en Gaspésie An divivimne siécle, c’est le titre de laueiques pages signées par. Antoi- ac Bernard, cs.v.. Pautour du char- sumant livre La Gaspésie au Soleil, Un professeur d'anglais nu Sémi- !naire de Québer, M, l'abbé Armand
récent livre de Monsieur Eugène ‘'Favernier, EE puis, ce sont les
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mander un numéro plus complet et plus satisfaisant. Le Canada fran- ais se recommande donc de lui- mème au public instruit, Abonne- ment $#3.00 par année. Casier pos- tal, 218, Université Laval, Québec.
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: Méthode de peiement
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‘La’ méthode de vente élaborée par le Cartel pour remplacer celle pratiquée jusqu'ici par les cultiva- teurs, a pour but d’éliminér la par- tie .hasardeuse ct spéculative dans la disposition des grains. Quand Ja majorité des cultivateurs s’occu- paient individuellement de la ven- te de leurs produits, ils avaient à combattre contre les forces combi- nées d’un marché spéculatif et leurs propres nécessités économiques. Un très grand nombre de cultiva- icurs avaient besoin de leur argent dés la récolte terminée, car c'est l'époque de l'échéance de ‘diverses dettes, pour ne rien dire des dé- pénses occasionnées par les récol- tes elles mêmes. dépenses quil fal- fait solder immédiatement: À cau- se de ces circonstances ils étaient dans l'obligation de vendre leur produit précisément au moment où les prix sont les plus bas, Avec VPa- doption de la nouvelle méthode mi- se en pratique par Île Cartel, tous ces inconvénients se trouvent écar- tés. .
Un cultivateur faisant partie du Cartel peut livrer son grain en n'im- porte quel tenips et recevoir un !- compte qui lui permettra de sub- venir à ses besoinsiles plus urgents. Au cours de la saison et suivant les ventes faites par le Cartel, d’au- tres versements sont faits au cours de l'année: enfin lorsque tout Île grain a été vendu, le produit total est divisé entre les membres en pro- portion de la quantité et de La uua- lité que chacun d'eux a livrées au
Cartel, et ils recoivent un verse- ment final après déduction faite des, frais d'administration. L'an
dernier, en se SCrvunt comme base du prix du blé No. 1 à Fort Wil- liams le Cartel fit un versement ini- tial d’un dollar par minot; de bon- ne heure au printemps un second versement de 35 sous par minot fut fait: um peu plus tard les membres recevaient un troisième versement de 20 sous per minat, et à la fin de lPannéc un versement final de 11 sous. Cette année, la base et le versement initial sont les mêmes que l'an passé. n . Tous les/membres du Cartel par- ticipent à la distribution des’ recct- tes. Les cultivateur: avañt moins d'un char de grain à expédier. é- iaient autrefois obligés d'accepter le prix que l'achrieur de la rue vouleit bien lui offrir — ecs prix éluient souvent très bas: ils peuvent waintenant livrer Jeur grain au Cartel ct en recevoir. le versement initial d'un dollar, moins les frais de transport à Fort William, en at- tendant de participer au partage des versements subséquents.,
Afin de faciliter les relations des membres avec le Cartel, ce dernier a organisé des comités locaux dans
soit an cours commercial les plus jeunes élèves qui nu seraient : Dumont, nous dit cv que sont Les fnresruée tous les endroits où se fait pas assez avancés. ; cours d'été & l'Université d'Har-\expédition des grains. De cette Pour plus amples renseignements s'adresser an: | jure. Ft Monsieur Maurice Débert. facon les, eultivateurs "désirant de a oujours sous Ja mème rubrique, plus amples’ ‘renscignëments. peu ALERDES DHTEN EFCTEU |} + , a °c? - RIY EREND PERE RECTEUR, j, Quelques livres de chez nous, ap-lvent s'adresser au comité Le pins : ; Collège Mathieu, siréeie dune facon très personnelle rapproché ou au Bureau Chef du ., : . Gravetbourg Sark | Par picille Andleterre de Monsieur Cartel de leur provineé. Comme ; Philéas Gagnon. Ajoutez à cela lalnons Pannonéions dans un récent ea — Chronique de FUniversité et leslarticle, toute question relaiive atx RE = |compies rendus de plusieurs volu-oncrations du Cart est assurée peu EEE ME RER RE beapinioins ee LICE canadiens et étrangers, U fau-{ dune réponse courtoisie dans nos . Éldrait être très exigeant pour de- colonnes. . re TT ne . ‘ ( C POULIN & ‘ ILS on
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Dimanche le 22 novembre, les dames de fn Ligue donnaient une soirée de chapeaux. Chaque Mon- Sicar allait pécher un chapeau et
était supposé le porter toute la = Jsuirèe. Aussi da salle présentait un aspect intéressant, HN était
vraiment beau véir toutes ces têtes imasculines couvertes de roses rou- ges, sertes, aus couleurs Îles, pins vorantes. dieit une parlie de cartes qui fut lance avec entrain. | | Le prix des dunes, un joli petit set -- don de Mine Jos. Houte —- fut gagué par Mile Hélène Lévesque. Celui des hommes -— unc bourse à labac en caowichouc.don de la Ei-
va-t-il cn faire? Sinon remettre sont cadeau à la ligue, pour qu'on le fasse gagner né aültré fois, par quelqu'un qui pourra s'en servir, Les prix de consolations, une suce et une bouteille d'Orange Crush, donnés par Mile Paudoux, échurent l'un à Mile Marv-Belt Guilemette ct l'autre à M. Régis Léogicr,
Puis Fon procéda au tirage de deux petites loteries: Une boite de vialique -- don de Mme JE. Des-
sert — fut gagnée par M Nick Zaaud. Un joli dessus de bureau en toile -- don du Rés, Père Jan,
|
O.M.L,. ful gasné Betis Baril, | ensuite une auto en miniature, vrai chef-doeuvre, faite et donnée par M. Frs. Huonjet, fut vendue à lencan germanique, : MS. Baudet en fût Pheureux gagnant. B'n sentiment M Baudel en fit cadet à da ligue qui la remettra en ven- te dans une autre soirée. re Après un goûter suceulent, servi
pur x jeunc
par les dames, M, te Dr Avotte nous
égava par une récitation comique: “Ma cousine" US |
Le résultat dè cette fèle.a été tu- dessus de nos espérances.
M, Elie Plaguin s'est cassé une fkunmbe et a recu des contusions tn- ch travaillant un vieux
à JHipuits, M. Ploutin se servait d’un fenêtres doubles et surtout. les fameux charbons | tonnes DES faire descendre, . a à : Tige no 4 : Hiquis : eèble cassa e î us Roëïccdale et Pembina. Essayez-les. : RES sébie tasse et il fut pré
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Le pr + FU, Le non dé notre petite parois:
se apparait pas souvent dans les ;
Aprés cette vente, cùt
eue -. fut enlevé par M. Simplice aude M. Baudel ne fail pas hon. neur au tabac... alors que pvoar-
8 Hafford, | ré.
colonnes du Patriote. Si nous avons bonne mémoire, il va bientôt deux, pans que nous, nv avons pas donné
ons pas mourir de sitôt,
Pour ne pas, nous clendre trop longuement, noûs ne chercherons pas à relater tout ce qui s’est passé duns notre paroisse depuis deux ans; nous nous contenterons de di- re quelques mots: au sujet de Ta vi- site pasturale dé notre bien-uimé é- vèque, fin septembre dernier, et de notre Bazar, derniers,
vendredi, et sumedi
Vers Les 4 brs-de Paprès-midi dif
23 septembre, Sa Grandeur Monsei- gneur Prud'homnre nous arrivait de Marcclin, accompagné du R, P. Adam, de son secrétaire, M. Pabbé Laliberlé, et de M. Pabbé À. Arès, vicaire de Marcelin, M. l'abbé D. E, Paquette, curé de St-André de Blai- ne Lake, recut , Sa Grandeur au presbxtère. Des travaux. d’'embel- lissement entrepris à noire église, étant pas complétement Lerminés, on ne fit l'entrée solennelle à Pé-
glise que le lendemain: : Done, le 24: septembre, à 8 hrs du matin, Monseigneur faisait son entrèe solennetlé dans notre pro- prette église, Sa Grandeur dit en- suile la sainte Messe et disiribua Ja Sainte Communion à. plusieurs de nas toul petits enfants —— leur Pre- mière Communion — et à un grand Inombre de baroissiens, Après sa messe, Monseigneur fit l'examen de #atéchisme de nos enfants devant iêtre confirmés. Sa Grandeëi pa- rut satisfaite des réponses de nos enfants. et dans son ranport adres- st des éloges à notre dévonéc calé- chiste. Mme ‘Alex, Colleaux, A T0 hrs, M le Curé: chantait fa and'Messe, Monseigneur assistant au trône, Après le chant de PEvan- aile, notre Evêqué adressa la parole en ntigluis ét en: féanvais, La .en- core, Sa Grandeur nous dit sa sa- [tisfaction en constatant le progrès aceompli dans:natre paroisse de- puis sa dernière visite DArME nous. *Abrès la Grand'Meise, Monséisnéur administra Je Sacrement de Confir- nation à uhe“@narantaine de nos enfants. Puis dans Parrés-midi. notre Evèque “nous auittait pour accompagné, de noîre Cu-
. RE
A la réunion ‘des Syndies ténue au presbrièré antés Hi Graind'Mes- ce, sous la présidence de Monsei
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signe de vie, C'est que nous som- mes un peu trop modestes, etaussi, laque fes grands événements n'abon- [ET dent pas toujours. - Nous ne som- tes pas. morts cependant, et nous [k . prouver que nous, ne vou- FES
Cm ee ee
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gneur, on souleva la question d’a-. Voir — dans:'un avenir assez Tap- proché — une école séparée, ct Sa Grandeur nous a demandé d'v pen- ser sérieuserñiont, Certes oul, On va y penser, et nous espérons que sous pell, nos € cevoir une plus s0 { ; gieuses; car, il est bie nentende que si nous avons jamais une ECO- le séparée à. Blaine-Lake, elle sera confiée à des religieuses.
#_Disons maintenant un mot de Nous ne, sommes pas de donner le résultat aujourd’hui, mais, sa- vons compté la Comme
notre bazar, en mesure complet dès medi soir, nous à belle somme de $1109.45. L on le voit, c’est un beatt succes pour notre petite paroisse de 40 fa- milles, Îlest vrai de dire que nous avons eu de laide des paroisses a- mies environnantes, Marcelin, Duck Lake, Shell-River ct et nous remercions de tout cocur ceux qui nous ont aidés et cncouragés si bien.
Debden,
ûge d'entreprendre cette tâche, 1 tourna alors ses regards vers Île: nord et n'eut pas de peine à trou- ver ce qu'it lui fallait. Miles Gil- berte Ouellette et Antoinette Ven- ne acceptèrent avec empressenrent l'ingrate tâche de se faire quéteuses Jr l'amour de Dicu et de son E- Et comme il faut touiours gagnante à ces Mlle Venne ulement sur lette. Mile
et Mile
Comme on Île houde, mais ani- de charité, travaillant
pour Î glise. une perdante et une senres de. concours, Pemnorta de 528.00 se sa concurrente Mife Once Venne recueinit 8332.15, Quellette. 5304.75. voit, Ja Jufte fut c mée du pins bel esprit les deux jeures filles souvent ensemble.
A ces jeunes filles d’une paroisse étrangère à la nôtre qui se sont si bien dévouées pour nous aider à faire de notre bazar un st heau suc- cès, nous adressons publiquement un chaleureux et cordial merei.
Merci aussi à noï Dames d’Autel, à tous ceux ct celles aui ont prèté leur concours pour l'organisation de ce bazar, et à tous les génégeux donateurs d'articles à vendre ct à râfler,
Notre dévoué Curé nous a an- noncé dernièrement que nous rc- prendrions.en décembre nos par- ties de cartes. Chaque famille se fera un plaisir d'y donner sa part de travail, car Porganisation de.ces soirées sefa confiée à 3 ou 4 famil- les à la fois, comme ecla se fait en d'autres paroisses où cela semble donner grande satisfaction.
Les recettes de notre buzar vont nous permettre de ‘rencontrer tou- tes les petites dettes dr notre pa- roisse, nous laissant même un sur- nlus. Mais nous avons lambition d'ajouter un choeur et une sarris- tie à notre éslise, et nous voulons commencer dès maintenant à re- cueillir les fonds nécessaires pour mettre notre projet en réalisation dès Le printemps prochain.
nfants pourront re-. LE éducation religieuse ignée, donnée par des reli-
Un moment, M. le Curé fut em- barrassé: il voulait mettre des can- didates, mais il n’avait pas Hne sCu- h ) le jeune fille dans sa paroisse en ver curé,
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Nous sommes heureux.de sou- aiter la hienvenue à -notre nou- , M. l'abbé Magnan et tous nous’ Fassurons de notre fidélité, de notre respect ct de “notre dé-
oucment.
_—Dimanche le 22 notvembre, à 9 heures ct demie du soir, mourait M. André Gaudry, à l'âge de 73 ans. M. Gaudry vécut 54 ans dans ce pays et en lui disparait une des pages les plus vivantes le l’histoire des prairies. Ils sont rares en cef- fet maintenant ceux qui comme jui connurent la prairie dans toute sa splendeur sauvage, d’il y a un de- mi siecle, qui vécurent la vie rem- plie, de dengers des premiers qui s’aventurérent sur, le sol où nous vivons tranquilles aujourd'hui. M. Gaudry fut un de ceux qui furent intimement mêlés à lhistoire de l'Ouest, Ce fut lui qui. fut lintér-
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prète lors des négociätions entre ef
chef indien Sitting Bull et Légaré, représentant les forces américai- nes. Grâce à sa connaïissince des dialectes des différentes tribus in- diennes, il fut d’une grande aide au gouvernement et à la Police montée.
Né à St-Vital, Mauitoba. il vint à la Montagne de Bois, à lPâge de 19 ans et so livra à fa chasse du buf- falo dont de grandes bahdes er- raient alors dans Ïa prairie. : Deux ans plus tard il s'établit définiti- vement ici. Il installa un noste de lraite de fourrures avec Îles In- diens:; il mena longtemps la malle au service du goûvernement entre Moose-Jaw et Willow-Bunch.
En Jui rendant un dernier hom- age il nous semble saluer sur sa tombé tous cenx dont Ia vie rude nous prépara alors notre Ouest mo- derne.! . ,
Ses fnnérailles se firent le mer credi 25. dans Péglise de St-Victor remplie de parents et d'amis de plusieurs points de la province. M. Octave Gaudry, son frère, établi à St-Victor s’occupa de tous les dé- tails des obsèques, A cette occça-
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sion étaient présents: Mme ua de Lebret, M, Lagacé de Lebrt | Paquin et de nombreuses personne. 1 lités des paroisses avoisinantes, | 4
En saluant une dernière fois | tombe de M. André Gaudav, nous + prions sa nombreuse famille d'ac É cepter les condoléances de toute . paroisse, l
—Les abonnements au Patri, À de l'Ouest peuvent être pris che; 4 M. 3. D. Lalonde. II s'occupera de à faire publier les annonces que vor, 4 désirez faire insérer dans le pe. triot,e de renouveler vos abonmr. ments et d’en prendre de Hou ve ainsi que de faire exécuter vos tr. vaux d'impressions. :
Aidez le Patriote, le journal q représente notre langue.
h à 1. à
Re ————
SHELL RIVER, Sad.
Notre bazar cst terminé et a ét un vrai succès, Nos condidate Miles À. Beaulac, M. Lemoal, D. $ ‘pierre et B. Pelletier ont reccuill 61148, qui avec le revenu des tables $ laissent une recette nette de SA Nos félicitations et remerciement $ à nos candidates qui ont travaill % avec beaucoup de dévouement et di * savoir-faire.
Notre paroisse se trouve dont : maintenant en cexcrllente position à financière, jouissons-en. i 4
—Notre Comité de VA €, F. Ce tudie le moyen d'arriver à souteni pécuniairement chaque année no oeuvres nationales; car il faut sx 2 voir voir plus loin dans l'avenir qui le bout de son nez, et comprendre à que nos intérèts quant à notre “Sur: 4 vivance Franco-Canadienne" ne son! 4 pas confinés aux limites d'une pr à roisse.. :
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Pourquoi ne règlerait-on paf : l'heure d'été d’après le thermomi, tre.
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Les carillons sont rares aux E : tats-Unis. On n’a d'oreilles que 4 pour la cloche des caisses enre À gistreuses, !
CR meer enr er ana drmemmt
| Lisez-moi
-,. Monsieur l'Administrateur,
. Patriote de l'Ouest, Prince-Albett, Saskatchewan.
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Vieux célibataire.
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Montmartre, ce 20 novembre, 1925.
cette lettre
d'un propagandiste
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… Le 13 courant je recevais le joli “Kodak” que vous offrez ‘À tous ceux qui vous font parvenir trois nouveaux abonnés au journal. Je dois vous avouer que je fus très agréablément surpris. Malgré que vous preniez soin de prévenir vos lec- teurs qu'il ne s'agit pas d'un jouet mais d'un véritable appa- reil photographique, je ne m'attendais pas à recevoir un appa- reil de cette valeur. C'est à ce moment qu'il me vint une bon- ne idée— j'ai-plusieurs nièces et neveux—voici me dis-je un excellent moyen de faire plaisir à tous ces enfants. -offrais à chacun un de ces “Kodaks”, ils seraient bien contents -et je ne ferais pas de jaloux. ‘ : | __ Je viens donc de terminer ma petite tournée de visites dans le voisinage, et je vous inclus un mandat pour la somme dé $38.00'ainsi qu'une listé de 19 nouvéaux abonnés. c'est aussi facile ailléurs dans la province de trouver de nou- veaux abonnés, vous n’autréz jamais assez de “Kodaks” pour satisfaire toutes les demandes. : " Dans l'aitente dé mes primes, veuillez agréer, cher Mon-
_ sieur l'Administrateur, mes bons souhaits pour le succès du Patriote, et les remerciements anticipés d'un
Si je leur
Si
€ ils sont de construction métallique d'un béau fini et ils donnent d'excéllents résultats. Chaqué appareil est accompagné d'un livie d'instruction, l'opération en est simple
EN E
SERVICE SE
BU
PONTEIX, Sask.
“1 de M. te Curé, Fe fuit novembre, célébrait son
n
notré dévoué cinquante-
asteat : in ième anniversaire . de nafs- Ua Les paroissiens. prenant
AE Ce n ut à cette TE a LéRIUIYRCT À à it se aération qu'ils Jui” portent. Ass, $ sont-ils réunis: nombreux ns Ja sale paroissinle où, aprés M partie de Whist hebdomadaire, LR “umme récréatif à été
joli pros \ Cr aouté Tous la direction de Mmes
potvin et Roy. J . Je ne peux m'empêcher de.sonli- mer de beau discours de M. l'avo- eat Marcotte qui se, fit l'interprète de tous Ceux présents, En des paro- les appropriées, Îl félicita chaude- ment M, le euré; DIS ajouta auc cette solidarité de sentiments «pre nait racine dans les qualités mêmes de celui qui préside aux destinées religieuses de Ponteix, En effet, je prêtre dans une paroisse doit c- tre le père de touss EH doit être sur-! tout Le père des tout-petits qui sont Pespérance de l'Eglise ct de fa Pa- gi G'esl en agissant de cette ma- niere que M. Poirier s est conquis | tous les coeurs; Ses DarOIsSiens sont unaniines à l'affirmer, "y le curé remeréia les parois- Sens présents de cette démonstra: tion filiale, Î dit que soul Pamour du bien Fa sridé dans la direction des ames confiées à sa charue. algré les années qui s'accumulent sur de chemin de la vie il n'a qu'u- se ambition: celle de continuer à travailler à a sanctificatian de sa paroisse, .
ont vouhe de nou-
D), LS
BELLEVUE, Sask.
a
Bazar: N .
Enfin notre bazar est terminé et jout le monde est content, D'abord ls plus intéressés pour-le magni- fique résullat obtenu: il-a fait ren- rer duns la eaisse la jolie.somme de $2223.65. Pour obtenir un aus- si beau résultat on peut dire que tous étaient du nombre des plus intéressés, mais il pouvait Y en a- voir qui trouvaient qu'on venait lur offrir des billets un peu sou- vent, et.maintenant les voilf sou- hués à leur manière, Nous étions habitués depuis quelque temps de rencontrer les demoiselles et Îles dames un livret de râfle à la main et voilà que c'est tout à-coup chan- LT UN “Les deux soirs il y avait beau- coup de monde et tous dépensaient «vec une sénérosité exemplaire, .
Les paniers étaient très beaux ct ik ont décroché des prix presque fabuleux: iugez-ch un peu Dar COUX des candidates: celui dé Mile Ber- nadelte Gaudet s'est vendu #200, et celui de Me Ina Comeau, $100. La BB. Gau-
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candidate gagnante, Mlle
Feuilleton du PATRIOTE.
Adélard
Un enchainement de circonstances providentielles remet entre tes Mains la disposition de ton avenir; cest une bonne fortüne que tous m'ont pas deux fois dans leur vie. —Sil n'en dépendait que de moi, Louis, ce serait vite décidé, Mais
.—TFa feume? ton fils?... Et toi? Ne comptes-tu pas pour quelque chose, toi? D'ailleurs eux-mêmes ne sont-ils pas aussi d’origine ca- nadienne” Quel droit ont-ils de re- noncer à leurs ancêtres et de te tontraindre à en faire autant? Il est pas plus permis, il est aussi vil de rougir de sa patrié, de l'ou- lier, de In délaisser, que de re- nier ses parents. Ne nous force Pas, Francois, à maudire ton ma- “age, que nous .avons déjà bien assez regretté. Cette alliance si Prompte, cet oubli si facile des pro- messes que tu nous avais faites À nous, à une autre aussi, ce sacrifi- ce allègre de nos espérances Îles plus chères, tout céia nous a sur- pris, presque scandalisés, Ne nous aise pas croire que ton mariage brécipité fut le malheur, la grande faute de ta vie.” ‘ der ghprochait des granges. Les Satan ln res se séparérent, M. Louis "i area dans le potager, François gagna la maison. Bientôt les i nes revenaient des champs et ner se lrouvaient réunis pour le di- se Mo pois parut songeur et pue peu loguace,, $ fait gpee Qu'à lui, sa décision at: se en rte Prise, mais dès qu'il me uvait en présence de sa fem- compige POuvait pas ne pas voir jen en elle était cirangère au mi- manger a dien. Devrait-il lui de- ces : r de sacrifier ses répuenan- + inévitables, devrait-it ui impo- SeP 54 volonté? . :
CHAPITRE SEPTIEMT Ennuis
te aprés-midi là, Trançois @l the Chen jéevaiont alice prendre le sôn eôté. Re docteur Paitavin, De obus qe + Lôuis partait par lPau- M pres deux heures pour: aller en Shvière, où fl se proposait
Danser la nuit .cliez son vicil
nu L ‘ FS ‘îe Eränco-Canadiens
a M. Poirier toute |
meme meme pu a
La Campagne | _ Canadienne
rte
per
Dugré, S.J.
ma femme? mon fils? : que par la route provinciale. Le
S'il n'enstions ct des réponses. qui
“PATRIOTE DE L'OUEST
det a ramassé la somme de S5S8U.8G
ct elle était suivie de bien près par Mile Comeau- avec S53108. IE faut
avoir été candidate pour savoir la some de travail et de dévoucment qu'il faut v mettre pour ramasser une telle somme: aussi elles ont les
‘rüberciements et les félicitations
de tous, mème de ceux à qui on a beaucoup demandé, . Lu voue de fortune à S173,95; la pêche miraculeuse, 120.15; x Table Bienvenue de Mmie- Walter Houle, 8327.72, et ain- si.de suite; en tout le total ‘men- tionné plus haut $2223,65,
Ce qui avait attiré un grand nom- bre de personnes du dehors c’était la séance gratuite qui à été très goù- tée, La comédie “Le Cambrioleur Malgré Lui” à remporté Je plus franc succés, si lon en juge par les applaudissements qu'elle à pro- voqueés,.
En voici les personnages:
Popette, M. Norman Comeau:; Bri- cole, M. Emile opping: L'inspec- teur de Police, M. Edouard Ashbv,
La tragédie: “Le Poignard” a aussi été très bien exécutée et bien appréciée,
i les personnages:
rapporté
Voici Le gouverneur du petit Chatclet, M. Walter Houle: Le prisonnier, M. Maurice Rompré: Gauthier, M, A- drien Gaudet: Gilbert, M, Edouard Ethicr: Premier garde, M. Norman Comeau: Deuxième garde, M. Elie Gaudet. .
A part ces deux pièces il v cut de petites savncttes exécutées avec art par les élèves des écoles Belle- vue et Gaudet, et du chant et de fa musique par des artistes de Belle- vue et de Pétranser, En un mot, le tout à été un franc succès sous tous rapports, el merci au nom de la paroisse reconnaissante à tous ceux qui ont contribué soit par
leurs dons. soit par le concert, par ltres ci-dessus mentionnés, leur travail ou par leur argent, au fouré et toute
suceès de notre bazar.
[ce résultat, vu le petit nombre de familles «catholiques, tout au plus une douzaine, Les organisateurs de cette petite réunion étaient M. M, Skara, un polonais: M, J, Félix, un allemand: M. Ephrem Dauvin, un belge et M A Jeanneau un ca- nadien-français,
Le comité des femmes était con- posè de Mme Félix, Mme Youngpc- ter, Mme PDesauinier et Mme Skarra.
er man en %:
DOMREMY, Sask.
. Notre graciouse église s'embel- lit toujours, Dimanche 22, M. le curé Louison, avec
l'autorisation de Mgr l’évêque, bénissait un ma- gnifiqué Calvaire avec personnages de 4 pieds de haut,
Le décor est dù at pinceau des Religieuses du Précieux Sang de Prince - Albert, Le Christ, entre autre, est un véritable chef-d'oeu- vre: l'artiste y a mis tout son coeur et toute son inspiration: quelle veuille bien accepter no: plus sin- cères remerciements, Ce superbe calvaire placé au-dessus du Mai- tre-Autel de notre église, est Phom- mage de piété et de réparation of- fert au divin Rédempteur par les paroissiens de Domrémw, Deux nouvelles statues de St-Soseph, cet de St-Anne ont trouvé une place
d'honneur dans les” transebts de l'église, Stoseuh nous à été offert
par M. l'abbé JF, Euv. Lachance, ptre nrofesseu au collège de Lévis, Qué. Ste-Anne est un don de M. Jos, Ar- sène Georget, fils d’Alexis, en re- connaissance d'une faveur obtenue,
Un magnifique assortiment de chandeliers orne maintenant l'autel du Sacré-Coeur, il est dû à la ge
nérosité de M. Arthur Taillefer: M. Joseph Gecorget, fils de Francois, -_en reconnaissance lui aussi de grâces obtenues—a gratifié les au- tels du S.-C, et de la Ste Vierge, de mauynifiques bouauets de fleurs et de deux paires de beaux candèla- bres. ‘
- AUX généreux paroissiens dona- teurs du Calvaire, ainsi qu'aux au- M. Je la paroisse disent Et qu'en retour le
grand merci. les saints protec-
divin-maitre ct
6: teurs de notre église, leur obtien- PETERSON, Sask. nent grâces et succès dans leurs affaires, On nous promet un ni- Peut-être ‘ m'avez-vous jamais|gnifique confessionnal pour la entendu parler de Peterson, Une Noël, Ge sera un petil bijou, pa- belle petite place sur le C. N.R. en-[rait-il — il nous arrivera de bi
tre Meacham et Fotzke: de
très [province de Québec.
Les noms du
bonne terre, trois élévateurs, deux donateur, et de Pébéniste émérite,
magasins, cour à bois et deux charbon, bureau de’ poste, bouti- que de forge, garage avec un ou- tillage moderne pour réparations, jeu de restaurant, plusieurs une église,
billard
fes battages sont finis depuis|28 ans que € 0 une dizaine de jours: les fermiers truisait la premiére leur machine à {sait, le tra ( la fin de celnasteur ct paroissiens älles quinze premières
ont tous chacun battre, Pour célébrer battage qui a duré si longtemps ause des pluies et neige, on à or- ganisé un banquet au profit de
résidences et|fondateur de
à seront. connus en temps opportun,
Visiteur distingué: Le bon Pè- re Barbier, curé de St-Brieux, était,
toute sorte delces jours passés, l'hôte du presbv- avec [tère, Le Père Barbier est le curé
la paroisse de Ste Domrémv, Hva digne prêtre cons- église, et Dieu rail et les sacrifices que
endurérent années de la fondation, Le Père” Barbier a lais- sé parmi nous un impérissable
Féeanne d'Arc de
l'église, et qui a trés bien rapporté, [souvenir de zèle ct d'abnégation--
car la recette a été au-thessuis $400 clair. . ‘Fout le monde a été
ami, de curé de Îa Pointe-du-Lac.
A trois heures, les époux Barry quelques instants, se dirigeaient done vers le groupe lenfants remontaient du rivage, des
de msisons d'été où l'élite de la société tritluvienne se réunissait pendant la belle saison, La villa du Dr Poitevin était bâtie sous des arbres encore jeunes, bien en face du fleuve, dont elle n'éfait sépa-
ropriétaire n'était pas encore chez fai quand on arriva, us it suivit de près ses invités. | gé ses heures de consultation et Supprimé quelques visites pour € tre fidèle au rendez-vous. Il trou- "x réunies dans son parterre les dames du voisinage, fenimes d'a- vocats, de médecins où d'hommes d'affaires, qui passaient ensemble les mois d'été. Les muris ne rer viendraient de la ville qu'aprés la fermeture des bureaux. Devant la meison, à une centainé de ver ges, les enfants barbotaient dans Veau ou couraien: sur la plage, at- tirant par leurs cris ct leurs proues- ses les joyeuses remarques des ma- maps.
La collation, servie par des
riche et variée, fut
culèrent pendant une demi-heure. Une partie | €
faisait en anglais, par égard 3 Fanny, qui ne qu'avec difficulté corrections,
et beaucoup
croisaient, le Dr Poitevin, toujours positif, s'était rap
Rivières. de plus en plus fi tit, et il n'v. avait pas
même à la directrice de tout semblait devoir se sans difficulté.
tention de Fanny t lcéié. Nerveuse cle prêta
Île. groupe dont li e Sa flistraction ne Manque pas EC lire remarquée dés autres fermes
“ d \les conversations st furent quantiheau, MOI Mélranrère, dius son -mrnvais fran-lchez notis.
Ë
satisfait delvisite dernière a été de trop courte
iltout interloqués par cette brusque
br Poitevin voulut d'abord
JL avait abré-
jeunes filles. Beur- rées minuscules, tartines, #iteaux, confitures et fruits nouvezux cir-
de la conversation se pour parlait Le français d’in- A travers des ques- ‘ i s’entre- d'esprit proché de Prençois et lui ‘avait renouvelé son invitation à s'établir aux Ts Ois- Les circonstances étaient favorables, insista- de tent
s . il on avait parlé le matin LIRE eût l'hôpital et
conclure
is parlaient tous deux à mi-vois. ment, depuis quelque temps, quand ai (ieu, k jo Fe fui aîtirée de cc} . l'oreille Güand qu qu d'abord, puis cessa de causer avee iles ciais-Unis, fe éroE Re elle faisait partie. d'é-|" Ne ty trompe Pas, ctiCanada, c'était plus, pauvre,
de laussi, c’est avec un plaisir toujours
nouveau que nous Je revovons, Sa
cais et son accent typique. inter- rompit tout à coup le Dr Poitevin. “Pas ça, Dr Poitevin. de ne veux DAS, moi, Vous dites, Madame?” | : Les deux médecins se trouvérent
Francois rougit un
€ argu- menter: il comprit vite que, nour le moment, toute discussion était inu- tile, Les brèves reponses de Fan- ny, bien que données sur un ton vresque badin, attestaient une réso- lution déià formée, ‘qu'il serait itn- possible de modifier dans une ré- union si ‘nombreuse. La conversa- tion générale se trouvait suspen- due et désorientée par cet inci dent, des dames demandant de quoi il était question, «auires n’osant dire ce qu'elles savaient où soup” connaient, L'entretien languit | puis, comme Îles
intervention. DE peu, apparemment contrarié.
visiteurs sc retirérent. Francois vrofita de leur départ ct se leva pour les suivre. Tout le monde fit de même. Les étrangers furent in- vités à revenir, on prit date pout auclques pramenades et quelques soirées, puis on se dispersa,
Dés que les, époux Barry s’ensa- gèrent sur le chemin qui conduisait à la maison de Baptiste, Fannv re- rit le sujet qu'ette avait entamé tout à l'heure. Dans la paix, rafrei- chissante de cette belle soirée de campagne, cils sen allaient tous deux, balançant la décision qui al- lait orienter le reste de leur vie.
“Alors, Frank, disait Fauny, tu songes sérieusement à “demeurer au Canada? .
_Et pourquoi pas, m'y invite ,
C'est vrai.
Eh! bien?
Je ne puis pas. dur pour moi.
__Mais nou, Fanny,
fanny? Tout Cependant. +. ’ Ce serait trop
nous nous Y
Vois comme on nous.
On s'empresse autour de toi, on ne sait que trou-
ver pour te faire plaisir, __Assurément, nous sonunes D] Pour quelques jours c'est suis contente de mon voyage, Mais ilvaune différence entre passer quelques jours chez des parents et s'installer vour
reeus. À très bien et je
habitucrons, accueille partout. vie. Demeuret ici des mois, années, toujours, n€ etou * aux Etats: François, tu n’y as Das songé !” . .
* François baissa, la tèle. bien la grande objection
redoutée, qui se dressait devant
Jui, Fannv ne ce 1 à devenir cansdienne, et alors il
n'avait qu'à renoncer
ment à son pays. oo aa “Pourtant, murmura-t-il timide-
on sé L
J'en sais
puis, {u ne perdais pas
beau, moins avancé,
b)
bien |
pas retourner {
, C'était | prévue et
consentirait jamais |}
définitive-
fait à un nouveali mi- quelque chose, moi. | Oh! toi, c'est une auire affaire. | tu quittas le Canada Pourine veux pas jeur tu étais jeune. Et au cheng! Fanny. Le moins mais, c'était "Quitiur la maison à 5
Î
durée — nous linvitons à venir passer une quinzaine au temps des dètes du jour de Pan. ‘
Mariages:
Le 28 octobre dernier, M, Augus- te, Gustave Carrier, de Albertville. a contracté mariage avec Mlle Ma- ric Théodora Ethier de PDomrémuv,
Le vingt-cinÿ novembre, M, En- gène Leblanc de Périgord, contrac- tait mariage avec Mile Maria Cl rinda Daoust de Domremv, - M, le curé À, Louison « recu le mutuel consentement de ves heureux cou- ples et leur a donné la bénédiction nuptiale,
A Pruad'homme, le % décembre, dans la chapelle du couvent, M, P, Blondeau de Doemrémr conduisait à Pautel Mile Madeleine Normand.
Monseigneur J.-B. Bourdel, P, D. et curé a recu leur mutuel consen- tement de mariage et M: le curé Louison de Domrémy. à célébré la Ste-Messe et leur à donné fa bé- nédiction nuptiale.
Nos félicitations et nos meilleurs voeux de bonheur et de prospérité aux nouveaux mariés, *
Décès:
Charles Daniel Maurice Préfon- taine, décédé lei 29 octobre âgè de trois mois et néuf jours, enfant de Charles Préfonthine et de Rose Marcotte,
Louis Georges Parent, décédé le 18 novembre, âgé de deux mois et
demi enfant de Edmond Parent et de Maria Hamel,
Bantéme:
Gustave Joseph Georget. baptisé le 24 novembre, enfant de Francois Goorget et de Berthe Begrand, Parrain, M. Gustave Miteau: mar raine, Mme Edouard Cochet, tante paternelle. S
HR
MONTMARTRE, Sask.
Joli concert:
Le 22 novembre dernier, à l'oc- rasion de la fête de Ste-Cécile, pa- tonne des musiciens, un beau con- cert à été donné dans motre salle paroissiale, devant un auditoire nombreux. Je joli programme de chant et de musique à été exécuté var quelques dames et demoise! les de la paroisse nous a prouvé qu'elles avaient reçu de précieux talents de Dieu et qu'elles avaient travaillé à les développer. La soi- rée comportait aussi quelques sav- nètes qui nous ont bien amusès et fait rive. A a fin, M. l'abbé E-A. Thériault félicita et remercia Îles musiciennes et les actrices qui a- vaient si bien’ su nous intéresser, I adressa aussi quelques paroles de félicitation et de remerciement à Mme J, A. Painchaud otgunisa- trice du concert, Le concert, or- ganisé au profit de-notre église, 4 donné le beau résuftat financier de #74, °
Séance dramuliqte
On annonce pour le 8 décembre
vingt ans, quand on.y à vécu heu- reux, c'est dur, Jamcis je n’oubliai ce que j'avais perdu,..Je suis cer- tain, Fanny, tu trouveruis ici heau- coup plus de ce que tu aimes:que je n’en trouvais H-bas.
-_‘Fout de mêème,: quand on est jeune on a l'âme plus souple, Île
coeur ouvert à des impressions nouvelles. A notre ‘ge, tout re- commencer à neuf...
C'est vräi, Fanny, C'est un sa- crifice. Mais ce n’est-pas la fan- tuisie qui nous le fait choisir, c'est ls nécessité qui nous l’impose,”
Fanny ne répondit pas. Sa figu- re légèrement contractée indiquait la répugnance qu'elle éprouvait devant le sacrifice à ‘faire,
“Songes-v, reprit François, nous ne pouvons toujours pas compro- mettre de nos enfants pour satisfaire des préférences, qui, après tout, sont secondaires.
_Secondaires? Comment peux- tu dire cela? C'est le tout de mi vie que tu me demandes de sacri- fier, “Moi, Américaine et femme de
ville, tu veux n'amener dans une campagne.
Mais non, ‘Trois-Rivières, ce n’est pas une campagne. Nous se- rons en ville, nous aurons une s0- ciété. Un te feras des atnies,
Oui, une société, parlons-en.
Que veux-tu dive?
Je veux dire que je ne trouve- rai pas ici la société qui me con- vient,
—Muis ces dames?..°
—-Non. .
Elles sont très bien, ces mes? . ù __Etles sont très bien; c'est sûr, Mais ce ne sont pas les dames qui me conviennent, ‘Tu Pas. bien vu
d£-
toi-mème: est-ce là notre société ordinaire? , , _-Non, je le reconnais. Mais
c'est une société qui peut rempla- cer avec avantage celle de Supe- rior.
Yu penses, toi? Des femmes qui parlent à peine l'anglais, qui ne vont guère au théâtre, qui ne dansent pas cing fois par annte...
_En voilà une affcire.
Tout est là, vent être d'excellentes personnes. polices, dévouées, c'est entendu.
Lie je m'amuse et ! 1 pas avec elles Îles distractions dont jai besoin... Î des sept où huit enfants... jen auront encore, ni | là des femmes de notre société.
Voilà bien l'histoire.
et qui
femme doive être femme,
.
[vez pour elle une vie de jeune
d'homme. € | k sont ce qu'ellés aoivent étre.
les méprises.
îu
loue les Jours. | PoitOvin. |surcments; dame du monde. nous étions chez elle,
Pendani
? —
redi, 2 décembre 1925
ons donc que de nombreux audi teurs vicondront assister à cette bel-
J leur blé et du prix,
\, intéressante renec nu élé donnée, avec
_ des saints!
| demeurent à Keewalin, Ont.
notre existence et Pavenir,
Ces femmes pet-
Mais elles ne s'amuseni, pas COm- je ne trouvera
Des fenimes qui ont ce ne sont pas
Vous! n'admettez pas, vous auires, qu’une Jusqu'à leiñguante et soixante ans, vous Fe Je, quend ce n'est pas une vie Parce que ces femmes
te ne les méprise pas, mais je
Excellente personne, as- elles, spas ni jnais ce n'esi pas une les rolations, moi je n'aime pas les que ‘anciennes: ÊW veux une
elle. n'a uas ; dames à ton goût, moi je veux
RER pt
[a usoir uné belle soirée deéamatique | Fet musicale organisée par les hot mes et jeunes gens de la paroisse. On assure que se déroulera devant nos veux le plus beau drame patrio- tique de uatre histoire, Nous espé-
le soirée et applaudir les acteurs de Montmartre dont la renommée est connue, Mur Grandbois, de Par- ehevèché de Régina assisteru à cct- te soirée,
Baptème:
Wilfrid Jean Marc, baptisé 1e 15: novembre, enfant de Emmanuel Coupal et de Marie Francoise De- rich. Parrain, Wilfrid Coupal : marraine, Lumina Eaberse, grands. parents de l'enfant,
lécolte:
Malgré Le mauvais temps que nous avons ou cet automne, les Dat- tages sont tous terminès, Les Fer. miers sont satisfaits de leur récolte qui à été bonne dans notre district, Hs sont aussi satisfaits de la qualité
GRAVELBOURG, Sask. CHRONIQUE PAROÏISSIALE
Conférence: Dimanche, le 22 novembre, une et instructive vconté- 4 proiec- tions humigeuses, à la salle parois- side par M, le curé Maillard,
Le sujet de la conférence était: “Ro- me", la ville des Papes, la eapitate du monde chrétien, avec ses sott-
venirs historiques, ses temples re- ligieux et ses basiliqnes, son coli- sée et ses monuments antiques, ses tombeaux des martyrs et ses foules de pèlerins, M, le curé nous a vi. vement idtéressés par de récit de ses impressions de vovage dans ln Ville éternelle, au couts de l'An- née Sainte et la description des eè- rümonies si imposantes de lt euno- Un nombreux auditoire assistant à cette causorie, Une partie de cartes au profit de l'église avait précédé la conférer ce, un joli prosgrunme de chiunts, de saynètes et de musique par les demoiselles du Couvent vint clore cette agréable soirée.
Décès: N 1 À Péglise paroissiale eurent Hieu lundi, le 23 novembre, les funérait les de M Wilfrid Gagnon, institu- teur suppléant, décédé subitement le ‘samedi précédent, à l'âge d'en- Les parodts du dè-
viron 23 ans.
Nos condoléances à la famille €
prouvée,
CHRONIQUE DU COLLEGE Au Jardin de l'Enfance,
Une impressionnante eérémonie relisieuse a eu lieu au Jafdin de VEnfance, lundi le 23 novembre, Madame Richard Decoek, de Wood Mountain faisait son abjuration au
pu tester cinq minutes tranquille, Toujours un marmot gntre les ‘jambes, toujours un mot à dire À
l'oreille de quelqu'un, jamais un instent en paix, Tu exagéres, Fanny. Madame
Poitevin m'a paru une femme d'es- prit parfaitement libre, pléine entrain et d’amabilité, la politesse ‘même, | frank, sachete bien une fois ‘pour toutes et tiens-toi-le pour dit: je n'accenterai pas pour amies des matrones et des bonnes d'enfants. Passer quelaues jours dans une de ces familles comme chez vous, c'est bon. Mais commencer unc vie avec des femmes de ville qui ne savent parler que du bébé, de la petite fille ou du petit #arcon, ccla non, bien sûr que non, Mon Dieu, cela vaut bien vos papotaucs, Qu'avez-vous à vous di- re, vous autres? Quand vous ne parlez pas de dentelles ou de scan: ‘“dales, vous déraisonnez sur 7 po- Jitique ou vous dites d'autres sot- tises. 4 | Qu'en sais-tu? lcièté,
‘Fu fuis Ja so-
nous amuser qui ne idu Canada
sont pas celles t
"Tu es biçn toujours la même, ‘Ge qu'il te faut, à toi, c'est le ta- pège, Ja foule, le désocuvrement. 1) Ju penses? Alors, tant pis: si tu veux t'éfablir au Canada, tu + resteras done tout seul; moi j'i- rai faire ma vie chez nous. Fanny, ti n'es pas raisonnable, entends-tu? Jai ici une situation toute faite, avantageuse, dans un milieu qui me plsit, où 1e retrou- verai en quelques semaines UR Cer- cle d'amis comme je n’en ai pas trouvé dans notre société des Etats, à ces avantages pour me relancer dans Pinconnu, Lei je cesserais de me sentir dans le monde eonime un étranger, Car c’est ce qui m'est arrivé Ja-bas: toujours on na trai- té comme un étranger. A qui l faute? . Ü Je n'ai pas à le chercher ici. Mais Le fait est 1 Pourtant tt _-peux me rendre ce témoinase que j'ai mis de Ja bonne volonté à me laisser conduire ‘où ti me me- nais. Après vingt ans je constate que mon monde n'est pas à. mais au'il est ici, C’est ici mon milieu. Je suis maintenant assez àgé pour pas
! | | }
et tu m'obliges 4 renoncer
comprendre que je ne puis ichanger cela, . Je le crois. Meis si ton milieu est ici, le mien est à. Tu as quitté Wisconsin, main- Fu: as fait ton ‘choix quand îu as quitté ton pays, il n'y à plus à v revenir. C'est pour vivre aux Etats-Unis que nous jious sommes mariés, non DOUE Vi- vre en Canada, . ‘ —Pardon, nous
ie Canada pour le
tenant restes-v.
nous SOHImes
| ressembler et mariés pour vivre ensemble, En Hjambitionne d'autres amusements ménage, Lenny, tu loublies {rop,
Vois done (a dame Îles concessions doivent être muiu-
Tu n'oimes/pas nos nouvel-
saciété de des
D RO Om
On ne te voit jamais dans tie un enfant et cest moi qui dois
le monde. Dans tous les cas, NOUS! intenaunt en souffrir ne. Das OU anse ct de maintenant en souffrir. .. avons des manières de causer ct del je me suis conduit comme fai
Quand il est exposé à l'air
le thé perd sa saveur et son goût
_ #? Xe ce HER OR = Hs CARTES
pour cette raison, ne cachetés,
tendent Ppeseesesrwnpaveheennententeedes
protestantisme, sa profession de |
catholique, entre les mains du BR, P, dus, Magnan, OL, supérieur) du collèue, en vertu des pouvoirs conférés pur l'Ordinaire dut dioct- se, et recevait aussi le saint bapté- me, a marraine fut Mine Ovilt Gauthior, ‘
Les deux enfants ‘de Mme De cock avaient aussi recu le haptéme au Jardin de Flnfance récemment,
' Où æ 4%
on née
Anges Adoraleurs
Le collège vient de recevoir deux magnifiques statues, représentant deux Anges Adorittdurs, Le coût de ces statues est de SH L'une est le don des Chevaliers du ,Co- lomb de Gravelboure, Pautre est le don de M, et Mine Onésine Adam aussi de Gravelboure. A ees gôné- veux bientatteurs le collése offre ses meilleurs remerciements.
Conférences: S. GG, Mur O. Charichois, DOME,
Vicaire Apostolique dr Keewatin, a donné une conférence SU ses
missions indiennes Aus élèves di collège, mardi le 17 novembre,
Uutte conférence sera publite en Substance dans li prochaine vrai son du Patriote,
Le R, PO ESX, Marcotte. OM, recteur de PUniversité d'Olawa, a aussi donné une conférence aux élèves, vendredi fe 20 vovemhre, Le compte-rendu de celle eonfé: vence, fait par nn élève, est pu. blié dans le présent numéro du fa triote,
Vouage de La Surnipance:
Le RP. das Maguan, OM, su. périenr, représenter ke cotlèue à ce voyage patriotique, I sera ne: compagné du Re PS ASE Auclair. OM. visiteur diocéshin des éco. les, Tous deux iroul remereier la Provinee de Ouchec pour Paide fi nanciére qu'elle 1 généreusement accordée ou Collôge Mathieu et à nos oeuvres franenises de Ta Sas- katchewiuns,
Visile des Ecoles: rer se : “}
Ainsi que Pavait annoncé en chair M Le Curé Maillard, diman-
honimes qui n'entendent el qui in'estiment, J'ai mien le droit de choisie mes snis, moi aussi va
vingt ans que je Le donne satistuc- tion, à lou tour désormais,
- A mon tour ?..,
--Songe à ee que tu exigrs de moi, Fannv. Cest toute ma fumil- le, ce sont mes vieux parents que j'ai dû totélement quitler pour loi, Aujourd'hui, pour un eapriee de femme mondaine, je devrais re noncer au plaisir réel que jéprou- verais à vivre dans leur voisini- ge et ne condamner à des démar- ches, peut-être à une existence qui me répugnent, Ce à quoi Eu nj'o- bliges, quand j'ai quaranlesinq ans et quelque renommée, c'est à men- dier des protections, à me remettre dans une situation fausse, à m'ou- veir un chemin dans un milieu hos- tile, alors qu'ici tout nrattire et me favorise, Cela, pour t'éviter quel- ques désagréments et le permettre de dépenser plus à {on goût Par- gent que je gagnera,
Pourquoi aussi ne prenais-tu pas tes précautions nver He Dr Bloomfield? Tu Les conduit com-
pu, tu le suis bien, Toutes les fm- prudences et toutes les sotiises que j'ai faites, Fannv, cest pour toi sonde que je les ai frites. — Pour moi? , Oui, pour toi, où tu devrais 6- tre la dernière à me le-reprocher,” Lannv garda de silence, Elle comprenait trop le sens de eus pi roles pour oser v contredire, (é- tuit vrai: depuis te jour où ils s’é- taient connus, Francois n'avait ve- eu que pour elles l'avait voulu, le regrottäit-it aujourd'hui, Fannv ne s'était jamais posé celle ques- tion, ‘ , J'ous deux marchaient à petits pas, sur da grand'route, parlant à sans éclats, presque sans gésles, “Le cadre de cette dis- eussion, en vappelant à ‘François “ait dû passer sa vie, Sent bleit aceuser davantage la légèreté de ses décisions anciennes, Il 4- mariage presque égard pour
“voix basse, où il au
vait contracté sans réflexion, Sans € ul ses parents, son éducation prenne- re et ses goûts naturels, en affec- tant méme des airs des mégaloma- nie qui avaient donné le change sur Pétat récl de ss: famille, Au- jourd’'hui il expiait evite étourderie Fanpnv, plus turd
de jeune homme, a position
mieux renseignée Sur ) sociale des Barré, n'en avait pas moins été quelque peu Surprise quand clic s'était trouvée en face de la réalité Mal-préparée pour saisir le mérite réel de la famille de paysens dont elle se trouvait 4 faire partie, elle n'était pas loin de se croire victime de Pérreur dans laquelle son mari lPavait induite. Ce sentiment la disposait tal, à ac- cucilir les plaintes que Francois,
la
de son côté, .se jugenit en droit d'exhaler contre l'égoisme de son
épouse, Elle avait beaucoup recu de lui, mais elle était persuadée qu'elle lui avait apporté bien du- vantage. Lu
“S’oublie pas, lui dit-elle, ce,que
oo ee
de 66 pieds ot eotnplot, Notre village
H661P se vend qu’en paquets
che de 0 nov, Be BR, PO ASS Mt clair, OL, à fuit ln visite des €. coles rurales de Gravolbourg à Ja tin de novembee, H était accom- pagné de M le Vicaire et de tous les commissaires d'écoles. qui se sont fait un devoir d'honneur d'é re présents à ces sahitaires vie sites,
Décor de Thédtres L
M le curé de Gravelbourg a voue lt ajouter récenunenat un autre don ü la liste déjà tongue de ses gratt- fications à l'égard du collège, A ln demande des directeurs, M, Mail lard à peint un magnifique décor de tbhéñtre, représentant une grotte souterraines mvstéricuxs repaire de voleurs et de brignnedss L'artiste 4 su ui donner tout Je cachet sai Sissant el tragique dune caverne de
bandits aux sombres parois, Aix vaudoirs sinistres Nous Le priuns ue d'agréer en retour nus respectretrs remerciements et nos VOPUX de gratitude, Élections:
L'Association nthlétique ninsi
que la Fanfare du collège ont pro eddé récemment à leurs élections pour l'année 1995-20,
Les dignitaires de PAssociation Allôtique sont des suivants! Pre. Sidett, M, Jos Balranes:s vice-pré- sident, M Edo Avotfes scerétnire, M, Arthur Mogquini conseillers, MAL Albert Porcier et Ravmond. Dou:- lianne,
Pour la Fanfare, ont été clus: pré Sident, M, dos. Lafrance, vice-pré. sident. M Gérard Fomignss See. trés, M, Atbert Forcier,
annee mere LA nn nee
MEACHAM, Sask.
. Neus volet dotés d'une nouvelle église, dont lapparenet roltève beanecup celle du village, Elle 4 coté S4,500, ei cn faudea vncore autant pour la finir et a meutter,
Située sur fes bords du die Small, ele a 50 x D À UD avec un clocher un sonbhassenientt
n'a plus vien mais | AUX ares avec soit deole, st banque, gare, garage, pharmacie, téléphone, burenr de poste, 5 élévateurs, groupés autour du notre tulise,
lenaut à envier
Sen see Se mème con
ju me lois, toi aussi Situ as cu “ sueceës, SE tu es devenu quelque chose, rappoledoi que je n'y suis pas pour rien, ‘
Ah chère, ne fe fais pas illu SION, Cu que je suis devenu, c'est Surtout à moi que je le dois. Aux Etats, quind on 4 quelque valeur, on finit toujours par percer,
Tu penses? Comiment peux-t parler ainsi après ce que mon pére a Fait pour nous, quand je me suis moi-méme donné tant de peine pour te faire pénétrer dans Hi s0- ciété?
Je n'ai pas ménagé ma recon- naissance chvers ton père, Fannv, tu Pen souviens Quant à tx s0- ciété, je ne fui dois pas grand'- chose, Pour un médecin de quel- que habileté, comme pour tout homme de mérite, quelle que soil sa profession, le suecès fe plus du- ble, c'est eolui qu'il se doit à lui-méme, qu'il obtient par ses pro- pres efforts. non pus la favou rdc ses anis, Celui qui sait se garder des folles ambitions, qui ne s'élan- ce nitrop viie, nitrop haut, qui se contente de sa sphère naturelle et d'un, piédestal fait pour ses pieds, celui est sûr de Trouver duns son
lent le maximun, ar ctrel et de jouissance qu'il lui soit pormis d'espérer, L'agitation, la réclame,
la parade, tout cela ne sert qu'à li- sites Son développement en frétt- blant sa sérénité. La modestie et l'effacement sont mème des condi- tions nécessiires au succés des homines qui le méritent, que je fo le dise, Fannv? Ton in- fluence sur moi n'a pas toujours été Jieureuse, Fu nras entrainé dans un courent qui m'était pas le bon. Ce que tu m'as procuré, c'est une vie tapageuse pour laquelle je n'étuis pas fait et qui n'a toujours oh, Tu te vanles d'avoir fait na fortune, c'est une illusion, J'aurais mieux fait tout seul, obli- sé de compter sur mes seules vus. sources, Ma grande erreur fut d'ambitionner le role du jeune honume instruit qui épouse une fl le riche, Pauvre, j'ourris travaillé davantage, j'aurnis obtenus des di. plômes, je n'en serais pas où j'en suis aujourd'hui, — Ai'est malheureux que tu u’aivs pas songé à cela plus fôt, - Fanny, Hissons cela. Nous à- vons unie décision gruve à prendré, et nest pas en nous irritant que
nous pourrons décider ve si gesse, I ne s'agit plus de ce qui
aurait ou être où de ce que nous aurions dû faire, il s'agit de ce que la nécessité nous impose 1 faut d'abord ne pas nous déshonorer ei nous mettant dans le chemin, Pen ses-y,”
On arrivait à fa inaison,, Fran. cois ne voulait pas prolonger tiné dispute qui trahjrait devant Îles siens le désaccord de son ménage, Fandis que Fanny se dirigeait vers ke perron, i s’en alla du côté des bâtiments, où les hommes avri- vant avec des charges - de folü, poussant devant eux le troupoun de vaclres à lait, ” °
(à suivre) î
Veuxs-Lr ©
‘ LE PATRIOTE BE L'OUEST, Mercredi 2 décembre 1925 ,
ER ra BERTRAND era | (f ms RSS ERA RE ST RE EU TIRER PEUT PRE EN DNS Een) (smnene mn ane tirs un an 77 r DiQ Ein ee
EEE SE
Ses chevaux prirent Le mors aux
eee Re Mn dents et il fut trainé plusicurs mil- les sur le palounier de sa voiture.
Ps ARS Frinc ce- Albert
On appela un médecin mais il cons-
— Sa Grandeur Me Mgr Prud' bort (RTE at que le vieillard avait une jam-
Paletots en Makinaw tout La
2
s'est rendu dimanche à Sasktioon be ctun bras cassés, el une épaule
assister à ne initiation des Cheva- | fracturée, avait encore sa con. Là ds de NE L . >». & » € & sicrs de Colomb, faissance quand où La trouvé mais [8 D & le - De DE il mourut peu après, Ordo de 1926 Al . ; © € CCI Ce F i
Lôen ou | MOtSONe ehonbre, ï êe.
ue in cie,
{À vendre, Perdu, Trouvé,
—Les gisements d'ocre que lon iruuve à quelque distance at nord-
up = est de la ville commencent à atti. "° . 25 Mois où moins, 59 ver l'attention. On en a envové des 14 districts voteront pour la 7Oc et t ct 85e re ER En es TT T Un es du mot additionnel, échantillons à des . chimistes qui bière à ÿ ba a STE 5 inser. |
doivent faire bientôt leur rapport sur Ja qualité du produit.
VALETOTS marque “Kosy Koat”, modéle “Norfolk” avec dos blouse fantaisie, Ceinture et boucle NATSSA NÇES DECES mue. ||
Hégina 14 distriets, comprenant [de srâces. ÎE consacrera ensuite Le hi
s: à “+ i 4 ne 4 1 à e je Û ié 347272 5, — On est à pousser létabtis- 42 municipalités rurales, seront ap- mon de au Saeré-Couur de Jésus, fl d'une seule pièce, ou en trois morceaux. Collet tempête boutonnant au cou. Nuances variées SES, 1 IBRCIEMENTS sement d'un pare de buffalos dans pelés à se prononcer sur l'établis- [Roi de l'Humanité, | LT EGuS. ete F_Fnuertion, |
Ja réserve forestière entre Duck en carreauté fantaisie. |
Lake et Prince-Albert, Ce qui pour. sement d'un dispensaire de bière em SE: Histoir d l =! PILLES vs , € ë ‘ durs leurs limites res eclives, Le Ë en sn =n |..: + INC HUE) rai retartler l'esérntion de no vote serx pris le jour, mène des 6- La semaine d po u ' Ces paletÿts se vendent régulièrement S10.50, mais comme nous les avons achetés à des serrures DEMANDES jet serait la dépense assez forte vetic “pales. anada ; … 4e: + re ‘ 2e: es Conunissi fécessaire pour enclore solidement | Es ses ot veus de Ben- a nue conditions ‘particulièrement avantageuses, nous désirons vous faire participer au bénéfice, de: tes Co de etes, qui dE dé- a réserve, south: Radville: Caditlac el Pontoix:} Une semaine d Histoire du Cana notre achat en vous les offrant au prix de \. Daïticulièrement les institulene —-Une cérémonie imposante 4 eu | en rail \W on et Grenfells {da vient de se tenif a Montréal it s Ê î ‘de cette catérorie qui sol QUES heu la semaine dernière chez les | Abernçth\, Lembérg et Baleurres: [la salle de la bibliothèque SL sui emploi sont priés de coumunt, Chevaliers de Colomb. fe Dr, El Shsckhohn Esterhazx et Spy Hit: fpice, Ses séaices réunire el cha quer avec ie Chef du Secrétariat Nate de Saskatoon député SE Sirashoure, Mackinch et Eart Grey; [que lois un nortbreux auditoire, . de PA. F. CG, es du “Patriot distriet, installe des officiers du passons Lanisan: Wadena et Mal Le discours d'ouverture fut pro- de l'Oucsr. Prince: Albert, $ € conseil de Prince-Albert après lv: Wilkies Bireh Hills, Hoes etinoncé par M, Victor Morin, de la - _Sask, quoi il prononci un discours iuié- Donréms. Série Bovale du Canada et pré- . ON DEMANDE Institutrics 1 Dit Cosant le Saskat les d'nvit ia ge — sident de fr Socicté Historique de 1 , que He parrondissement sCu- onseil de Saskatoon et invita Jus Montréal. aire de St-Hybert No. " membres locaux à assister à une Fin de la grève des chaussures u Via or Morin, parlant de l'his | l'année 1926, Les Dec pour initiation dans celle ville le 29 loire en général, insista pour que menceront ‘le 4 janvier, et COIN: Huv, Québee.— La grève des trois nf lévons sv rapportant & a vie {ff ere jusqu'au huitième gta Des représentants de différentes |nivns nation: ses euthotiques en nationale du passé soient rendues , . ' de. S'adresser au Secrétaire. re villes et districts étaient présents. plosés des manufactures de chaus- Î r , le UHES . \-sorier, St-Hubert Mi à ‘ plus atiravantes pour es jeur Ù ission Sask., Les officiers pour l’année cou- sures est finie, Mgr Langlois, ad- TG iGux ot it citn comme une ini- {fl Prince Albert SIS Avenue Centrale en ayant soin de mentionner ex- rante sont les suivants: 4, £. Flynn, pinistrateur du diocèse, est interve Litige particulièrement louable le ll « . périence, références et salaire de. Grand Chevalier: J, L, Landry, nu entre es manufacturiers et les pouurs histoire institué ie va [fl | | | mandé. 36.38 € auelqne dix aps par fa Société St-[fE nee me = RSTERS nee . | Re
Chancelier: 4 W, Brodeur, secré. jsrévistes. el ses propositions ont été faire: À. Dorion, huissier! C, L. iuréèes de part et d'autre Li ques- Lacroix, trésorier: H. C Doyle, {tion des suaires sera réglée par un conférencier; M. l'abbé Bailiar- bureiti d arbitres.
For, RE Andre MeDo. #: —
nAld, A, Stick, Frank Russell, con.
scilers: J, 4, FMelsaac, aviseur lé Tempêtes er j Europe
gal: FE, Laucrois et 1. PBostrutn. ga ; des, arts. - Des tempêtes de vent du
PEER ea por NE RE ACTE SAT . ns …. vanter ESS DRE ST —— =" u vu Jean-Baptiste de Montréal. nt … mn … es ent DE pour L'arrondisse. “AP fe que ccux qui ge livrent trice és pou er Me 1 faut que SO qui # institutrice qualifiés pour la Dro-
à l'élude de notre histoire procé- : la première fois depuis 100 ans. La! 4 » dent avec méthode, dit-il ensuite. TAUX voyageurs de la Survivance bvremière fois ce fut à l’âge de 4 nee Rérenees mener L le L'é-
Et celle semaine d'histoire a été ans 1 est âgé maintenant de 104 cole ouvrira vers la fin de févri î rier,
fondée dans le but de remédier sur D b il et Von croit que ses blessures sont . manque dde dirvction générale dans eux OMReS ROUVY e €eS . sérieuses, Sr nsser à enr Bissonnette, * os Jah,
ectle étude, 38- A1 C
nee menninnÈnd tn
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- Gus, Geneviève, Michel, Je pe vivlence inouie, des ras-demaurée _ ee a CE ss, Pierre ce Elizube Jaspar let de grands froids se sont abattus D'autres distingnés orateurs se : pete : ince te ; ont gi de oui ÿ ours Sur | Europe. Le oui de Phialie sur- [firent entendre à tour de rôle, en-| Sa Grandeur Mgr Hallé vernement de la province qui met Le maréchal Pétain au musée À VENDRE.
t l 1 î l tout À if L plusieurs vit- [ire autres, le BR, P, Migneuult, O.P tait à la disposition des orsanisa- petits amis de Ta naissance d'un out eu à souffrir cl plusieurs vil- à Nu VONT . . TA . teurs, un char d'exposition des dif- au 7 = par frère qui a recu aù baplèmefles de la itpre ont été dévastées [M Dandarand M, Chapais, M. Ed! Sa Grandeur Mer itallé, que tes ! 1 li Paris. — Le nouveau curateur du MIEJ, PUR A VENDRE. 9,5) h
: . J'y: rents produits de la Sas e- es noms de Paul. Maurice à Prince. Jainsi que lu Sicile. Jonteut Al aphe Tout dirouls| QUENAEUX den malle à ä Québec pren PE a de de Na ere | usée de Londée, Fe Ghantill Ont caisse de 60 livres. Chaque cais te 10 : . usiegrs ies de la France ont {Mur Camille Rov, Fhon, Thibodeau par suite de son rude voyage dans , , k te auñlel est attaché un traitemen u AMbert fe ai novembre | Plusieurs parties de [l Michaud, agronome de la provin de 4,000 francs est Henri Philippe | ÿ2 contient 6 chaudières de dix
s intro Ê À Si rh, OM ù } wd de son-vic M. et Mme . Legars, de S leu de la neige, cles côtes de Bre-}finfret, be RP, G, Simare “jles missions du nor ce, Aujourd' ‘hui PUniversité de la » ivres. S'adresser à 1 : Ur, S on | : © Ë ; , an . ä& a Maison Bricax, sont Etatenent heureux [tagne ont été témoins de nombreux ete. é rial. vicnt de faire savoi à M: Îe Saskatchewan nous annonce qu’el- Benom 1 étain, marechal de Fran Saint- “Joseph, OTTERBURNE. Ma. d'annoncer la naissance d'une pr! aufrages et pertes de vie. M. Dandurand a prononcé Une commandeur Morrier combien i se le enverra un représentant dans Ja {t!. Vice-brésident du conseil supé- nitoba 29-À ns tite fille, baptisée <ous les noms del LD ira de ire spirituelle el élognenie ao | ra heureux de recuvoir chez lui, à personne du distin sué rofesseur rieur de guerre, sauveur de Verdun, | 00: oc F'aulette! Je anne, Marguerite Marie, TT , ton paour présenter M, Chapais, !earst, dans la soiree ue 20 déc. McDonald, chef de départ tement DT 2 A VENDRE dans un centre fran. De , ; n ovève dl i $ “ue € ini Ê “ du las van- |: NN u Û -— Les arpenteurs sont à Fouvrags | La grève des mineurs conti son ce ones ane lu ponte à ensuite 1tes nee Canat en nes OUEVIVAT Enonis cle PUniversité Les au- LES NOUVELLES EN gais, un quart de section tout clo- sur le chemin de Duck-Lake ct : DOTE eo ee Re de LOnta. ltorités de l'Université ont eu la dé- - uré (2 fils broche) de très bon- Pri HS Ï nue prononcé sa conférence sur l'ocu L'évi êque-missionnaire de POnta- ne terre, dont 75 acre riucu-Athert, d'aprés les informa : k joue de EF ei éia acquis bien des lieate pensée de saisir loceasion QUELQUES LIGNES e «aont {4 acres en labour tions de T, €. Davis, M.L.P. Ils sont! me . vre historique de Francois-Kavier rio -Nord s'est déj acquis bien des du voyage des nôtres dans la pro ' d'été; 17 acres en bois de chanf- maintenant dans Les environs de | Philadelphie, - En dépif de dé Giarneau volre principal historien. titres à Padmiration el à la recon- vince de Québe ‘ r enil L I svrrnec . fage et de construction. Eau dou- MacDowell mictches el de tentatives sans not |l'oeuvre de Garneau fera £pouue naissance de 5es compatriotes et ce eq cpec, pour rendre Br AVINNI IPEG, — _ 7 Joseph Xavier! ce, Situé à deu il SHCNON EL. : “urs et | À “elle ren-lser , ï , e_ [politesse aux représentants de PU] Hoarst, ex-président de ‘ * à deux milles et demi Les hommes d'affaires préten. bre po amener les mineurs el es laps notre histoire, eur elle ren-lsera l'une des grandes joies du pè- niversité de Montréal, ve. EST ES -président de Bi Hearst | qe la gare, Sans bâtisses, Un dent que le parachévément de cet Dropriél aires de mines à une enten- ferme l'essence méme de notre vie lerinage de à Survivance que dele n les Vi it N ù À in sui-son ve Music Publishing Co. du Canada, peu comptant seulement S'adres u te route aidernif beaucoup à Prin. [te fa gréve de Fanthracite continue Fhationsie et de notre dévelapppe- saluer au passage, nn en daict dernier. E élé arrêté par ordre du proeu- ser ait Patriote de l'Ouest, “Boit cc-Alhert sb seuble seast foin que jnmais d'u: lineopt économique, fa conférence a nes ANT Le professeur McDonald st écos- eur général de Ja province sous “A, 36-39 S t- ne setution. de M, Chapais nous 4 fait appré- L'Université de la sais origine ct natif de lPlle dufaccusation d'avoir volé 385,000, . ‘ c M. Davis à déclaré que les ipgé- FE gouverneur Pinebot el plu fier encore ous lhistoire eana- Prince - Édouard. 11 sera -pour —_—— - nieurs du so ernement de: Rés isieurs autres, dont le Père I Cur- ldicnne” de Garnesu qui demeure Saskatchewan les membres de Fexcursion un. hôte!” . BRUNO, Sask, —— Le magasin gé. | EMPLOIS DEMANEDS na inspesterniente c L pont at van, s'efforcent par fous fes iovens Lien somme fe plus ben livre cana- | —— - idistingué, homme aux vues larges, néral de M, Sklur à Dana a été com: en nee ouis, afin d'obtenir lu permission essibles de mettre Fin à ht grève. Lion oue nous possédions. : Les Franco Canadiens de! a Sask. {joignant à une franche gaieté les S a- | plétement détruit par les fl: SI VOUS AVEZ besoin des soins de la compagnie du chemin de foi l | os d’' 1 | ltur à l I ainnics! , ni de Vel at , ae ne ce 2 eos seront heureux d'apprendre que Fvantages d'une haute culture fran- pertes de S10,00t. d une bonne garde-malade, adres- dx ajouter de chaque côté une par. La fin de l'A e Sainte | 1 ._ : leur récente initintive du voyage de lcaise. Nul doute que nos compa- __ ' sez-vous à Made Arthur Ver. serelle Gi servirait aux voitures à Fin de nné Nouvelle. administration POUT |à Survivance Franco-Canadienne }iriotes de “chez nous” Seront heu-}| HEGINA. — Le trafic sur la ligne! reault, Aldina, Sask. Téléphone el ART ont déjà fai rap k La in de l'année suin- Montréal rencontre partout une chaleureuse ireux de Pacceueillir comme un de Swift Current-Medicine Hat a ‘été No. 641, Leask, Sask, 3438 P, port sur “celui de Fenton. et fl pa te Scra ‘célébrée, le 41 déc eimbre, janprobation. Hier Hier c'était Je _sour sOu- OS amis, : complétement interrompu pendant = mn raitrait que ses assises ne seraient [dans loutes les églises catholiques | Montréal. — La légiskiture Pro. TT dérailement rés ie à la suite Si DIVERS pas assez solides pour surperter du monde par sine cérémonie spé Eéintide sert saisit, dès sa Dro- | Puite de gaz à North.Battle. |. Cependant là compagnie est en Aéraillement près de Cardell Sid nn a le poids #dditionnel d'une nom cinle, Les instructions pour cute chaine session, d’un projet de doter: F faveur de la coordination des faci- UNE ÊSIRE L( LOUER : 1 où * section blable transformation, cérémonie seront publiées prochai [a ville et Pile de Montréal dl ne | tord lités de ventes des trois cartels, de MONTREAI » "en bonnes conditions, doit étre De passage à ‘Prinee-Albert. lune | nement. sslpinistealion générale pur fau. À co hi Saskatchewan Co-operative Ele- |}. EAT, — M. Pierre-Albert proche du village avec église: ou Sque . A ax PYOANIIU di, M. Hercule Dausereau, de Pom [Eu plus importante de ces réré. Tboures (Boronghs System. Des] Dans Jes limites mèmes de a jrator et des United Grain Growers, CRAQUE, Des Se, ancien directeur _ dur prendre charge l'hiver durant rénv monies aura lien dans la basilique, cilovens éminents de Montréal ville de Nofii-Bätleford, sur les . : grand séminaire de Montréal, est l'absence du propriétaire, 15 an An accident fatal est arrivé aise Pierre de Home où Su Suinteté d'Ontremont et de Westmount bords de la Saskatchewan, on vient ; fort à à ,PHétel “Dieu, à l'âge de 7 d'expérience. Donnez toutes les M. Johu:Lesouffe, âgé de 83 ans. chantera un “TeDeum” d'a ae “tions soussent ce mode nouvear et exer- le découvrir, à fleur du sol des Le plan d aitaque des conser- ‘15. M. Urique é tait originaire du informations, dans premiére Jettre as Cr ” " _ nm iront loute lee infhieiec afin d'en fuites de gaz naturel, On en a - vateurs diocèse de Reims. et ndressez Boîte “BR”. Patriote de = häter La réalisation. x #4 Je sw: ———— é ; ‘ = : a 2 QU DE rainté dans un récipient et le gaz HU de l'Ouest, Prince-Albert, Sask La ville vf toute Plle de Montréal Drôle trés bien, où lPafnit analvsor c ne MON PREAL, -— Une nouvelle pa , À ma Û scesient divisées en cinq grandes |; l'Université de U Saskatchewan. Htawa, — En lPabsence de l’hon, |roisse sera bientot fondée, dans Ha Di Ps lies ou Brahouras, chacun avant lot te rapport a été exceilent, Le Arthur Meighen, c'est Thon, HS. {ville de Montréal ct les RB: PP. ur TT op Ponsoit autonnome pour Padini- gouvernement va s'en ocenper et Stevens qui agit come chef du | Saint-Sacrement, rue Mont-Roval larché aux grains de | rinces - énistrolion des Affnires purement faire des recherches sérieuses parti conservateur, fen-auront fa desserte, Résubtant Albert 2 o° + 0 lacets Choeun des boures rolèe ° sé ° 1 vient de donner avis dune ré id” un démembrement des paroisses LE éception AUX OVAgeUurs pEvernit d'une Commission centrale, RS solution qu’il présentera à la pre- {plus jciennes, el devenues trop No, H. 81.24: No. 2, &1.90: No. 3 dorouis wûn des reuréseutants de cha. o , tuière occasion, qui provoquera un |populeuses, de S.-Jean-Baptiste, de}, "tr A TRS NO. à, SRSUS AO, 5, 66 . 39 L'oun d'eux. Belg es et Français à a I honneur vote de non confiance et qui pour- l'inmuculée-C Conception et de S.- “1.16; No. 4, $1.07. e a urvivance : D D Vous publiiong mn semaine der- ‘ait bien offrir du danger pour Ie Denis. | a paroisse, qagurelle sera crie d À mx ma « . ÉOUVCPHCNICN orte de amilles. La chapelle . à ‘ .È %. .? à 0 n DTOU DE € « e — M. Meighen 5 explique sur la{niére one sravure d'officiers bel l's'agit du crédit rural, question Jactuelle sera remplacée p#r une | Marché aux Srains . : . " 2 : ‘à, . Q 7 & ‘ D » Ac D - , eg ce L conscriptio res al vaste église, ct le monastère actuel nm Jeudi, le 17 décembre, veille du départ pour Qué Î rpuon eu eur “. Fa qui À _oronto, “ombattent sans : succès depuis par une construction à l'épreuve ———— ,
1922, M. Stevens dans sa résolution r'e-
je feu au coût _de $500,000 , Blé. j 1 nord, 1.52; No, 2, - 1.48 1-3; No, 3, 1,45 1-2: No, 4, 1
|- ferte à la salle académique du Collège Mathieu de Gra- 'miilon, Lhouorable chef de loppoe lelassèrent seconds, les Etats-Unis,
“es et français, Ge sont les belges pour laquelte les Progressistes grette le délai apporté à ce MU | QUEBEC, AL Vabbé. Odilon Du- 40 1-2; No, 5, 1.23 1-2: No, 6, 1.06
Risition a fait un dise ours important, siè * Canadi atrième. durs : : velbourg, par les directeurs ex les élèves de l' institution, TE évide ment destiné à Dore .de oies, M ° race attienn déclare ANA TES nvers Pinuabri Qlpuis. retiré à l'hôuital Guav à La Li ourrage, 06 £ 1. LT A * ri aux Voyageurs de La Survivance du sud de la Saskat- :f Hertes 6t qui en à produit, surtout LS ge lüvricole et de manière à Tai Paire Lam est décé de Re 2 JOUE LL QE EC NT TRES U dons Bi province de iCbtev & ! , rme dla rniers à l’ase de 62 ans, avai # ; . , , chewan en route pour la province natale. Ce sera une : eenuurs montre bien que M Met- Le roi de Siam est mor du tort. demande un système de fait du ministère pendant plusieurs | Avoine. — No. 2 CW., 49 3-8: No.
ol * . 7 4 . + _ | bec, à 8 heures du soir, une Grande Réception sera of di À l'orcasion d'un banqguet à Ha | porté | la victoire, Les français .se lt
crédit rural à long terme, vingt ans années anx Etats-Unis puis “s'était |, CW., 43 3-8: extra Î fourrage.
soirée intime et familiale, une veillée du bon vieux she a évolué, au point que Je voi Bangkok, Sun, Rama VI, roi lavec intérêt modéré, système ab |roiré à Pho pital alors que sa san-:42 3-8; No. 1 fourrage, 41 3-8: No.
D de En EU a on | agrémentera joyeusement le programme, Les . collé- ARTE a ne CRE à AU d î n nie te Del équation “La isolation je M Stex ens sers MONTREAL. — La saison de na IW or La cé DT 12 que Ne
giens confieront aussi aux Pêlerins de La Survivance :! nouvelle, A pespère, sinrèrement les réformes à 68. l'abolition “lu Darli CORSC VAE ÉD OU VE A for. jisation océanique quns le Ven 2 voie, EL NC,