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Organe des Catholiques de ! française du Nord-Ouest

angUues (a

U. LAUNGILOIS,

QE —

15ème Année

C.IMLI. Rédacteur

ontant M0

EL 2.703

n vote

Quand ces lignes tomberont sous les yeux de la mujorité de nos lecteurs, le Cänada se sera donné un nouveau gouvernement, ou du moins le éhoix de la nation sera bien prêt d’être sanctionné, d'un bout à l'autre du pays, par le vote des électeurs. |

Se donner des chefs est toujours. un acte très grave: c'est en som- me remettre entre des mains étrangères l’excreice d’un droit qui fait

fonds même de la liberté humaine: celui de choisir entre les mo-

veus les plus propres à assurer le bonheur, la paix, la prospérité de la petite ou de la grande patrie. Chacun de nous, au sortir du bureau de votation, peut se dire: Je viens d'aliéuer pour quatre ou cinq ans une.partie de ma liberté et de mes privilèges en tant que ei-

toyen de ce pays.

Désormais, les hommes qui constitueront le fou-

voir et que j'ai aidé à élire,, ont une ruain mise sur mes droits.les plus

personnels.

Que je partage ou non leurs manières de Voir, ia vic

sur bien des points est enchaînée à leurs décrets, et c'est si vrai que, dès demain, ils peuvent exiger de moi Pimpôt du sang.

Comine ce choix cependant <e fait souvent à la légère! avait vendu son droit d’aînesse pour un plat de lentilles: ln plupart

Esau

de nos voteurs sont moins exigeants: un sourire, une promesse, quel- ques paroles sonores; 1parfois moins encore: le bout d’une échar-

pe bleue ou rouge, habilement déployée au souffle des tiques par quelque banderillero de profession.

passions poli- N

OUBLI DES QUESTIONS ESSENTIELLES. Le trait le plus frappant peut-être de la dernière campagne élec- torale fut le manque de programme politiqué vraiment national. Depuis 40 ans, on s’étudie, dirait-on, à ne pas abordex devant le peuple les questions essentielles d'où dépend le sort de la Confédéra-

tion canadienne.

Le peuple est naturellement terre à terre, il est

porté à n’envisager que ses’intérêts immédiats, c'est entendu ; les néces- sités de la vie s'imposent tellement à son attention quotidienne qu'’el- les lui bouchent en quelque sorte tout le champ visuel de son esprit.

En un mot il est humain: son intelligence pour agir passe à travers son corps et elle est fortement impressionnée par les besoins urgents Parlons-lui donc de diminution de taxes, taux de trans-

de celui-ci,

port, construction d’embranchements de chemin de fer, ouverture au eommercg, de la Baie d'Hudson, réduction du coût de ln vie, ou de L

toute au

tée question qui le touche de près. puisqu'il le faut: Phom- me:ne it pas seulement de pain, mais il en vit.

" Hya toutefois, à notre avis, des questions qui priment encore celles-ci, “Nous règlerions à la satisfaction générale n'importe lequel !. des probliines. mentionnés plus haut qu'il est permis de croire que l’a- venir du Üanada n'en serait ni plus ni moins assuré, Ce sont là sans doute questians économiques d’une grande importance, mais elles res- tent économiques, et.par conséquent serondaires par rapport à la cause

même du désordre qui fait le fonds de tous.nos maux.

PAS DE BASE D'ENTENTE SOLIDE.

Ce qui thañue à tous ces projets de stabilisation de notre vie so-

uiale, c’est une basé, tie base solide.

Nous sommes là depuis 40 ans

à faire de l'équilibre instable. Depuis le jour où l’une après l'autre

. , n n . “ : , , les provinces ont porté une main criminelle à la constitution, en pé- chant soit contre la lettre soit contre l'esprit du pacte fédératif; le Ca-

nada marche sur un terrain mouvant.

Et au lieu de bondir avec ra-

pidité et assurance dans la voie toute grande ouverte du progrès, il use d’expédients pour se maïüitenir debout. Avant tout, il faut au Canada une charte connue de tous, accep-

tée de tous et respectée par tous.

semble être ni connue, ni acceptée, ni respectée.

Nous avons une charte, mais elle

Réultut: ehacun

fait à sa guise; chaque provinee en prend ce qu'elle veut: ul NC pense qu'à ses droits partieuliers, personne nesonge aux droits des autres. Le bien général passe après le bien individuel, et on s'étonne ensuite que, dns cette maison divisée tontre elle-même, il n’y ait ni harmo- nie, ni entente, et que la solution des problèmes qui intéressent toute

l'heure présente. LES MINORITES SACRIFIEES,

. kunation ne puissent plus s'y faire avec la elarté de vue, l'impartiali- if € * Le , LA CR , N té et la sureté de décision que réclament les circonstance

Le Canada est composé de plusieurs unités territoriales et de plu-

sleurs unités ethniques.

Chez nous, à cause des distances, de la. dif- L

férence des climats ct de ln diversité des intérêts locaux, cetle multi-

AT 3 GA , . à n “ pe Plicité d'unités territoriales rend Île gouvernement du pays {rês diffi- cie, toutefois les droits de chacune sont assez bien “sauvegardés par

T'alonomie presque complète des provinces. Eu théorie, il y a deux races égales de-

“ont moins bien partagées.

vant la constitution avec des droits égaux: en pratique, c’est le

Les .unités ethniques

régi-

te du droit du plus fort, en théorie, il y a deux langues otficiclles : en pratique, il y en x uue de méconnue; en théorie, les charges pu- bliques et les postes payants vont au mérite et aux mieux doués: en pratique, il suffit d'appartenir à l'une des deux races et de professer certaine religion pont en être la plupart du temps exclu.

. Petit à petit le gôtiveruement tédéral s'ést désintéressé teetion des droits des minorités pour se voucr tout eutier tons d'ordre purement, matériel. ne s'est occupé que sans guère se soucier de l'âme qui dev iportant, celui de la culture de l'esprit de li confédé

s Ci

de la pro- aux ques- du corps, ut L'informer; son devoir le plus ation dans l'à-

re de ses sujets, il l'a abandénné au bon vouloir de chaenne des pro- Yinces, el celles-ci se trouvant la plupart aux mains de quelques bras- OIIPSe nés , . : » * n .

seurs d’affaires où parvetius ignorant tout du passé el des instintions

‘anadiennes, sont devenues

petites Ecoses, de petites Trlandes où de petits Etats-Unis.

Nada a hérité de toutes les haînes et de tous

comme autant de petites Angleterres, de

Le Ca-

les fanatisiñes ségulaires,

qui se partagent son âme nationale conme une proie facile et devien-

\ des Nations

forte, ils pourront se promettre et promettre aux autres d'apporter une .! solution prochaine et durable aux problèmes épineux qui menacent

gravement la prospérité nationale.

Le respect de la Confédération arrivera par surcroît avec lt confia éncrgies.

LES NOUVELLES CHEZ NOUS ET AÏLLEURS

Guerre imminente entre Îa Grèce et la Bulgarie—Reu- nion spéciale de Îla Ligue

Paris, -— La situation entre Ja Grèce et la Bulgarie est très lendue. Les dépèches annoncent que Partit- lerie grecque a envahi le territoire bulgare, La Grèce a envoyé un nitimatum de 48 heures à la Bul- garie demandant une lourde somime de réparation, châtiment des cou- pables et enquête.

Les deux pays belligérants sont tous deux membres de la Société des Nations.

M. Briand, comme président, a appelé le conseil de la Ligue à se réuuir lundi dernier pour étudier la cause du conflit; en même temps il envoyait à Athènes et Sofia des télégrammes leur rappelant leurs obligations comme membres de la Ligue. Les Grecs blâment les Bul- garés et vice-versa.

Entre temps les Grecs se sont a- vancés plus loin sur le territoire de

on eq 1

la Bulgarie et ont incendié la ville

de Petricb.

Le conseil de la Ligue vient d’a- dresser aux deux gouvernements u- ne note leur enjoignant d’avoir däns les 24 heures à informer la li- gue que des.ordres avaient été don- nés pour le retrait de leurs trou- pes? dans les 60 heures ils doivent avertir si oui où non l'évacuation a été faite. ‘

Es ————

Honneur pour un artiste de la! Saskatchewan |

M. Imhoff peintre d'une remar- quable habileté qui vit retiré près de Ste-Walburg, Sask., vient d'être choisi pour l'exécution des travaux de décoration de l'église St-Pierre, Reading, Pennsylvanie. Six autres artistes de renom <taient sur des rangs,

Le contrat comporte 236 figures, grandeur naturelle, formant une

procession, La plus grande partie du travail sera faite au studio de

AM, Hmhoff à Ste-Walburt, ï

. ne 1 qu

Une contre-proposition fran-

-çaise |

+ û

Paris, —- Le. gouvernement fran. |

eauis est à préparer ane contre-pra-

|uesition pour le règlement de sa

e nationi Rome.— Le Vatic:

dette avec les Etats-Unis. cuir

es difficiles de aux a été si mal recu on France a-

vee son accord temporaire qu'on! essaie de reprendre les négocia- tions avec Washington. |

DU ie ue |

Caillaux tient bon à son poste |

Paris, -- Caïllanx avait promis, au cabinet de se présenter avec te détail de ses mesures fiscales ou sa démission,

Howa fait ni Pun ni Pautres il s'est contenté ‘de soumettre à ses | collègues Je tableau de Pétat finan- cier du pays.

Les ministres ne sont pas arrivés A un acord sur la question des ti | nances, cependant les chambres! s’asembleront demain 29 octobre, et l'on ne prévait.pas que Caïllaux démissionne. 7.

hi ———

Un blé qui résiste à la rouille

Winnipes—- Srumuel Larcombe, de} Bivtie, Man, aprés sept'ans de tra: vail, prétend avoir trouvé un b'é qui résiste à la rouille, Ce blé por- | te le nom de Axminster: il n’est pasi tou’ à fait indemnisé contre le fléau de la vouitle, mais dans un champs! infesté où le Marquis et les autres b'és étaient rouillés dans la propor-| tion de 100 pour 108, il n'avait été] attaqué de cette maladie que dans une moyenne de 5 pour cent. Son rendement. dit-on. est de 40 pour cent supérieur au, Marquis. \

CES

Le charbon se fait rare

New-York.—Les réserves de char- bon sont nresaue épuisées dans les cours de New-York. Ce qui en res- te est mis dans des sacs et vendu ainsi en petite quantité aux pau- vres,

NE LP

mme eme mes ane

F A ù S Va JS

d— à

j Le cardinal Hayes, archevèque de New-York, a été aulorisé à siguur . l'entente de La part dun Vatican.

L'établissement de ce crédit si- unifie que les banques Blair et Cha- se sont devenus les banquiers du Valican ee qui &st flatteur pour le systeme bancaire américain,

ar ce crédit, Le Vatican désire se protéger contre les vississitudes des changes européens et faciliter ses relations avec la Iièrarehie améri- caine dont Je Vatican reconnait Pin portance grandissante.

intégrale d’abord !.. Le veste nous nee et Ja coopération üe toutes lex]

/ U. Langlois, O. M. I.

te rhone

men 1 ne nnne

elure une entente avec Blair and Company et fa Chase National Bank, de New-York, établissant un crédit de #1,500,000 pour le Vatican, à New-

York. Cette nouvelle vient d'être rendue publique par da ‘Uniteil Press”,

Le cardinal Givparri se dit heu- reux de cette entente et il ajoute que ee crédit, étant donné Les exi- gences du marché, fut accordé a- vec un sentiment de dévotion à lé- gard du Saint-Siège,

EEE ———"

Cinq autres bandits en liberté

n ms mu ‘

Winnipen— Cinq jeunes bandits détenus à l'école de réforme de Por- tage-la-Prairie, ont pu s'échapper el sont encore en liberté, C'est la troisième évasion de prisonniers de- puis deux semaines nn Manitoba, Sur douze tugitifs trois seulement ont été caniurés.

eq 0

Notre voyage dans la Province de Québec

_ Plusieurs ont déjà écrit pour retenir leur place sur le train spécial qui partira de Prince-Albent, le 18 décembre prochain, en route pour la Province de Québec. "

Le Comité a également reçu quelques demandes d'autrés endroits endehors de la Province de la Sas- katchewan. Il est bien entendu que tous les Fran- co-Canadiens de l'Ouest sont les bienvenus. Nous les prions de se joindre à nous, et nous sommes à leur entière disposition pour leur fournir sur demande tou- tes les. informations qu'ils pourraient désirer. Nos frères des autres provinces pourront se joindre à nous à. tel'eñdroit qui aura été fixé d'avance“sur l'itinéraire que suivra le train d'excursion.

Consultez la liste ci-jointe des prix du passage, des repas et des lits. [faites vous-même le compte de vos propres dépenses. En voyageant dans les wa- gons-touristes, on peut s'apporter un panier de pra- visions. ‘

Nous sommes heureux de pouvoir publier dans ce même numéro du journal les grandes lignes de l'itiné- raire que suivra le train spécial ainsi que les points d'errêts qui ont été déterminés. Tout le monde peui se rendre compte de l'intérêt qu'éveilieront ces prises de contact avec nos frères que nous arrêterons saluer au passage. | .. Le Comité d'organisation continue de recevoif d'un peu partout de précieux encouragements, des témoignages d'approbation qui disent bien haut com- ment on apprécie la bonne occasion d'aller revoir'"en famille” la vieille Province de chez nous, au temps des Fêtes. Nous réitérons l'avis de ne pas attendre 1 trop tard pour retenir sa place sur le train spécial, car les premiers arrivés seront les premiers servis.

La semaine prochaine, nous serons en mesure de publier tous les détails du voyage, itinéraire complet avec une courte explication ou notice topographique et historique des endroits où notre train fera halte.

Dès maintenant, on peut obtenir tous les rensel- pnement. désirables en s'adressant soit au Comité d'organisation, Edifice du Patriote, soit à son chef de gare local ou.encore à M. Alphonse Brazeau, Saska- toon, Sask., sous la direction duquel s'accomplira l'excursion dans la Province de Québec.

Profitez de l'occasion qui vous est offerte d'aller revoir vos parents et vos amis dans des circonstances exceptionnelles d'intérêt et d'agrément. Nous som- mes à vos ordres. Si vous désirez de preridre part à l'excursion, faites-nous le savoir sans délai.

VENEZ-VOUS ? ALLONS-Y !!!

eut à mr 4 0 0 mn PS

ITINÉRAIRE

Départ Date et: heure Arrivée Date et heure Prince Albert 8.35 AM. déc, 18 Saskatoon 12.00 midi déc. 18 SagkatoON sn.s.12.00 midi déc. 18 Régina …….… 6.20 P.M. déc. 18

1.00 P.M. déc. 19

précisions suivantes, , contenterons cette fois des chiffres

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Tél. 2964

Abonnement:

Un an, Canada. ....... Etats-Unis CCR)

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J..E. MORRIER, Administraten

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5 Vonda ....,.,...,. : Wakaw, via Prince Albert... Laurier ,...,...,......., Le Pas .,...., -Letellier ,.... ‘Notre-Dame de Ste-Agathe ......,,,.,... Sic-Rose ,.,...... Somerset ......,,...,,..4 : Winnipeg (St-Bonilace)

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Winnipeg ........ 8.25 ! 16.50 ! 46.20 56.30 Czlgary et Edmonton | 12.20 24,40 | 68.75 | 685.80 Vegreville :........1 12.05 24,05 | 67.65 | 84.70 Le Pas ............ 9,65 | 19.25 | 53.90 | 68.20

N. H—bLes prix des lite du haut dunx les voitures TFourisi ce! Standard, sont de 20% meilleur marché. Un Compartiment comprenc

de toilette.

d'écoles, qu'on

les visiteurs

Oui, qu'est-ce qu'ils font donc n'en entend pas parler?

Ge qu'ils font? Hs visitent...

Mais encore...

Hs visitent...

- Mais enfin, ... ,

Hs visitent: quand jé vous dis qu'ils visitent tout le temps; et si vous ne voulez pas me croire, CSsA- vez de les trouver, lun à Gravel- bourg et l’autre à Prinee-Albert, où ils sont supposés résider,

Enjre deux visites d'écoles, ils se paient même parfois le luxe

d'une visite à leurs quarticrs-géné- ;

C'est l'une de ces dernières qui

1830 PM. déc, 22/nous à valu”sur le travail admira-|

ble de nos visiteurs les quelques Nous nous

fournis par le Père Auclair,

Régina 11.00 P.M. dée. 18 Winnipeg . é Winnipeg mere Hearst cmnnnt40 PM. déc. 20 Hearsé "9.20 PM. dée. 20 New Liskeard..…..8.10 AM. déc. 2Liraux. New Liskeard.…….11,00 AM. déc. 2, gta L'” musee 11.00 P.M. déc. 21

ttawa Midi déc. 22 Montréal … q 2 niréal enrne 400 P.M. déc. 23 St-Hyacinthe 4,10 PM. déc: 23! St-Hyacinthe 8.15 P.M. déc, 23 Lévis …..…. 8.09 AM. déc. 24 Lévis 11.00 A.M. déc, 21 Québec …. énrnree 12.15.P.M. dée. 24 Québec 820 P.M. dée. 21 Sie-Anne de | Stc-Anne de Beaupré 9.35 P.M. déc. 24! BEAUPEÉ 10.00 AM. déc, 25 Jeliette …

messe F.6.09 PM déc. 23 Montréal

un vient de con- Jolictte

CC .

cent pour Fa taxe de

Et les visiteurs d’écoles ?

en auto ou en voiture, 738 milles! en auto et chemin de fer les: assemblées de comités de FA, commissaires les, 15: Lafléche, Mevronne, Pon- (2), Mutrie, Le-

Deveesteresesese.e. 87.00

.…. 88.65 donvseuseesseseees. 91.70 dovsereeeresesesss 7205 Lirscrososre....... 86.85 I EL

...... 102.09 EE 7) Dorerrereuesessesee 103.10

| PRIX DES REPAS

Le prix des repas à bord du train est comme suit:

one muteee vopaar are ae nimes

Ce, où de Montmartre

l'orget,

toix, brel,

Europe ....,..

PRINCE-ALBERT SASK., Mercredi, 28 octobre 1925

Prix du passage aller et retour

uerre)

Administration et Rédaction:

1303, 4ème Avenue Ouest Prince-Albert, Sask.

No. 33

Loceressse. 91.45

Big River ...........,.,....,.,..,,,,..,..,, 0 98.8 i Blaine Lake, via Prince Albert, ....,,,,........, 92.90 Carlton ..............,....,................ 89.29 ,Debden dues eee reve eee eseesreserses De 0 = 1 Delmas ....,.................,,.,,.,,4..0 91.65 Domrémy ..,...........,,.................. 88.30 ‘Duck Lake .,.....,....,.,,..... A: Fort Qu'Appelle, via Regina........,.......... 81.70 Gravelbourg .................,............... 86.45 ‘Hodgeville ......,,.........,....,...,...... 87.60 HOey cesse cree cee eue rss. 8805 Leask, via Prince Albert. ..............,....... 92.25 .Lebret, via Regina .......,..,.,.....,,...... 81.70 “Marcelin, via Prince Albert. ........,........,. 9250 iMezenod ............,....,.....,.......... 85.66. iMeota um use ere ses... 9.70 “Montmartre .,..................::..,....... 79.10 Prince Albert ......,,,,,,,,,,.,,,,,444444: 89.90 Prud'homme ,...,...............,4....... 86.40 Radville, via Regina ......,......,....,...... 83.65. Régina ....,.,.,..,..,..................... 81.70 Richard .,..............................+.., 90.60 St-Brieux, via Prince Albert, .,,,,..,.,,444... 94.40

1 deux lits superposés ct

4 .Wolselev, Bunch, Saint-Victor, Verwood, As- siniboia, Gravelbonrg (2):

ries innombrables avec

Le net

107.90 99.00 .

un eubinet

Un Salon comprend deux lits HHPerpOosÉs, Un CANAPÉ, UN cabine! de toilettes ces salons ont certainement avanta économie assez appréciable pour des amis on m même famille qui aimeraiont à voyager ensemble.

geux st offrent une embres d’une

eee amener rames eee ones re TORRES

r, 2927 mil-

d'éco-

Witlow-

cause- les eurés

P—

et diverses personnes sur des snt- jets d'organisation, d'oeuvres à en- reprendre, de situations à amélio- rer, de travail à tailler pour les co- inités paroissiaux, etc; sermons à peu près chaque dimanche; confé- lrences: statistiques à ramasser, à compiler; rapports à faire aux f11- torités, au secrétariat général; cor- respondanee nécessairement valu- minouse, ete, ete,

Rien qu'a voir la distance nar- courue en deux mois et demi, 2527 milles, e. à d, 1000 milles par mois on une movenne de 33 1-3 milles

(Suite à la page 5)

ETIENNE D

L'Evangile

V/.-Nécessilé de la lutte et du re- noncement

“Ne vous imaginez pas que ic sois venu apporter la paix (1) sur lu terre, Non, je vous le dis: Je ne suis pas venu apporter Ia paix, mais le glaive et la séparation (2).

“Je suis venu séparer le fils de son père, la fille de sa mère, la bru de sa belle-mère: et l’homme ‘aura pour ennemi ceux“ de sa propre maison, Désormais, cinq person- nes étant dans une senle maison, seront partagées: trois contre deux et deux contre trois.

“Qui aime son père où sa mère plus que moi, n'est pas digne .de moi!- Qui aime son fils ou sa fille plus que moi n'est pas digne de moit Et celui qui, vour venir à moi, ne sait pas rompre avec son père ou sa mère, où sa femme, n- vec ses enfants, ou $e5 frères, Qu ses soeurs, voire Mème avec sa propre vie. ne peut être mon Disciple.

“Qui veut conserver sa vie, LE perdra; et qui perdra sa vie pour moi, la retrouvera.

“Et qui n'accepte pas sn croix et ne la porte pas à ma suite, n'est pas digne de moi! st

| Aéponsos aux questions | | [Les chevaliers de S-Colemban et}

les chevaliers de Colomb sont-ils | une même société ?— |

Non, Les premiers sont uue s0" | ciété anglaise, les derniers une so- ciéié américaine, Is ont à peu près le mème but; celui d'aider à la dif-l fusion et au support de PEglise, ,

. : . |

_ Y'a-til beatcoup de catholiques à Clasgow ?— : l

A:Glasgow (Ecosse), le dernier; recensement donne 200,000 cathoii- | TUE i

: . Quels sont les saints qui sont les! LL

patrons des différents pays ?—

Voiei les principaux: S. Patrice: pour lirlande;—S. Denis your la France:—S, Joseph pour le Canu- da;—S, Georges pour l'Anglelerre:i —$, André pour l'Ecosic;-—sS., Jac- ques pour l’Espagne:-—$, David pour! le pays de Gallesi-—$. Sébastien pour! le Portugal;—S. Antoine pour lIti- lie;—$S. Boniface pour PAllemagne; —$, Gall pour la Suisse;—sS, Wen- cesias pour Ia Bohême:-sSte, Marie pour ia Hollande;—$, André et S. Albert pour ia Prusse;—S, Nichokis, Ste-Mamie et S. André pour ia Rus- sioi—S. Pierre pour les Flandres: —$, Staniilas pour li Pologie:— L'Immaculée Conception pour les | Etats-Unis, etc. etc.

om em ee, de 9

020

LES NOUVELLES

CHEZ NOUS

meer me

40 pour cent de la récolte en- core sur le champ

Réginn.—D'aprés des statistiques fournies par PUrnion des Fermiers du Canada, il y a encore sur Îe champ 2-5ème de la récolte, soit 30 pour cent du bié et HD pour cent des autres grains.

La mauvaise température qui se con'inue rend Ja situation assez

Of prévait de fortes pertes. d'ocuvre es tra

grave, La question de la main suffisante" ponr terminer

vaux deviont sérieuse, par le départ,

pour PEst des moissonnénrs; COpen- dant Les fermiers da Manitoba s'of- frent à venir nider leurs confrères

de In Saskatchewan, si coux-ri Ps |

invitent,

Le blé de l’ouest passera par les lacs

Winnipeg La mauvaise tempé- raure retardant les baltages va de- Erminer plus quc n'importe quelle ruson la route à suivre par 1e grain de Pouest pour atteindre Les mar- chés d'Europe, James Robinson. du bureau des grains, dit que le blé qui a souffert rentrera dans la aua- lité “tough”. et devra être séché, ec qui ne pout se faire qu'à la tête des

iurands Jucs.

DE LE Décision asrès les élections

Ottawa, —— L'hon. M. McKeown,

président de li commission des chemins de fer, déclare que a

commission n'en est vente à auCu- ne conclusion relativement à Pape pel du Pacifique Canadien concer- nant es Haiux Colombie Rritonuique ot

Jugement fe seras rendu, eroiton.:

qu'après les élections pénérales,

Le succès des coopératives

Brantford. Ont L'union conpé- rative du Ganada, de Brantford a fait de bonnes affaires l'an dernier, Elle a des socidtés affiliées depuis Bovetstoke, C. B., jusqu'a Sydnev, N, E Les marchandises qu'elles ont distribuées à tours membres se montent à SLASO593 Toutes les socidctès ont eu un surpius, 6t 10 d'entre ciles ont pavétdes dividen- des.

ment ag) Te eme ‘

Peu de dindes sur le mrcahé

Oltawa.--La production des din- des est peu considérable dans l'ouest celte année, TX 4 réduc tion d'à peu près 23 pour cent el

ferroviaires dans la! POucosl, ;

ET AILLEURS .

unes

dans le reste du pays la températu- ire du printemps n’a nas été favo- irable à Ia couvée et à l'élevage des

dindons, ne 1! L'hiver pour de bon dens Québec

Québec.— M, Boulanger, sous-mi- iustre des Chemins, disait, que dans Île Nord de Québec ainsi que dans Île voisinage du Pare National dans les Laurentides, les Chasseurs se servaient de raquettes, pendant que dans Les régions du Nord ht neige est si épaisse que les gens se prome- nent en traineau,

prenom aree

Politique

LE PATRIOTE DE L'OUEST, Mercredi, 28 octobre 1923 DE ]

Sapiro en appelle _:

Régina,—Aaron Sapiro, qui avait été débouté de son practs Dour li-| belle contre le Lender de Régina et!

le Star de Saskatoon, à décidé d'en

appeler de ce jugement. Une.balle

Notre-Dame-des Quinze. — Ces jours tdlerniers, . Orisène Bélanger était à fomer-tranquitlement sa pt pe avec M. Gaudias Perreault lors- que, tout à coup, üne balle du enli- bre 24, mélangée par mésarde au tabac, fit explosion arrachant Ja pi pe de a houche du fumeur ct le préc'pitant par terre, (eureuse- ment que la balle se trouvail droite dans la tête de fa pipe car ous at- rions peut-être des accidents à dé- plorer, |

# e dans sa pipe

an mn roms en entente

| 5 millions de voteurs

| “Oflawa, =— On calcule que cinq millions de canadiens auront le ‘droit de vote aux prochaines élec- Îtions générales, Je 29 courant,

Suns connaître le nombre exact des ffemmes qui ont le droit de vote, jon croit que fn moyenne du voie sera de 2 chez les hommes pour 2 tehez les femmes,

D #4

: 15,000 personnes vont écou- ter M. King

Montréal. La métropole eann- idienne a fait une manifestation en- vhousiaste au premier ministre King qui a dit que était ia plus grande assemblée politique que l'on ait Le- Lnue au pays, AU Forum où les ora- j'uurs on! porté la parole, plus de ï 13,900 personnes étaient réunies €! iuge foule sonsidérabie se pressait

aux abords de l'édifice dans les rurs

avoisinantes, Les étudiants de PU-

jniversité de Montréal avaient pris |

tplacs en arrière de l'estrade. j* u ' De mm Be ee 18 ., , Lo , J'hon, Ernest Lapo‘nte s'adres- lsant au premier ministre dit | “Cette manifestation est une preuve que la province de Québec se sou- j vient et woublie pas Elle n'oublie pas que pendant que les autres se | retimmient sous da tente vous restiez à ses côtés” . s | Quand M. King se leva pour por- iter Ja parole Ha foule fut fit une longue ovation. I iut d'abord quelques mots en : français ct continua en anglais, Ce qu'il a dit dans l’ouest il le répète dans Pest— suivra une politi- que de modération et cherchera

Alberta, tandis qu'au Manitoba el vant Punité du pays,

FREIN TEU

fi vote Progressiste ne signifie rien du tout. |

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Candidat Libéral-Conservateur

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Votre VOTE et votre influence sont sollicités en faveur de Monsieur J.-G.

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(I )—A compléter la construction du chemin de fer de la Baie d'Hudson.

(2)—A maintenir la stabilité du tarif sans accroître le coût de la vie.

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(3)—Réduction des taxes.

(4)—Une politique d'immigration active pour remplacer l'indifférence absolue préconisée dépuis quatre ans par le Gouvernement Libéral.

(5)—Développement ‘du chemin de fer Canadien National et de ses embran- chements sans amalgamation. |

: Ne‘vous laissez pas induire en erreur par toute espèce d'histoires de la part du * parti Libéral. : Un vote Libéral signifie la “continuation du malaise actuel. Un

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7 LL. . - : | , ! . ! . . . Ë OC ET ETTECTEETCERTETTTR TETE

D omRe Se rer * .

CET TELE € FEU DETTE à EU EL ELITE LEO ELUT LLITE IL CT

M. Forke compte sur 60 depu- tés progressistes

“M. Forke vient de parcourir ln Saskatchewan annonçant que le 29 octobre, le pavs renverrait à Otta- wa environ 66 dépuiés progressis- tes, dont 12 au Manitoba et 10 en; Alberta.

0 D ————

Bagarres électorales

Montréal, — Les “Canavens” ont assez souvent fa tête près du bon- net et on s'en est apereu en diFfé- vents endroits au jour de la nomi- natioit.

Dans.la Boauce, uue réunion en slein air entre l’'hon. Dr. Béland, Ébéral. et LL, QG. Gauthier consetfva- teur, donna lieu à plusieurs exhi-} bitions de pugilat.

A Loretteville on a préféré bom- barder l'estrade avec des ocufs.

M. Dunning à Toronto

Toronto, -- M. Dunuing premier ministre de la Saskaichewan, esl venu exposer, vendredi soir der- nier, le point de vue de Jouest. I a qualifié de tarif de M. Meishen comme une taxe pare et shuple, et la plus élevée que’ le peuple ait à payer, “H faut, dit-ü, une politi- aue pour tout le pays. Ni le Hbre- échange, ni le tarif élevé ne con- viennent au Canada. il fout un jus- te milieu”. .

Le premier ministre King a ré- pété son invitation à M. Punning d'entrer dans le gouvernement fé- déral . |

M. Dusning a adressé In parole en plusiours endroits en faveur de M. King, .

En marge de Ja fatte électorale des comtés de Russel}, Fémiscamin- gue-nord et Poutinc où lélément français ‘qui en majorité veut élire

respectent

dos députés de langue francaise, Le

Citicen A'Otltuwa écrivait: “I faut recopuaitrve au viril peuple cana- dien-francais le droit d’aspirer dans une partie du Canada ou dans Pautre, au pouvoir politique. Il est entendu que le droit de la mu- jorité & gouverner est le fondement de la démucralic politique. Les minorités, devraient, cependant, 6- tre justement représentées.”

À naoi M. Gaulicer ajoute dans Île “Droit”:

Ceux qui craignaient que Fatti- tude des Canadiens français de Russell soulève des protestations dans les journaux anglais en scront pour leurs apréhensions, Ti fau- drait, en effet, ‘avoir Pesprit mal tourné pour discuter le droit d'une majorité, qui, dans l’ensemble du pays, se trouve à faire partie de la minorité, à exiger un représentant de sa foi, de sa race et de sa langue,

Les Anglo-Canadiens savent tron bien jouir de la plénitude de leurs droits pour trouver mauvais que leurs concitovens d'autre origine réclament ce qui leur appartient,

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bre prochain, jour ‘de: élections fé- dérales, : M. Béland qui est né en 1186,-a pris part à toutes 1:53 élections de- puis l'acte d'union des deux Cana-

ERNEST COL?RON | AVOCAT

QUE

das. u ‘ _ — Lafñèche, Sa. N. PIROTTON) Les vraies questions à tran- il RCE ” cher | f. Monuments funéraires Les d : 7H L GUAY IE en marbre es deux partis parlent, boan- " utte . 1] ani coup de tarif et de chemins de fer. CERN EUR ’E et granit Ge sont toujours les mêmes choses. du Colièce Mathi 1) portraits Quel que soit le régime après les u Coricre Marnen il sur faïence élections, il n’y aura pas grand’ GRAVELBOURG, - - - SASK Ë chose de changé dans le tarif ete ff : COUTONRES probléme ferroviaire restera, Mais ° {4 au-dessus de ces questions, il y en hl ‘ ee perles a d'autres plus importantes, la à . EX-VOTO ET question impériale et la question PIERRES du droit des minorités. D'AUTEL,

. Pasons-les cos quelques ques- fions à ceux qui briguent nos suf- frages, ‘ a E ——— La stupidité du suffrage e universel

‘Dieu a mis les sens principaux dans la plus petite partie du corps bumain, la tète; de même, dans le corps social, il a donné le -con- seil et Fintelligence au petit nom- bre, Il n’est pas moins insensé de

donner, dans la société, Ta même |i influence à.tous les homiues, . qu’ilik

ne Je serait d’assigner, dans Je

corps humain, les fonctions de lal£

tête à tous les membres. D’après la nalure des choses, le mérite doit faire la loi au nombre, l'esprit com- mander à la matiére, In tête gou- verner le corps. Avec Île suffrage universel, le nombre fait la loi au mérite, la matière l'emporte sur

Pesprit, le corps préside Ja tête.” {À

Dom Paul Benoit:

+ < LE 1 LA modernes.” Les srl eUrS

candidats sur les rangs

La nominalion officielle des can-1J. A, Hagerman (C:); S. Bingham , ;

didats aux élections de demain n mis 582 noms sur les listes électo- rules, I va 241 sièges à remplir: voilà bel et bien 4{t 'aspirants qui resteront sur ke carrentt. "©

Les libéraux ont 216 candidatu- res, les conservateurs 2939,; les pro- gressistes 69, x a plus'de ?1 fermicrs-ravaillistes et,37 indépen- dants, dont 15 dans la province de Qûébec et 11 dans Ontario. |

Le jour de la nomination n’a en- registré aucune élection par accla- mation: le peuple devra partout courir aux urnes, Les trois chefs de partis n'ont tous qu'un soul aû- versaire, servateur, fait la lutte à M. King: Harry Leader, progressiste, à M. Meighen; D. W, Beatbien, conser- vateur, à M. Forke. ‘

Quatre femmes, une auNouveau- Branswick, une en : Colombie et deux en Ontario, sont sur les rangs. Le comté de Toronto-nord-ouést a cinq candidats, Scize des dix-huit membres du cabinet n'ont qu'un seul: adversaires MM, Motherwell et Stewart en ont deux, -

ent cinquante candidats se dis- putent les honneurs dans l'Ouest. Au, Maniloba, pour 17 sièges: 11 li- béraux, 16 conscrvateurs, 12 pro- gressistes, 5 travaillistes: En Alber- la, pour 16 sièges: 14 Hibéraux, 15 conservateurs, 12 progréssistes. 1 indépendant, 2 fermiers-travaillis- tes, À travailliste, . ‘ Dans Ja Saskatchewan, leé. candi- datures. se partagent comme, suit pour les 21 sièges: ‘

Assiniboia R. B. Mackeñhzic (E.): J, Hill (C): O.R, Goul& (P.) ,

Baltleford-Nard Cam. R, Meln- tosh (1); L. À. C. Panton (C.); C.

À G. Davies (P.).

. Battleford-Sud J, ‘Véllanco (L.);|

Le colonel Lennox, con-|:

| Lumboldt A. °F. Totzke (LL): E, S. Wilson (G.); C. W. Stewart (P.).

Kinderstey Hon. W, Sutherland (L.); 4, L. Atcheson. (C.); A. M. Carmichael (P.), ‘

Last Mountain Harry Butcher (1.); J, W. Mathieson (C.): W. R, Fansher (P.).

Long Lake Stuart Adrain (C.) : “ D) Johnston (P.); H. Ketcheson

Mackenzie J. À. MacMillan (L.): M. N, Campbell. (P.),

Maple Creek George Spence (L.}; J. B, Swanston (CG): N. H. MceTag- Melfort Malcolm MacLean °(L.) B, Keown (C.): R. I. Greaves (P..)

Melville Hn, W° Motherwel (L.): F, Dinnen (C.): W. P. Hepburn (P. . Moose-Jaw G. Ross ‘(L.); Wel- Hnkton White (C.); E, N. Hopkins

Prince-Albert Charles McDonald {L.); TJ, G. Dicfenbaker (C.); An- drew Knox (P.), L W. Lynd (C,);

—.

Qu'Apnelle W, John Millar (P.). « . Réaina F, N, Darke (L.); F, W. Lurnbull (C.);: M, J. Coldwell (P.).

Rosetaiwn A. W. Mooncy VW: W. Miller (C.); John Evans (P.); EB, Gifford (1.-P.). Saskatoon Dr. A. M. Youne (L.); FR, MacMillan (C.); W. L, Kirkpa- tick (P.\. Ù

Swift Current C. E. Bothwell (L): À. J, Lewis (P.), ‘

Wegburn Edward Young

(P.).

Willow-Bunch Dr, T. S, Donnel- lv .); A. FE. MckKinnon (G.): R. M. Johnson (P.). ct

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Le candidat pour qui j'aime- raïs voter |

Le candidat à qui j'aimerais don- [ner mon,vote.est celui qui aurait pu, en pleine assemblée, sans crain- te d’être contredit, faive les décla- rations suivantes:. .

n’ai jamais rien promis, Pour fai- re cela je respecte trop dans tous mes semblables, même les moins instruits ct ceux aui ont les mains les plus caleüses, des créatures de Dicu comme moi, Je croirais les insulter en cherchant à les cor- rompre, Je n'ai jamais fait appel qu'aux consciences libres d’éjec- teurs honnêtes. C’est encore

Al s à ceux-là que je n''adresse.” - ‘

Le vétitable candidat indé. | pendant

Les libéraux lui disaient: “Tu es un vire-capot, tu as abandonné ton chef ”; les conservateurs criaient :

‘Tu tes vendu pour avoir une chance de te faire élire”; Les deux partis chantaient de concert: “Tu n'es, ni bleu ni rouge, nous allons te vomir de la boîte au scrutin”; et lui de fépondre: ;

“On me blâme d'avoir changé. Je mé rappelle qu’autrefois tout le monde était bleu dans le comté. Aujourd'hui tout le monde cest rou- ge, Me'blämereZ-vous de mêtre ôté une couche de peinture rouge sans me remettre une couche de peinture bleue? J'aime mieux avoir là peau propre,” î

| ‘ “Je n'ai jamais acheté un vote, je n'ai jamais soûlé personne, je

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LES NOUVELLES EN QUELQUES LIGNES

DRUMHELLER, Alta. — Thomas Belot, 42 ans, d'Ottawa, a été tué instantanément par une roche qui se détacha du fond d’une mine. Belot était marié ét père de trois, enfants,

QUEBEC? — M. l'abbé J. Roys curé de Saint-Gérard «de Woilfe, vient d’être nommé: Commandeur de l'Ordre Sacré Militaire Pontifi- cal du Saini-Sépulere.. C'est Ma Paul Larocque qui lui a remis la croix et le brevet de l'Ordre du St- Sépulcre. : :

miam

mms

SOREL, :— La ville de Sorel a Cë* lébré avec éclat les noces d’or Si cerdotales du-chanoine JG. Ber- näard, curé de:la. paroisse St-Pierre.

: _ | ont

CORDOVA, Alaska, — Un ven terrible qui sabbaîtit sur Ja con tirée, enleva l'école de ses fon tions. et la rangea Six pieds plus doi © 7 . _

# =

D PE Van Lame cmapee de deta d ES ee 2008 Ha 2e tan E En er at AE vs AP on

AU a Re eee PDA cn DAME F AE PR ARR AE PA LA 3e en ange Panne

LE PATRIOTE DE L'OUEST, Mercredi, 28 octobre 1925 Page 3 TT LE me vu ‘ . , age met PT ss =, na - a ee TS ne Te + Ge CEE DTA NE ET TN SE a A ALT em tes de Rens ; A É M M ROM SU A OM BAL RO ER DEP AP EE DES OUT OU QE DEN DEN BUT QE QU DEN GS SA ON LES GE SAR SUR RUE SUR LE SE OA OT CR R Lo CS … Ju . # * | ‘ ’ | TT 77 4 LES NOUVELLES Quatième ennivenaire {8 PETIT BOTTIN DU MONDE PROFESSIONN! ; 5 À À | IA , Quatrième anniversaire | NEL ï CHEZ NOUS ET AILLEURS ° \# C'est aujourd'hui, 28 octo. # a FRA AAN EAN AVES HT E LP $ bre, le ‘ème anniversaire de %| @ | E? _ = == F Es le consceralion épiscopale de * So . « ; » / DE B j : ” Ti Se (1, | LH, , n #, , , . Ü . S ne couscription de 927,000 ffle du Nègne social de Jésus. | foie da Prog none, % ||. On trouve ses bons conseils à la bonne’ enseigne - - - vérité de La Püalisse 20 os ne + . . % Saskatoon. | s £ imonton. — Au banquet où fut en AL prépare, en ce moment # Ad “nuttos et faustissimos k. ok TRS NN EE nu GE a à = , . 16 nieée Ia cantpatres de pauseripe ficiellement Lt en ec Of # an1os. à DR ES ÉCRAN RO QOAUEE COS OT ON ON OU QU OU ONE ONE Our ONE QUE GE OUR RAT OU OT OA Gé amet collège universitaire de‘acte pontifical, FU lopesereeseeezeas Fu - der O'Learts rese ( que, les “Léon .XIIL avait parcillement, RARE . . : Lint nn catholiques, Ju diocese CE 97 00, [AS à la veille de l’année sainte ue re — | Avocat Avocat et Notaire Médecin Sétnient déjà inscrits pour SET communiqué par Encyclique aux |} Mer Murray naquit à Waterburv, | | sf: fidèles du monde enticr son dessein 10,26 février 1877. Promu au sa- J. J. MaciSAAC, LL. B. DR. LAURENT ROY

[de consacrer Punivers au: «4 Coeur,

célébra à minuit, le 31 décembre 1899, Léon XII renouvela d'ail- leurs cette consécration à la messe de minuit du 31 décembre 1900, quelques jours après ja clôture de la porie sainte.” —

" Ho

La fête du règne social de Sacrée

Jésus-Christ une encyelione de S, $. Pie XI spéciale envoyée de

Par dépêche siale cmiers jours d'octo-

Rome, alx pr

slslise

pre, de correspondant de la Croix ns as a Ville Eternelle, B, Sienne, | Un cadeau de $10,000 à Mgr. confirmiait la grande nouvelle de J G M “nstitulion prochaine par S. S, . JG. Murray.

pie AL d'une fête du Bègne social ,

de Jésus-Christ, en Ces termes : Le Clergé de Portland a remis à

“test très exncCt, conformément son nouvel Evêque, S. G. Monsei- 1 l'information publiée ‘dans plu- freur John-Gregory Murray, Port- Geurs Journaux, QUE, le 41 décem- land, Maine un chèque de 510,000 bre prochain, le Pape promulgue- lors de la cérémonie de l'intronisu- 1 solennellement à Saint-Pierre la tion.

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—.

hi — Comité permanent des oëu- vres eucharistiques

Québec. Sa Grandeur Monsci- gneur lArchevèque vient de cons- titucr à Québec un Comité perma- nent des oeuvres Eucharistiques du diocèse, afin d’assurer la bonne organisation de démonstrations pu- bliques envers la Ste-Eucharistie et la prospérité des diverses asso- ciations en l'honneur du T. S. Sn.

Voici la liste des membres de ce

Comité: i Président, M. le chanoine Ulric

les abbés Fugène Carrier, curé de St- David: Arthur Robert, du Séminai- re; Albert Godbout, curé de St-

SiFrancois d'Assise: Îles RR, PP, Pa-

Din-Arehambaukt, S. J.: Gaudiose Labrecque, S.S.S., MM, le Dr, Alex.

‘andre Lemieux: le Dr Albert Jobin,

Pavocat Léa Pelland, :

Le prochain consistoire: no-

mination de cardinaux Rome. _—— Dans la deuxième quin- zaine de novembre ou la première de: décembre au plus tard aura lieu

*|le Consistaire secret pour la nomi-

nation des cardinaux délégnés la fermeture des portes saintes des basiliques de Saint-Jenn-de Latran, de Sainte-Marie-Majeure et de Si- Paul-hors-les-murs. Le pape se r&- serve comme d'habitude, la ferme. ture de la porte sainte de Ia basili- que de Sdint-Picrrc. On pense, dans les milieux du Vatican que le consistoire secret sc- ra suivi d’un consistoire publie au cours duquel le Pape imposcra le Chapeau aux deux cardinaux espa-

On prévoit. aussi Ja nomination de nouveaux eardinaux, Parmi les prélats qui seraient ainsi appelés à entrer dans le” SacréCollège, on mentionne S, Exec. Mgr Cerretti, I est actuellement à Rome et a été recu en audience particulière par le Saint-Père, On dit aussi que Mar

= Charles Perosi, assesseur du Saint-

Office et frère du directeur de a chapelle Sixtine, sera fait cardi- nal ,

D'autres mentionnent le nom”de

LiSa Grandeur Monseigneur Edward- FT. Hanna, archevêque de San-Fran- | cisco comme celui du prochai

n car- dinal américain. un

— Hi Congrès des prêtres-adora- teurs

Québec.— Le congrès diocésain vient d’avoir lieu en l'église paroissiale du Saint- Sacrement. «

* Das l’harmonie combinée des grandes orgues et d’une chorale de deux cents voix, le Clergé commen- ca de processionner, vers neuf heu- res, dans la nef du temple spacieux, enjolivé d’une décoration toute dis- crète, remplie par Îles élèves du Grand Séminaire de Québec et par un fort contingent de paroissiens. Puis, avec la permission expres-

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LES TRAINS SUIVANTS. = — rm aissera Winnipeg à 10 heu- le 10 décembre, pour Halifax, et

endroit pour Glasgow et Liver- ar le paquebot “MEGAN-

AIN laissera Winnipeg à 10 heu-° le 11 décembre, pour Halifax. et le 14 décembre, pour Els- Londres par le paquebot le paquebot, et Southamp-"

et Glasgow par

“HILIG OLAV”, le 29 novembre, a Norvège, la Suède, la Fin- de Îa Baltique.

“GHI0", le 30 novembre, de Ha- È thampton. TS

ARABIC”, le 4 décembre, de

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Une chorale d'adultes et d'enfants, composée des maftrisos de St-Savre- ment, de St-Roch, de Limoilou ct de Lévis, donna, selon le mode gré-

gorien, le Magnifieat ct la Messe dex | inesse la sematne dernière dans pièces à quatre! basilique de St-Pierre pour 50,000

Anges, puis, des voix,

trois jours: des travaux trés impor- tants furent présentés.

Une journée-missionnaire à S. Sauveur de Québec

Québec. — Pour répondre à Pap- pel de notre Saint Père, lancé dans e monde entier, le 930 novembre 1919, au lendeñiain de la grande guerre qui a amoncelé tant de rui- nes dans les pavs civilisés et chré- tiens, voire mênie dans beaucoup de missions étrangères et infidèles, faisant disparaitre en même temps beaucoup d'ouvriers évangéliques: jour répondre aussi à Pappel de ‘Union missionnaire du “Cilcrgé de Québec, le Père Magnan, o.m.i., cu- ré de St-Sauveur, Pun des. direr- décidé de donner, à ses paroissiens, ce que Von est convenu d’appeler “la jour- née missionnaire”,

Dimanche, 18 octobre. fut donc

Fila première de ces fêtes et de ces

journées que Îes pasteurs sont in- vités à donner. dans leurs parois- ses et cela aussi fréquemment que possible, dus le but d'amener leurs fidèles, en possession de la vraie foi, à coopérer à Fextension du Ro- vaume de Dieu chez’ les peuples in- fidèies, à sauver les âmes, et par ce fait même, à sauver la leur, car,

i sauve une âme, sauve-la sienne.

: ! La généreuse population de St- fi Sauveur répondit en foule à Pappel

de son pasiour, en. offrant tout d'a- bord pour la conversion des infi-

| dèles une communion générale de

mer mime

Avis aux épouse

Un nouvelliste de PUnion dEtles, mais a meilleure

monton annonçait Pautre jour que

Ai Beaumont compte un régiment de

“5$ garçons en âge de se marier,

Espérons qu’ils vont fonder cha-

cun un foyer. Cela ferait 58 nou- velles familles”, | Epatant! C’est là de quoi former nouvelle. paroisse ! Mais‘ il ne faut pas laisser perdre

Îlces magnifique vécrues, infiniment

plus précieuses qu'un char d’im- migrés. S'il n'y a plus de terres à à Benumont, il faut gui- der ces gaillards-là vers des grau- pes de notre race, avant qu'ils ne viennent se déraciner en ville ou se nover dans des districts cosimo- polites où tout se fait en anglais,

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PArchevèque,: toute la paroisse, et en retmplissunt

J-tbre {des discours vibrants furent pro-

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mem Pentecèlez La Toussaient, D. de lu dim: Vôêpres de na léte SUIvIes

D, de ère classe.

eur vaste église à chaenn des nom- aux exercices de Ha journée, où

noncés par des missionnaires Aux coeurs d'apôtres,

. DEL CEE

Le Saint-Père célèbre la mes- se pour cinquante rmille pè- lerins

Rome. S, S, Je Pape célébrait ju nt

l nolurins de l'année sainte, représen-

]

que mous pari

Ces assises solenuelles ont duré! tant plus de 930 nationalités où Île

Canade et les Etats-Unis étaient bien représentés. Puis de 1,000 dais sous Ta conduite de Mgr John M. Havty, archevèque de Cashel, 4s- sistaient, . |

Le Saint Pére fut aeclamé en en- trant ot en quittant la Basilique par la foule à laquelle il accorda la bé- nédiciion apostolique,

mn. Se nu mme

Les Clubs Sociaux Neutres

par l'abbé Cyrille Gaynon

Professeur de théolugie à PUni- versité Laval, l’auteur de’ cette bro- chure dtait bien qualifié pour nous exposer la doctrine de l'Eglise sur ces groupemenis sociaux devenns à la mode depuis quelque temps ct où se coudoient catholiques ct pro- testants.: Déjà son Eminence le Cardinal Bégin avait uis en garde contre eux Jes fidèles de son dio- cèse. M. Pabbé Gagnon les étudie à la Jumière: de’ la théologie et en des pages claires et sercines porte un jugement fortement motivé, At- cun catholique n'a le droit d'igno- rer cel enseignement, ceux-t sur- tout que leurs relations mettent en contact avec les protestants et qui sout ainsi portés à se rencontrer avec eux dans différents groupe ments, Les associations catholi- ques devraient se faire nn devoir de propager cette brochure. Elle ne se vent que 10 sous Pexemplai- re, 86,00 le cent et $50,00 le mille. adresser à l'Action Paroissinle, 4950, ruc Bordeaux, Montréal,

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reconnuis- sance est de conserver nos enfants tels qu'il les a crées, catholiques el francais. .

Jeunes gens de chez nous, res- tez bicu dans la lignée de nos pe res: ne vous mariez pas à la Jégérce avec des personnes ‘qui ne posse- tent ni potre sang ni-nob'e esprit, pi notre édueation, ni nos affecti- ons Les plus douces du coeur, N'al- lez pas vous préparer des nids à chicanes en introduisant à voire foyer des étrangères trop étrangé- res, des pimbêches aux dents Ion- gues qui n'ont auennc estime pour notre nationalité, qui abuseront de votre bonne-patience 4e Canadiens pour vous détourner des vôtres € faire de vos enfants des étrangers chez vos parents à vous. °

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Ceux qui travaillent pour moi avec Île plus grand succès sont justement ceux qui n'avaient jamais entendu parler d'une machine à tricoter jusqu'à ce qu'ils aient vu mon annonce. Il n'est donc pas nécessaire que vous sachiez quoique ce roi: du tricotage pour commencer. Une série d'instructions écrites en langage facile à com- prendre vous enseigne comment travailler. Si vous savez lire et compter vous pouvez auto- tricoter.

Ecoutez Ce Que disent Ces Travailleurs Enchantes

C'est pour moi un plaisir et même un devoir de donner mon opinion de lPauto-tricoteuse que j'ai acheïée, il y a déjà deux ans, J'ai gagné de $2.50 à $3.00 par jour sans négliger ma famille. Je n'ai plus ancune inquiétude maintenant car je sais qu'en travaillant taut le temps je pour- rais gagner de 65.09 à S6.00 par jour. “Mme R. Veilleux, Québec.” Quand Mme Veilleux m'en- voya son nom il y a deux ans, je suis certain qu'elle n'avait-pas la moindre idée que ses. mo- ments de loisirs eussent tant de valeur. Et Mme An‘hur Filion, également de Québec, me dit gu'elle est tellement enchantée de sa machine qu'elle peut à peine la laisser tranquille. Elle termine ea lettre ainsi: “Dans les 4 mois que j'ai eu ma machine, j'ai gagné $200.00 et je ne

m'inquiste pliti de ce qui arriverait si mon mari.

éiait sans ouvrage,” ÆEi Mme H. O. Stevens, de Québec, commence sa lettre ainsi: “J'ai en- tendu parler d'un homme qui soutenait sa famille avec une aufo-fricoteuse et j'ai cru que s’il pouvait faire ccla je pourrais certainement gagner quelque chose dans mes moments de loiairs. J'écrivis pour demander des renseigne- men!s et comme l'offre faite me semblait bien honnête je me décidai à essayer. In suivant les instructions, je réussis bientôt à faire des chaus- seites, J'ai eu ma. machine 8 mois et jusqu’à

Pas. d'expérience

présent j'ai gagné au-delà de 5325.00.” M. T. Cloutier de Québec est heureux de témoigner de ma promatitude à ui envoyer 5es chèques de paye ainsi que de la laine. Voici un extrait de sa dernière lettre: “Maintenant je suis capable de laire une paire de chaussettes en 20 minutes. Jusqu'à présent j'ai gagné $178.00. . Je suis heu- rcux de mentiomasr la promptitude avec laquelle

la compagnie m'envoie mes chèques de paye et.

de la laine” Et ainsi de suite. J'ai ici dans mon bureau, dés centaines et des centaines de lettres de ce genre, que j'aimerais bien pouvoir impri-

mer ici pour que vous les lisiez! PTS

Un Message Persennel

Chague mois je paye des milliers de dollars à ceux qui tricotent des chaussettes pour moi. Ma famille de travailleurs couvre tout le Canada. L'éloignement ne fait pas de différence, N'im- porte où vous demeurez vous pouvez devenir un de mes travailleurs à domicile. Si ce que je vous ai dit vous a iriéressé, je vous prierais de faire un pas de plus. Envoyez-moi votre, nom. Remplissez le coupon ci-dessous et envoyez-le moi par pose. Je vous adresserai un superbe livres donnani tous les étails—Comment com- mencer à travailler—Combiecn vous pouvez ga- gner—Et une foule de renseignements très inté- ressants concernant csux qui gagnent de l'argent en travaillant chez eux. Remarquez que le fait de m'adresser le coupon ne vous engage en rien. Envoyezle dès aujourd’hui, ,

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gurantes. Devant une telle intensi- 1709-11, rue Broad, Régina. té de vie, comment s'imaginer d’a- Dept. O 7 bord que ce pays était presque 1lé- | fasses ——

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mes eaux s'ébattent aussi la “mu- ‘ MON REA: Ù

nie”, qui a la queue de languille. |} D l

le corps du crapaud de mer ct a tête de la morue: l“atosset”, esné- ce singulière dont on ne neut reira- cer les ancêtres; le brochet, qui v atieint des dimensions énormes ci v exerce de terribles ravages chez les autres habitants du lac.

C'est suriout la truite qui pttivera le fervent de la “mouche”, Dans les netits lacs de la région. elle a- honde, Sur ces rives hoîstes, vioti- nent s'ahrouver les bôtes sativages,

Tels sont quelques-uns’ des 15- lnects généraux de cette terre d'a handance et de beauté. Grûce an lChorain .de fer natidnal du Canada laut la volie à Québec et à Montrénl

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ecssible au touriste, us À

l'intérêt ï $

Il arrive que plusieurs dont les ri-

œun désastre

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sembre, semblent seriir

d'ép nt

EE —— — —— publié leurs portraits, et en lisant, sur mancheîles de sept colonnes, la grandeur de leurs exploits, les braves gens se seraient dit:“En voi- là des visiteurs qui travaillent!”

Mais non, les agents de l’Eolis de Dieu et de Sa "Majesté la Lan- gue française, bien loin d'avoir quelqu'un qui chante ce awils ne font pas, n'ont eu personne jusqu’i- ei qui publiât ce qu'ils font. Le Patriote lui-même s’est (à à Jour sujet. Pas.tout à fait cependant les chroniqueurs paroissiaux ont rapporté à tour de rôle le passage c un ou de l'autre de nos visi- eurs.

£a Îes visiteurs d'écoles ?

e Ja ère page)

" peut toujours dire urs ne font pas au-

ne sisiteurs du moins

(Suite

pa jour, ue $ , tre chose. ils Y

ins. che e les visiteurs d’éco-

comm Puis, ja Saskatchewan, française

pas précisément sur pont pas d'auto où d'autre ,n de locomotion à leur service if. ils doivent nécessairement ; bon vouloir des uns,

; , r le | compte Sisponible des autres, la | arrêts prolongès |

: lente et les ns mixtes, le mauvais état C’est ainsi que nous avons

: à les |Pu suivre une bonne partie de leurs des, routes EPP Eout dela ex mouvements.

£ , pluies Dion un peu comfîment il se Mais qui dira jamais tout le bien Jique accompli, tous les courages refaits,

p re allèr par- n'ont pu encore a P fait qu'ils 7 p toutes les initiatives suscitées, ‘tous

les horizons ouverts, toutes les é- nergies gagnées à la'bonne cause, toutes les âmes chancelantes raf- fermies!

Grâce à leur zèle infatigable, à leur dévouement et à leur savoir- faire, le niveau catholique et fran- cais ‘de nos écoles s’est déjà sensi- blement relevé, il devrait bientôt aîteindre des hauteurs qu'il ne con- naissait pas jusqu'ici ct qui assure-

“l étaient des ministres en es d'élection, ils auraient eu, en plus d'un char spécial et de ques | les voitures’ du pays à Îeui

moins une bonne de “scribes à .léurs trous-

: dire dans les’ journaux

fois ils ont ouvert la els oracles ils ont pro- Îles mesures de salut ils la ant préconiséess 1 PO PT aurait

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. LE PATRIOTE DE L'OUEST, Mercredi, 28 octobre 1925

à da Saskatchewan une race

ront de catholiques fervents et d'ardents patriotes, Pierre MENARD. S. G. Mgr. Gauthier et les

élections

Sa Grandeur Mgr Georges Gau- thier, archevêque de Tarona et ad- ministrateur apostolique du diocè- avoir dénon- cè sévèrement les'#raves abus, aux- quels donnent trop souvent lieu Îles campagnes électorales, dans une lettre récente à son clergé, écrit

“I est possible que les. élections ne soient pas toute la politique, ni même à v regarder de près, ce qu'il y a de plus important dans la nolitique, T1 faut convenir que les bons principes de morale politi- aue sont d'une valeur bien supé- Un homme peut disparai- tre, les mauvaises doctrines de- meurent. Eu bien comme en mal rien ne se perd, et ces mauvaises doctrines politiques ou sociales dé- posent dans les espr its des ferments dangereux qui lèvent tôt ou tard. Rendons-nous compte toutefois d’une vérité de simple bon sens, C'est que dans une société à gou- vernement représentatif, toute la politique pratique est dans les élec- tions.

“Ces considérations permettent en thèse générale, et sans tenir compte des niotifs particuliers qui peuvent être égitimés, de iuger sé- vérement Pabstention électorale. C'est un mauvais exemple, souvent une lâcheté, et quelquefois une tra- Thison.

“Elles permettent de condamner avec une égale sévérité tout ec aui est déragaloire à la dignité comme à l'indépendance du vote.”—S$, LC

a ee ms Le cardinal Dourherty est légèrement blessé”

rieure,

Philadelphie, Son Eminence le cardinal Doushertv, archevèque de Philadelphie, Téchanpa héîle quand sa limousine vint en collision avec un tramway dans Melrose, un fau- bourse, Son secrétaire le Rév, Dr Gerald O'Tlara a eu la main brisée.

Le chauffeur n'a pas été blessé, Son TEminonce s'en est tirée avec quel-

ques égraiignures. —

Tous les hommes dorés sur lran- che; ne brillent pas. CLLS

Nos manquements sont mis échec par nos lois et nos lois sont mises en échec par eur incohè- rence,

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" Pen 2

i Î Autre désastre de l'air | Bayshorce Park, Baltimore, — Le fameux aéroplâne mystérieux de }a Grande-Br ctagne, le super hvdra. vion Napier S-4, à été compléte- ment détruit dans des envolées d'essai, Le capitaine Henry Biard, je pilote n'a pas été lié mais peu

#éts'en fallnt.

Un'était qu'a un demi- mille ‘de | la rive et 200 pieds dans l'air

llquand, avant ce onslaté une défectu- {lasité dans les ailes,

le pilote tenta d'atleries Favion piqua toul droit] dans a mer ct tomba sur le dos. Le: capitaine parvint à se dégager. On ne sauva que le moteur de Vavion.

Û PERLE Re

Chute d'un avion

Wadhurs!, Sussex

: ;

Madame |

fatale.

Sussex, — Burt, une Américaine, a cté

timent blessée quand un aéroplane

français se dirigeant de Londre:i à] Paris est tombé dans un arbre.

son frère, je, Da | Burke, de New-York, ont été bles. |

EE CLS

Moït de froid

Sherbrooke. — On a retrouvé le!

cadavre de Lucien Beauchesne, de mort dans le bois. Le -jeune homme était parti de chez Jui pour ‘une excursion de chasse,

(Let la découverte de son corps, à de- {lini gelé, permet de croire qu'il dlété terrassé par

a le froid, On }'a trouvé à un demi mille seulement

du village, ER mme

l'heure

248 milles à Mitchel Field, — Le Hhientenant Cyrus K. Bettis, de l’armée améri-

caine, pilotant un appareil Curtis rapide, 4 agné la coupe Pulitzer

cord en volant à la vitesse de 248

milles 98 à Pheure, vitesse qui a été

déclarée le record du monde sur circuit fermé,

[SN PEN 7 pie ADR

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= 2 17208 3 ER rt 0 rt D DL mn D à rm ar

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Le lieutenant Betis a battu je lieutenant À, Williams, de la ma- sine, vainqueur de fa coupe en 1929 of. détenterr du record de A2 mile les 4 à Pheure avec départ en plon- sée, Cette vicloire & causé une vé- ritable surprise,

| Téléphone entre l'Alberta el les Etats-Unis

Edinonton, -- Un fil direct de téléphone relie maintenant l'Alber-

à plusieurs points éloignés du Pays et un grand nombre dus Etats de da république voisine, Le hente- nant souverneur Brett Pa inauguré en téléphonant aux secréfaires d6- tat du Montiia, du Colorado et de l'Arizona.

éner mme

| mt Un meurtre à bord d’un vais- seau

Londres.— Le capiiaine du Méli-

ta des paquebots du Pacifique Cu nadien, À, H, Clew, a été fué par

lun des officiers du bord à Anvers,

Deux des mécaniciens, onf &té bles- 65.

[C'OR

Gros incendie à Ottawa

Ottawa.—On estime à #175,000 tes dommages causés par un incendie qui réduisit en cendres le garage de Joseph Dufour sur la rue Rideau. Toutes les stations dé pompes soul venues à la recousse pour sauver fe de la côte de Sable de ft destruction complète,

em menenennes 1 6fe en L'Allemagne approuvera

Berlin, — On prédit une grosse maiorité au Reichslag au ministère Lather-Sireseman, quand sera pro- posée la ratilication des traités conclus à Locarno, :

Le cabinet sous la présidence de Von Hindenburg, a endossé à l'u- nanimité la ligne de conduite des délégués allemands,

D Le

Procès de 12 communistes

Londres, — Douze communistes arrêtés dans les récents raids de la police ont commencé à subir leur procès, pour incitations à la ré- vole. À Pextérieur de da salle d'audience des groupes de commiti- nistes chantaient le “Drapeau Rou-

ge”.

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43 10h. el

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Les plus grands abattoirs de l'Ouest

StBoniface.-- Les grands abat- tirs Harris viennent d'ouvrir leurs portes. Siués à St-Boniface, ils; passent pour les plus considèt sables | de l'Ouest, Sinon de tout le Canada «tt comportent tous les derniers per- fcetionnements dans ce genre d'ins- dustrie,

Sir James Aikins, licuteuant- Hou- verneur de la pr ovinee, a pressé le bouton qui a fait vésonner la sirène

au méme instant le pra- peau à été hissé au haut du int, Le lieutenant-ssouverneur na compli- menté le président et le secrétaire- frésorier de Ia compagnie Harris,

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Page 6

À mes jeunes compatriotes =

_ La sation

de demain

(M. Raymond Denis au collège de Gravelbourg)

M. Raymond Denis a pris la bon- ne habitude, chaque fois qu'il vient à Gravelbourg, de se rendre au col- lège et d'adresser la parole aux é- lèves. Le 13 octobre dernicr, lors de Ia convention de l'A.C.F.C. il n’a pas manqué l’occasion de venir jeter la bonne semence dans l'âme de la jeunesse étudiante,

‘Le R, P, Recteur nous le présen- ta, El mavait pas besoin de faire son élège: nous le connaissions pour Pavoir déjà entendu, nous Île connaissions surtout par ses oeu- vres et-par ses écrits; nous savons qu'il est le vaillant défenseur de la bonne cause.

“M, Denis devant les élèves, nous dit le KR. P. Récteur, cest comme un père au milieu de ses enfants. C’est un père parce qu'il veut votre bien, parce qu'il Se dépense pour assu- rer votre avenir, Comme un pilo- te vigilant il scrute l'horizon pour v découvrir les éceuils qui peuvent menacer votre vie... À la tête de l'armée canadienne francaise de la Saskatchewan, il vous apporte un mot d'ordre, un commandement sa- fe et prudent qui devra vous con- duire à la victoire, Pour les ser-

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vices présents et passés rendus à notre race, il mérite toute notre re- connaissance.” '

En terminant il remercia le dis- tingué visiteur de lobligeance qu’il avait eue de répondre à son invi- tation, persuadé que Îles paroles qu'il nous dirait, paroles d’un hom- me publie, d’un homme d’expérien- ce, d'un vrai patriote et d’un lut- teur, ne.sauraient manquer de fai- re du bien à la jeunesse ct qu'un jour ou Pautre elles porteraient des fruits.

Merei à M.:le Président de PAC. [protéger contre la honte du renie-

F.C. pour son aimable visite. [ sc- ra toujours le bienvenu parmi nous. Voici en quelques mois le résumé du discours de M. Raymond Denis, Mes chers enfants, Vous me permettrez de vous don- ner ee titre plein d'affection; "car,

ne SOMNnICS-NOUS Pas VOS pères, nous qui menons la bataille pour

vous obtenir la victoire, c’est-à-dire l'enseignement de la religion éatho- lique el de Ia fangne française? Ces luttes que nous livrons pour con- server le doux parler ancestral, Île doux parler de la “douice provin- ce”, c'est pour vous que nous les

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, Mercredi, 28 octobre 1925

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idans une atmosphère étrangère, {dans un milieu francophobe.

Î Nous sommes les représentants | d'une génération qui marche vers ila tombe; vous, vous êtes le “blé iqui lève”, l'espérance des’pères ca- | £Ë hnadiens, vous êtes les persécutés l'8 d'aujourd'hui et.les lutteurs de de-}p} main, Tenez bien haut le drapeau de votre langue et de votre foi ;

* préservez-le de toute souillure, ct, quoi qu'il arrive, conservez-le in- tact, au-dessus de la fange d’une dé- serlion ou d’une capitulation hon- teuse, Vous étes Pélite d'où doi- vent sortir les chefs, les futurs dé-5 ff fenseurs de nos droits. [1 voustk faudra conserver intactes les carac-l$ téristiques, la inmentalité, les moeurs, l'histoire de notre race; il vous faudra la préserver de Panathème |

nent national et religieux: c'est là votre mission, Amitez l'exemple de nos ancètres qui, pendant quatre siècles, en des temps plus pénibles, ont lutté pour la même cause, Que les victoires rermportées dans leurs glorieux combats vous servent d’en- couragement,

Chers enfants, quelques-uns d’en- tre vous seront ui jour prètres, cest ja vocation Ja plus belie, Îa plus sublime,—d'autres seront mé- decins, avocats, cie, Quelle que soit la profession que vous choisis- siez, vous aurez des devoirs à retm- plir, des labeurs à supporier; vous aurez peut-être des succès, La vic se compose de peines intermitten- tes, de rares joies, et de beaucoun = de responsabililés, Dans n'impor-|conservez précie te laquelle des positions que vous|sacré, défendez-le jusqu” occupercz, soyez plus conscien-{yhe, jusqu'au bout. jusqu”

te tee

usement ce dépôt au triom- à la mort.

cieux, plus dévoués, plus honnêtes! Si vous êtes fidèles, vous serez que vos collègues d'autre nationa-| heureux vous aussi de pouvoir di-

lité, Ayez des convictions, SOvVez|re que vous avez accompli votre de- des gens de bien: ee scra Je mcil-| voir “jusqu'au bout”. leur moven de vous faire admirer Léo-Paout SABOURIN, et respecter, En un mot, soyez de éléve en Philosophie. vrais chrétiens. : ee N'est-ce pas à vous inculquer tou- : les ces vertus que se dévouent vos professeurs? N'est-ce pas pour fai- re de vous des hommes que les O- blats de Marie Jinmmaculée, eux qui ont déja tuni fait pour l'Ouest, n’oni pas hésité à se sacrifier, à prendre sur leurs épaules Ia charge onéreu- se muis peu rémunérative de lins- truction et de Ia formation de la jeuncsse, Hs ont à coeur de con- ue . üinudr l’ocuvre de lcurs devanciers,} Dimanche dernier, nous avions is veulent faire de vous des catho-|le bonheur d’appaudir les artistes liques fervents et des patriotes é-|de Prince-Alhert qui sont venus clairés. Que la semence qu’ils jet-! jouer leur séance au profil de PA, tient à profusion dans vos âmes ne|Cf.C. La séance fu: très bien goù- tombe pas sur une terre stérile, [fée et appréciée. On vint en grand qu'elle germe et porte des fleurs et! nombre. Au cours de la soirée, M. des fruits. ° le Commandeur Morrier adressa Ja Pour réussir dans la lutte que Iparole, parlant de l'Association, A- vous aurez à soutenir, soyez fiers | près le concert on servit uir .goû- de votre langue. Sans doute il faut {ter et... suivant les traditions, veh- apprendre, posséder même parfaite- | te de “Peg Top” à l'enchère par un ment lPangiais,

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fl faut parier lan-{encanteur de renom... Le plus é- glais ptu nécessité, mais il faut ai [levé s’est vendu 51.50, M. le curé mer le français. N'oubliez pas que remercia les aclours et on se lais- le français est votre langue mater- sa avec l'Au revoir. nelle, votre bien, une partie de Les battages se continuent tou- vous-mêmes, En l'abandonnant.fjours, Le rendement du blé est

en Ja négligeant, vous portez un|d’environ 35 à 40 minots. On dit coup mortel à votre race: à chaquelque M. "Godin tient le record et

n +

lois qu'un Canadien abandonne salqu’il à eu au-delà de 50 minots à langue, c'est la race qui perd unfl'acre. L’avoine à un rendement des siens, Or nous ne sommes déjà }de 60 à 65 minots à l’acre et mème Das drop nombreux, nous avons be-fchez M, Wilfrid Beaudoin it dit a- “oin de toutes nos forces et de tous! voir eu jusqu’à’ 112 nrinots pour nos membres. Avez donc à coeur }10 acres. .

de bien apprendre ct de bien par-f. —Albertville aux prochaines é- ler la belle langue francaise, dé-}tections aura son ‘bureau de vota- vou- {tion au village; l'innovation ést dûe

,; fau club libéral dont M. Aimé Pelle- contents, |rin est le président, TE y ent assem- blée libérale et conservatrice di- manche dernier, Les orateurs des deux partis ont expliqué leur pro- gramme, chacun de lèwr facon.

—Les moissonneurs sont en par- tie de retour de leur tournée, --Le bazar aura lieu les 6, 7 ct 8 dé- cembre, Les deux carididates Miles Anny Russell et Lauréarne Pain- chaud rivalisent de:zèle et d’'amhi- tion. Mile Painchaud aüra une partie de eurtés à son profit, di- manche le 25, à laquelle on’ jouera une comédie “Con ; i tes”.

-—On est à préparer de magnifi- ques fêtes en Phonneur de M. et Mme Louis qui célèbreront leurs noces de diamant le 28 du inois courant, [lv aura grand'messe à 19 heures et sermon de circons- tance par l'abbé Louison, de Dom:

fendez-la contre quiconque drait fui porter atteinte,

Alors nous partirons nous les anciens, sachant que notre héritage est entre bonnes mains ! nous partirons Sans regrets, nssu- rés que là garde du drapeau est confiée à des hommes vaillants et courageux. Gardez bien ce trésor,

sultations gratui-

survenue dernièrement à Phôpital de Prihce-Albert plonge dans le fleuil sa jeune épouse et six enfants sn bas âge, M Turcotie revenait

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É des battages et était heureux de re- F venir passer quelque temps au mi- ÉE lieu de sa pelite famille lorsque, à

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“PATRIOTE DE L'OUEST”

la suite du froid, qu'il avait pris, une pneumonie se déclara et l’ame- Ina dans ka tombe vendredi soir, lc 116. Le lundi suivant eurent lieu ses funérailles à Albertville, M. le curé chanta le service et M, l'abbé Lesann nouveau curé de White Star fit lPabsoule, A la fin ‘du ser- vice on chant: P“Adieu” de Schu- bert, k ,

Ses deux frères Alcide et Gédéon de Swift Current et son beau-frère, Lucien Lavoie, suivaient le cortè- ge. M. Turcoite avait l'estime de tous; aussi la paroisse se fit-clle un devoir de rendre ‘un dérnier hom- mage de prières’ à celui qu’elle re- greire et qui passa en faisant le bien.. À sa femme et à la famille é- prouvée, nous ‘offrons -nos plus sympathiques condoléances.

MM. Fisher de Hudson Bay Junc- tion et Major, ses beaux-fréres, é- tant dans l'impossibilité de se ren- dre pour les funérailles sont venus le lendemain offrir leurs svmpa- thies à Mme Turcotte,

GRAVELBOURG, Sack.*

—-Le docteur et Mme Antoine Sou- cv, leurs fils Marcel et Louis, ct Mine Sébastien Dubois, s'embarque- ront à Montréal, le 21 novembre à bord du: ‘“Régina” pour l'Europe. Le Dr Soucy doit passer un an à Pa- ris, où il étudiera la chirurgie,

—Mme: Joséph Provencher, a donné un “bridge” et recu à Fhéu- re du thé, samedi le 17 novembre, en l'honneur dé Mme Antoine Sou- cv, à l’occasion de son départ pour PEurope. T7 :

—Mme A, L. Mitchell, de Great Falls, Montana, passe un niois en ville, l’invitée de sa soeur Mme H.. J.-Coutu. —

—Le Dr. J.-B. Trudel, de Moose- Jaw, « passé la fin de semaine ici, Finvité du Docteur Antoine Soucy. . Le Docteur Gustave Proven- cher, de Saint-Boswells’ Sask., ‘é- lait en visite chez ses parents, M. et Mme Joseph Pravencher, en route pour Montréal, où il est allé re- ioindre Mme Gustave Provencher, nui est avec ses fillettes, Madeleine et Yvette, l’invitée de ses parents le Docteur ct. Mme Aimé Beau- champ, Le docteur et Mme Pro- vencher passeront une semaine à New-York avant de rentrer à Saint Boswells’ dans un mois.

M, ct Mme J.-B. Crépeau ont re-

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Mme JF, Brilion passe quel- aue témps dans les provinces mari- Limes, à Shediac, °N.-B. chez sa soour, Mme Jean Béliveau., ‘

—Les Dames du cercle du Fo-{f

iyer ont donné récemment à la sal- j'e Rinfret un thé au profit des oeu- vres du cercle, Les organisatrices létaient Mme Daniel Lamothe ct Mile Marie Bodart, Mme Joseph Pro- venther a servi le thé, -

-—Les Dames patronnesses du Collège Mathicu donneront sainedi, ile 31 octobre, à la salle Rinfret, un grand thé, Les recettes seront 'ver- sées à l’aide au Collège Mathieu, pour compléter le montant requis pour la bourse offerte à un cnfant de Îa paroisse élève au Collège Ma- thieu, °

——M, Joseph Lafrenière est reve- nu d'un voyage d’affaires à Moose- Jaw. ‘ « *.

-—M, l'abbé L.-P, Gravel, mission- naire-colonisateur, est retenu à ses appartements au Couvent de Jésus- Marie, par la maladie.

M. Aimé Bourgeois est rentré de Napierville, Qué. où il a assis- té aux funérailles de sa mère, Mme L. Bourgeois, décédée. récemment.

—Mlle Antonia Bachand est par- tie pour Moose-Jaw, où elle passera quelques mois.

Mme Harry Lafrenière est re- venne de Moose-Jaw, où elle a suhi un traitement dentaire, sous les soins du Docteur Clermont.

— M.Anselme Bachand, marchand de Coderre, Sask., a passé la fin de semaihe en ville. -

M, et Mme Jérémie Bachan sont de retour d'un voyage de trois mois dans PEst, où ils ont visité des parents'et amis à Montréal, Sherbrooke, Napicrville, Granby.

M. JB, Crépeau, avocat, fait actuellement la campagne électo- ‘ale dans le comté de Wiillow- Bunch, en compagnie du candidat libéral, le Dr Donnelly, de Kincaid,

—M. Lucien Provenchera passé quelques jours à Moose-Jaw ct Ré-

igina. En cette dernière cité, il a assisté à'la réunion de, l’association des Auteurs Canadiens, section de la Saskatchewan, dont il fait par- tie commé membre du comité exé- cutif,

CHRONIQUE DU COLLEGE

La retraite annuelle:

Les collégiens ont terminé, lundi matin, 19 octobre, teur retraite an- nuelle.- Le R. P. G. Bellemare, O: MI, curé de St-Laurent, Manitoba, en fut le prédicateur, Sous l’em- prise de sa parole éloquente et'onc- tueuse et sous l’action de la grâce divine, les élèves ont: vécu des jours de recueillement et de réno-

fromagerie en opéra-

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fort, de triomphe et de victoire.

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vation spirituelle, Dans le cénacle de leur humble chapelle, comme dans une Thébaide profonde, ils ont médité à loisir sur les grandes vérités du salut et les fins dcrait- res. Ces jours bénis de récollec- tion ct de ferveur. furent vraiment des-jours de lumière et de paix, de miséricorde ‘et de réconciliation, de purification et de résurrection, de pardon et de surnaturel récon témoignage du R. P. Prédicateur, cette retraite a été’ sainte et édiff ante; les retraitants ont fait preuve

| 4 Î Î t ; d ; H ! H

de piété sincère et de profond re cueillement. Élle sera pour notre

en toute vérité, a réparation du passé, loricnta- tion du présent, la préparation de l'avenir, : Le Divin Maitre est pas” | sé dans le sanctuaire de leurs mes | en. y répandant les trésors de ss | ù fums de ses vertus, | ‘en ces jours + le provision, de méri tes et de salutaires résolutions. Dai ane le Dieu de toute sainteté Jeur : ê rsévérane à accorder la grâce de la perse veral E | ce dans lamour de son, piir Caeur et la fidélité à sa sainte 101 | pour l’année d'étude qui commen ce ct toute Ja gurée de leur vie, Visiteur:

ob en be pme ARR mm RD MU AA DA A dt ne mme Mean D dun à sun

don éti

Puissent ceë écoliers, ‘de, salut, avoir fait amp

vince de Québec le “Patriote de organise un DC des Franco-Cf atchewan dans our le mois souhaiter

. ee CC

que là paroisse de Gravelbour£ ra honarablement représente ei … pèlerinage. national jpar Ur broux contincent

de décembre.

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Catéchisme et d'épel- jation: Grades 5 7 6- 7-8. Les enfants de école séparée D one ont subi, ces jours d D an examen sur Je catéchisme Dur Pépellation. dont voici, le ré-

a tu points, 1ère note pour le

gtéehisnie: 2e pour

sbves ont obtenu: paul, Henderson,

gauconrs de de

100-908; Cécilia

Tourignv, 98-96; 95-95: Geneviève … Emélice Perra, 93- 90-$8; Jirène

Roméo

86- th Auger, 84-79! Marcel M EAP TE Harold Hender-

rt Bula, gl: Frank 09 en auphi “pr Dupuis, 51-97: Gisèle Daup 1i- mis, 38-70: LOUISE Porra, 31-82,

chez les petits: Grede 1 —- sur 40 points

| Alan Henderson, gs Lucile Dupuis, | pe 9): Eva Laverdière, 30:

Lavordière, 25: Ra-

La fRavmont! , . A i Madeleine Pitre,

Le Sobalecki. 21:

les enfants d'école, sous la fi-

GS h à

| retion de nos S Le sont mis à Pocuvre

Ljnner comme prix,

Docu de Jérusalem, de ere

La de Lisieux. (

| mois Pouverture des classes, 71 en-

| 7 réglièrement au catéchisme le L'imanche. Félicitations aux Da- L rents. qui comorennent ainsi leur moin, L'intuligence et. le coeur ds enfants, formés par l'euscigne- ! ment religieux. feront d'eux’ plus À hd, des catholiques croyants, con- 4 | RCUS, et pratiquants.

, .

; a

| LAFLECHE, Sask.

Franco.-Canadiens

CT-{laisse beaucoup

l'épelation, les | Souhaitons

Catherine Pitre, 70-70; Jangue!

| cuéchisme dn dimanche. — De-|

| Lfnts sont sur la liste et assistent :

SPÂTRIOTE DE L'OUEST .

notre bon curë pour Rosetown, la nouvelle paroisse que Mgr lui a dé. cernée, Les paroissiens de Laflé. che garderont Jongtemps un bon souvenir de celui qui S'est dévoué pour eux pendant onze ans. ‘Il | Ip de bonnes ocu- vres à son crédit, ayant bâti égli- se, preshytère et couvent et s'étant dépensé sans compter pour toutes les oeuvres de charité, Nous lui beaucoup de succès dans son nouveau champ d'action et espérons qu’il n’oublicra pas ses

100.100: Emélie Soboleski, anciens Laflèchois à qui il était très

attaché et qu’il a Pair de avec regret,

Le Rév, P. Auclair, OM, est dans la paroisse depuis dimanche pour faire la visite de nos écoles, Nous lui souhaitons la plus cordia- le bienvenue et espérons que la no- ble cause qu'il poursuit sera cou- rounée de succès. Quelle belle tâ- de défendre sa foi et sa

laisser

M. Auguste Morin. qui a subi unc grave opération à l'hôpital des Srs de La Providence de Groat Falls, Montana, est maintenant en pleine convalescence et passe un, mois chez sa soeur Mme Lauzon à Kim- berley, C.B. .

Notre bazar aura un beau suc-

RUE A pula. rès.si Pon en juge par le zèle que 90: Emile FOU- Îles Dâmes et les Demoiselles v de

ploient.

he E

fred Provenral, 28: Jean Beaubien, ! -

MONTMARTRE, Sask.

Mardi le20 coürant, dans l'é-

ocurs, institutrices lolise paroissiale de Montmartre, M, sérieusement | Marcelin Pervas, Eennis les vacances de l'été, Aus-|Perras, conduisait à J'autel, Mlle RL le curé fut content de teur Rosia O'Shanghnessv, la plus jicu-

N des souvenirs ne dés filles de M, Ernest O’Shaug-

fils de feu Tsaïe

nessye tous de_Montmartre,

-La bénédiction nuptiale fut don- née par M. le curé Thériaull en brésence de beaucoup de parents ct amis. M, Jos. Perras agissait com- me témoin au marié et M, Ernest O’'Shaugnessy accompagnait Ja ma- riée,

La chorale dirigée par M. E. Ca- dieux/trendit avec succès la messe harmonisée du second ton et plu- sieurs cantiques appropriès, la mut- sique était sous la direction de Mlle Beaudin, AuX nouveatix époux nous souhaitons tout le bonheur possi- ble et succès dans leurs travaux.

AM, Yong, de candidat fibéral dans notre comté. est vent CXDO-

ser son programme dans la salle du sonbassement, le 17 courant, ct a fait une bonne impression Dar ses connaissances des affaires du navs et la manière sérieuse dont il les a ‘expostes; nul doute que Montmartre suivra le candidat li- bérai le 29 courant. - _T'abhé O..Turgeon est revenu de son vavage de l'Est et est re- toutiié à Mutrie.

D Nous avons cu l'exercice des D Qurante-tieures dimanche, Jandi l'émardi. Les cérémonies ont été L'imposantes, plusieurs” confrères é- À int venus nider M; le éêuré, nous M mons pu avoir les messes ivec dia- À ce ct sous-diacre. L'assistance a À nombreuse ainsi que Îles com-

L'mmions, . to Mardi Le 13 conrant a en dieu À unie de M. Arthur Carrière

Concert:

, Dimanche dernier, nous étions invités à Ja séancu dé Hocv, donnée au profit de l’'AC.F.C, par les gens de Prince-Albert et de Hoey. On V remarquait un bon nombre de personnes de ‘Bellevue, et notam- ment M Îc curé.

Tous nous sommes revenus en- chantés, nous disant les uns aux autres: “Je voudrais bien avoir la chance d'y retourner”, Et juste. ment nous avons eu cette chance parce que M, le curé a si bien tiré ses ficelles que ces mêmes artistes ont accepté de venir répéter leur séanée à Bellevue, dimanche le 25 octobre, à 8 heures du soir,

| Fazer: - €

Bellevue vient de décider d’a- voir une nouvelle église qui fera honneur à toute Ta Saskatchewan, Déjà tous les gens sont sur pieds et sur automobiles) pour le suc- cès de la grande entreprise, ct ça marche à merveille, Les Dames font de a bonne besogne en préps rant un grand bazar pour les 25 ct 26 novembre, , Leur comité compose dune quinzaine de dames ct: demoiselles, Elles ont à leur tête pour présidente: Mme Freddy Roch: vice-présidenté, Mme Her-]; vé Grenier: et secrétaire, Mile Loui- | se-Anpna Gaudet, I} x a aussi deux | candidates: ce sont Miles Ina Co- meau et Bernadette Gaudet, .

À part la vente des objets il v aura chacun de ces deux soirs une jolie séance donnée par les demoi- selles, les messieurs et les enfants des deux écoles. T1 v aura du co- mique pour faire étouffer de rire lés plus moroses, On dit qu'un bon rire vaut un bon tonique. Ve- nez nous voir et nous vous danne- rons un bon tonique à bon mar- ché, Nous aurons encore des piè- ces sérieuses, chants et musiqne.

Venez en foule fêter la Ste-Cathe- rine avec nous, '

Baptémes:

M. et Mme Armand Gaveatt, un

fils, baptisé le 23 août sous les noms de Jean Paul, Parrain ct

marraine, M. ct Mme Lucien Gau- det.

M, ot Mme Jean-Baptiste Duval, une fille baptisée le 13 sevtembre sous Jes noms: Germaine Sinonne, Parrain, Jeon Joseph Duval: mar- raine, Margucrite-Maric Duval.

AM et Mme Lucien Gaudei, un fils baptisé le 28 septembre, sous Îles noms de Denys, Josenh, Philinpe. Parrain et marraine, M, ct Mme Jo- seph Gandet.

M. et Mme Octave Parenteau, un fils baptisé le 28 sentembre, sous les noms de Rodolphe-Ernest, Par- rain, M. Joseph }Jafontaine; mar- vaine, Mile Mary Slater,

A4 et Mine Procul Théorût, un fils baptisé le 11 octobre, sous Îles noms: Jnsenh Désiré, Parrain, M. Walter Houle: marraine, Mile Ger-

SG£

T, EF. Donnellv.

Ya SOUS peit sin" village. ou à louer.

noms de Marie Thérèse Lydia, Par. rain, M. Napoléon Bachand: mar- raine, Mine Napoléon Bachand, M et Mme Fortunat ‘Tessier, un fils, * --tisé le 18 octobre, sous les HOMS : Joseph Orphir, Parrain et marraine: M. et Mme Léon Gaudet. M et Mme Isidore Thévrèt, une fille, baptisée le:22 octobre, sous les noms: Marie, Rita Hollande. Parrain, M. Herruas: Théorët; mar- vaine, Mlle Germaine Théorèt: on ele et tante de Penfant.

M. êt Mme Adrien Gaudet, une

les nos de Marie Emilienne l'ier- rette. larrain: M. Picrre Ménard, de Prince-Albert, représenté par M. Emile Dupuis: marraine: Mme Pierre Ménard, oncle et tante de l'enfant,

il:

[épuré . Le 20 octobre, on conduisait au

cimetière le corps de la petite Ger-

maine Smith, âgée de cinq mois,

enfant de M et Mme

Siuith,

æ Les Activités

de PA.C.F.C.

Nous sommes avisés par Le és.

Père L. Leconte, ps, chef de r&. gion qu'un Comité l'aroissial à été organisé à Pré Sainte-Marie, le di- manche 18 courant, et que les offi- ciers suivants ont été choisis par les paroissigns : _ Adéltrd Fournier, Pré Sainte-Marid: Vice-Président: Elie Leclere, Pré Sainte-Marie : Sec.-Frés.: Régis "Mahussior, dale, ‘

Notre zélé chef de rèsgion nous annonce Ia formation d'un autre comité à Kermaria prochainement, Bon succès et remercicnonts:

Président :

Biork-

Comité Paroissiat de QOu'Appelle:

Les ofliciers de ee Comité méri- tent des félicitations pour Fattitu- de qu'ils ont prise en protestant au-

--Les opinions sont en {rain de bouillie dans la marmite des élec- lions et chaque parti essaie d'en di- rer un bon morceau:

Notre condidat Bbèval est le Dr M. Donnellv est un de ceux qui sympatiisent avre Hi fut élevé ct instruit

noire cause.

dans la province.de Québec elil v pratiaua la médecine pendant une dizaine d'années, A: l'encontre de ceux qui jugent sans connaitre, M: Dounnellv a découvert Ja réelle va- leur de notre race, un jour le voir lutter avec nous pour la défense de nos intérêts,

Nous espérous

M, Alfred Lalonde nous quilte- pour aller demeurer sa forme à quatre milles du Sa résidence est à vendre

—M. Louis Philippon se rappro- che de nous en s'établissant sur

une ferme à deux milles d'ici, |

Petit à petit, le nombre de nos;

près de Ta Paulin Chmnbers Co. Ltd manufacturiers de biscuits et de confiseries, concernant a mala- dresse de leur Agence de publicité qui elassait les GCantdiens de lInn- guc franenise sous ln rubrique de “foreigners”, La Compagnie Pau- lin a donné des explientions satis- faisantes et exprimé ses reutots d'u- ne facon très aimnble tout eh re- meteiant PAGE. d'avoir attiré son attention sur eelle bévue, L'A- genre de publicité a également adressé ses exetses au Comité a- vec promesse de ne plus retomber dans ln même erreur,

Nus aceusots rvéceplion de Ia sonne de 81300 en accomplie sur la quote-part de ja contribution de la Paroisse à la caisse de PAssocitn- lion,

MARCELIN, Sack.

…Maveelin est en plie encore, Les battages retardés pin la man vaise température ne sont pas en core terminés, pourtant environ 400,000 minots de hé ont été re- misés. On compte exporter un mil. lion de minots eclte annëe, du nu- méro 2 en grosse majorité, On est à construire deux autres élévateurs, ce qui nous en fera 9, Lit moven- ne d'après les rapports reçus A du te est de 96% minots de Paere, La plus belle récolte qui ne se soit ja- ms vue, pas de rouille el pas de gelée duns la paroisse, C'est dire que le sourire est sur Toutes les fi- gures. La ferme de démonstration a donné un magnifique rendement et du blé de toute première quali- té. Une grosse partie sera vendue pour la semence.

,—%Le bazar bât son plein, mais pas avec un grand succès, a tent- pérature ayant rotardé les batta- ges, les fermiers sont oceupés au-

Delphis | En Nos sympathies à la famille é- fille, Wfaptisée le 28 oclobre, sous Fnrouvéc. «

Canadiens s’arrandit dans le dis: tour des moulins. .

tricet ot les efforts du service de ro-|

lonisation que dirige M. 4 D. La- londe sont assez souvent conronnés de suceès et alors un lerrain. passe sous la propriété de l’un des uûtres, C’est aïñsi que M. Hector Robert de VWillow-Buneh va bientôt venir s'é- tablier près de nous |

Une autre terre, nequise deruié- rement à Twin Valley par M. I. 1). Lalonde. est en vente à des rondi-

Les élections font Ie suiel des leommentaires dans les magasins el ‘ebez Pami April, Je rendez-vous des conteurs d'histoires. Seulc- ment ici il n'y a pas de chicane, tout le monde dit pareil, et on pré- “pare pour samedi fe 24 une assom- ‘blée enthousiaste au candidat Chs MacDonald que téut le monde ici salue conne le futur député de Prineu-Albert, - Ce n’est pas sans

A DARRS Dr EIRE RENTE ||

DORE EEE 1]

| La Seule

‘ È | ÿ

pRy 2 N 4 D

tou tuées aux thés du Japon. ESSAYEZ-LE

fait fa conquête de

is qu'il est, nous donne tou. les des garanties qu'ift sera en En. bre pour le bien de ses électeurs. Le chemin de fer de li Baie d'Hnd. son est à so progranune ainsi que l'abaissement du tarif sur les ma chines agricoles, Lt protection des nroduits de la ferme, elle paraché vement des routes lédérales, M, MaeBogall est un vrai Canadien aui voul le Canada pour les Cana diens ef les Cauadiens pour le Ca. nada. Ce qui est encore le meil. lenr moven de conserver Le Cana da ù l'Empire Britannique, \is le chemin de ler de la Baie d'Hud.: son est le premier article à sont! programmes eat M MaebDonald comprend que c'est a fortune non seulement de FOuest mais de fout le Canada: le chemin de ler do ln Baie d'Audson rapprochant Prin ce- Albert de Liverpool de 900 mil les ef supprimant ainsi 1900 milles de chemin de Fer, 6e qui réduit de ce au moins les frais de transport de nos produits.

Puis M MacDonald préconise ne ne politique d'unité dans tout Le pavs, il n'est pas séparatiste com

me certains chefs politiques de l'ophositions il a Pesprit assez large pour romprendre qne POuest ot UEst Foront un pays prospère par le mariage de lours rossonrecs ni turolles et non par un divorce fait de jalousie el de haine,

Voilà ce que lout le monde peñse ei Oncle tort cependant de l'op escompler la vieloiré, ee qui si nbsohment contraire aus bois de a prudence et d'une sage pré | vovanee, On one devrait pas ot fs blior que ba vietoire qui est be fruit du ivavail et de fa futie est seule; gloricuse et réjouissante.

Done, les ais, à l'oeuvre!

<Mime Arthur Bertrand 68 M Pierre Labrosse avaient le honheur de recevoir Bi visite de legs soeur, Aüune Veuve Eugôéne St-Pierre, nee compaguée de son fils Romuald, venus de Montréal pour passer un mois à Marcellin. Hontile de dire que Le temps a été bien cmplové ne près une séparation de vingt ans Elle est retournée tmardite 20, avec son fils, à North Bar où elle sé.

d'essayer le thé, c'est de le goûter.

Le Thé

| Page 7, à

DEEE 0 an NE rente anne AMEETE ET)

Vert

tes Îles personnes habi- H$#07r IL VOUS PLAIRA

bre, Tous dens laissent de dons Souvenirs à Mareclin: nous our 1 vois dit au revoir à bientôt

‘ peus eo 0 mt ue voue

DOMREMY, Sask.

Bu fatuible de M OA, Gooruel vient cneore d'étre éprouvée par lt mort de Mie Alexis Genryet, Mère, survenue Le 17 oetobre, à le de Gao fun, Malade depuis plusienrs semaines et faiblissant bien Hente. ment, fout laiail prévoir une fin prochaine, Elle reeut les derniers socours de Re celigion et (ut entott. rée de ses enfants nt dernier 110 ment, Au pass depuis de nom. ses Hnnées Ame Goopgel Lut fé. moin des désagréments et des rh dus labeur ue durent subir log premiers colons de Doimrémv et davandho bemeonp aver M Goor. gel pour élever et installer près d'eux teurs enfants, Bien conmte de laus et bonne mère clerélienne, ete ne conpdait que des anis Chart. table, ete donnaft Haruetent sa part pour Les bonnes ournres et el le eu sert péconpensée a cents ple. A san mari et à «os enfants nous offrons nos meilleures condo: lénncos,

La lumière électrique est edf installée dans presque toutes des maisons maintenant an villages on core une cunéboraition,

L'Ulster interdit nix

eme

à Mgr Man.

Belfast Le gouvernement. de l'Utstor a fait connaitre qu'il se vet- vait dans l'obligation d'espulser de Son tereitoire Le Dr, Mannis, arche: vèque de Melbennne, qui se L'on, actuellement dans Phlande du Sul, st euluiei persistait dans son inten- tion qui est connues de visitér jetfast, +

On alléaue que les déclarations faites par be prélat ne pourenient qravives Les dissensions locnles, at cas ot it pénétrermuit uns PUlstor,

On sait pour quelles raisons Mur, Manniex esl un bulle n ces vexa lions: c'est qu'il veut L'irlande en.

D liens, regarde celle-là qui pas-

ver si pareil,

ses allures d’homme heu-

Quand on les. attelle ensemble au

. 14 . A tr teniveit ov. N « des légumes, Léon s'y troûvait, oc- | 6x elle-mème quelques questions,

fumer la pipe et faire la causette

un piree Les

se lenir aus ordres du ptre et de

ce Mile Ida Lagassé Lu ssnge: Mme Anna Perrvimaine Théorèt, « : Lin . urnes à sepititie rentrer LÉ . U rot Av énret que nous a-[de rafèbhe, le Dr, E ravoie de Vi-| M. et Mme Jean Gondet,'unce fille, [tions très bonnes pour Fun des nô- raison en effet M. MacDonald é- Fr dit NAS past DOUr CeTer |févement Libre et cutièremment aux Œ, Les Ave DOHrEL Hs de sr - ste le sous 3 ‘ {: un travailleur, un tenace enfdans sa famille Le premier novensEJrlanednis, À os appris le départ prochain de}bank. _ baptiste le 16 octobre sous les|tres s [tan travt w, un t î [ sven Prlanedais À . " , Du Ra DU 40080 Dm nd Den Qu Put nm nn A emma re pamacememmnnnt panaemenammentente Aa À rennes a RE ARS [TT TT TNT “ ne Te EEE , 4 qui trottinait à ses côtés. qu'il n'avait jamais oublié, qu'il a-{sur le cluunp de fraises. disparäis- [paraissait idéal, Cétri lt eampas Lits de venir saluer Francois, M, À j “Qu'en dis-tu? Hein! C'est de lajvait regrelté si longtemps HN re-jsant plus qu'à moilié sous les ailes ane phantureuse et reposante, où fLouis, Le curé, arpivail que le train ds mp belle étoffe! Pure canadienne enre-|trouvait ses locutions, 8es plaisan- {battantes de sa vaste coiffure, l'on eultive, où l'on moissonne, où fde sis heures du soirs un anire fre Feuilleton du PATRIOTE. ù gistrée. Philippe a tous ses na- teries d’autrelois, - Midi approchait quand Gladvs les animaux. passent el beuglent; [re ot deux soeurs demenrant at sut} | ; piers. Depuis qu'elle est au monde} Le déjeuner fut court cependant. |vit son père qui revenait des |C était en ménte loups da plage de {du fleuve vicndraient peul-étre dés 4 | qu'elle gagne des prix dans les ex-:Le soleil montait et il fallait se hä-{champs, la figure rouge, le front sable fin où les enfants se baignent {fe malin. Toul le talent d'orgaut n | 61 ne positions, cette bête-là. Voisin Calter d'aller étendre el tourner lclmouillé de sieurs. Elle courut indéfiniment, où fes barques se ba. [sation de Philippe, totite Puetivité 4 |! comme c'est tourné? Et le pou-|foin si on voulait Fengranger dans {vers lui ct, le prenant par le bras, lancent: el cependant, Ta ville était]de sa nombreuse Famille seraient 4 | © liain, regarde-moi ça, sil.en a dës|la soirée. Francois monta s’infor- | appela sa mère à #rands evis pour [si près que lon sv rendait en utilisés pour ASSUSE le suceës d'u Æ | licannes. Ils ne sont pas farouches, mer dela santé de sa femme, puis jlui faire voir les benux masques, RONS dune demi-heure, que lesfne paretile rénuion, ATV avait la à | N 2 [Alfitil en les caressant par-dessus [il partit avec les homntes, un grand Fanny en fut si amuséce qu'elle vou- [HAITI V gardaient leurs buretx et[question, toujours épineuse, es | À 2 and enne {lla clôture, . On les tient séparés des ! chapeau de paille sur Ia tête, un{lut prendre leur photographie. Gla- voilaicnt à lours affaires, Lont en invitations cl des réceptions, Les x Blautres animaux pour qu'ils n'aient )mouchoir rouge au Cou, une four-hivs était ravonnunte, passant la belle saison à la eampactuns viendraient dans l'après-midi, ne ‘ tn ' : ‘ F 7; ETS EU : \ d ‘ J AEITE l'autre: le d DE ‘autres “il À! ‘ k = Lt. ce ; pas de peurs ct qu'ils ne fassent pas {che sur l'épaule. Gladvs se pâmait “Ce sera le plus beau portrait de gue, | . | d'autres pour le diner d'autres soute ‘ de faux mouvements. JE faut si peu de rire de le voir dans cet accott- {Loire collection, disait-elle à sx mê- De ln pointe à Pénisse ans fau [lement pouc la veillée, 0 Léon vi Croquis et Leçons de chose pour leur donner une en-|trement. Toute la matinée se pas-lre, vous verrez” bourgs des Froighiviéres Pon[teruil les jeunes, Philippe verrait | : ' torse. Tu comprends que Philippe {sa à faner du foin en badinant à- Fanny était descendue de s1 trouvait ainsi de place en place, Îles vieux, A la omaison, cast Lout- U “, par j en prend so cote de sa rs vec Jes compagnons, champ “ rs dis henges n avt cles groupes de résidences ott des se el es Filles, seuls ile QU : Loti ‘ : ai ‘ ‘ A - ‘ , . LE J S EL à #nmiillos amies venait MTL : , scout , vue ' | ° , Un des poulains de la iument à dé-{ pendant ce temps Gladys s'amu- {éme avec Harol Cest Marie emtilles amies venaient ensemble Ris te, COUSIRER QI À | Ad 1 d D gré S J ne e ans. C’est >. mol'- k É RE LES « déjeuné avec Harold, est Marie iser d'été es médecins, des n-lgros travail, aceuciernient les vi- CE à ses qaatre ans. Cest unc-mer- Li, avec ses cousines, € He te nunil enroic ne cjpasser Fété, Des médveeins, des n°410 LAURE | . IC ar u us , Écille sans vire, Tu le verras dans SANT partager Ts nes dont elle qui, les avait SLahord LATINE Vocals, des marchands, arrivaient [Siteurs, feraient le serviee des tie, _ — l'écurie et in m'en donneras des! edi l'ouvrage ne manque pas dans [ation € lle d'abord Her CON lepaque soir pour vivre en eampa- jbles: et puis 4 avait ba ferme qui SRE a | Ouvelles, Je ne badine pas, C’estiié familles nombreu.es. Vers on- vesapons Ê e put save quon jt anards au milieu des champs. Oufne ehômail jamais Teorges et Jos É ère: ° a à î : * : SE Vi ; . _ . donnes auredient à we nr f dage du bonhomme, de le retrou-|le cheval de Léon, I ressemble à1,e heures elle apercut grand'mére | Vie çus | RE no dou Les voyait en grands ehapraux de plus jeunes auraient à sen QCru es ver aveé son langage pit-[la jument, c’est: à sv lromper. {oui s init au tardin, chercher apprécier ses fraises, sa crème dou tj ot en manches de chemise, per, 4 trarre les vaches, à mettre ‘ ‘ us : Qu AQiqui S'Cn alait au Ja , CAC ce ot son sucre d'érable. Fanny li ebevaus étrangers, À

À 5 Ca vient de.Johnny Maheux. |toresque, À LS à à nnai 11 \ la }r'enx ébord: $ à- | CATTOSSC assure que ca ne fait | oué à illir des fraises , s ? JTE | avec les cuilivateurs ( % [u connais Johnny Maheux, de lai TEUX et débordant de vie, son à-|carrosse, jet issu 4 te de sel Cupé à cucillir des fraises avec les {huis se mt à causer en anglais avec vec ; s qui te a or ee dant à Haptiste ot à À Rivire-nus-Claises®, Cest un vieux |mour profond de la terre Les pre pas pitié. Ie PR Es ion enfants. Gladys se joignit à eux. |Haroid 2 aeiti ë de M'appOrls ei exis Ce ie feraient centre avee À Gniour. Ces gens ce |méneurs acaient maintenant Jalmontrer en ville avec ea. ECS UT are vie . aider, -ou- su sa ; au Canada entre les diverses clas [Maries IIS Teri . our

abaleur, Ces gens-là ont tout ce|méneurs longeaient mi ï nesses, vois-tu, c’est-comme de tôn “Je viens. vous aider, mon eou-| Marie en fut contrariée. “C'estlcs de In société avait facilité en. Francois Tous avaient tone leur

À mis veulent du gouvernement... | Toujours est-il qu'il a pu procurer | &tle belle vache à Philippe.” :

prairie où Georges, le second fils de. Philippe, fauchait le foin. Deux rands chevaux à nez blanc, élé-

temps, ça aime. un cheval propre, Te l'assure que Léon a de quoi fai- re son faraud!. |

sin. lui dit-elle, que voulez-yous que ltout de même triste disait-clle à

je fasse? : : Mais, dit Léon en se

redres-|prendre sa bru el

pas pouvoir com-

Louise, de ne Cor son petit-fils

te li famille de Philippe et Des ei. fenploi dans celte journée,

tadins du voisinage l'établissement

de relations presque auieales, Les lee dès Le mistin,

Aussi aravaiton pas de temps À Pour uller à

4 : uns … [gants 'et alertes, traînaient à gran- . NA ,e our . Le Dur se s Fi . À Et Buptisic poursuivait son dis- des enjambées “la faucheuse mé-| Tout en parlant on se rendit à sant, mais... mangez toujours des [quand ils parlent ensemble, I faut |dames, en venant s'entendre pour Ji grand'messe les voitures pate D Gus, que Francois approuvait}ojfique. Dans les fermes voisines, {la dernière barrière. Bantiste (a |fraises, ee sera autant de fait: Cel-[les trailer comme des pensionnäai- [jours achats de lail ct de légumes, fiient à neuf heures. Les dima À dun air attentif. chez Hector, chez Adolphe, deux {ferma et l’on reprit le chemin de iniles que vous mangerez, nous’ n'au-ires, (On divat qu'ils ne sont Das Sattardaient volontiers à causer a [@hes ordinaires, c'était au moins sir e vis n : . , n , » ‘ . , € dire Fee ‘ 8 6 ] "0 . MYITIVURTU Û 4qiu a : mn « 1e . DU ñ 1. Désiré, cria tout à coup le frères de François, chez Bouchard, Enaison, Du haut du coteau Fran- rons-pas à ies cuctiir.. _ de la famille. | . vec da maitresse de maison, 1édtt buit, même dix ef douze personnes D Sudpère à un bout d'homme quil hé; Camirand, son beau-frère, On |cois embrassait d’un cour d'oeil la! _—-Aht vous ramassez des fraises?|" Après déjeuner Fanny s'assil Sur ation de Louise et de ses files, a louis prenaient place el qui de- D Pomsuivait les vaches, Désiré, Va} ovait également circuler les fau- | ferme et le chemin du roi. puis le {Eh! bien, j'en ramasse aussi!” la galerie, Un magazine sur les se- [politesse naturelle de Marie, cote aient se préparer à temps. Au-

plus doucement, Jette-moi ‘cette D ti par terre! S’il n’a pas tou- , Jours un fouet à la main, celui-là !”? D Quand les animaux se furent tous | Cigagés dans le chemin central Laisse, Désiré, reprit le vieillard sr un {un radouci, je vais te faire | YO quelque chose, . HO —Volonticrs, dit François qui demandait qu'à visiter. j ,—Sculement, tu was pas de | Caussures, ‘Tu as des souliers de : fillette, c'est comme du’ papier de ; Se, Désiré, cours vite chercher mes claques neuves dans le caba- heu, sous l’escalier, Apporte-les x ton oncle, rapport-à la rosée.

ft Tandis ‘qu'ils attendaient, Bap- | ste attira l'attention de François St le potager où Léon travaillait. geule un peu ce morveux-là, | Sa du beau tabac! Vois. :.comme

: €6st feuillu, au mois de juillet!”

n #. lt Les gens de ville, comme vous mange ioujours sans î-

‘Aires, ça

t a: ; enfant accourut bientôt avec mn outchoues et les deux hom-

& s'engagérent sur le chemin de

cheuses. Les chevaux n'émergaiont qu'à moitié par-dessus les Jongs épis de mil. On entendait les con- mandements du faucheur ct des claquements de fouet à travers le bruit de la ferraille. François se laissait griser par Pair pur, par l’o- deur des foins coupés, par le grand soleil qui montait triomphant à- près s'être .Jentement dégagé des brumes du matin,

: Quand la fäucheuse de Georges

fut proche: - " “Certes les beaux chevaux, dit-il, Hein! fit Baptiste avec fierté,

de .belles bêtes! Le petit gûs les!

préfère pour faucher le foin parce auils sont plus rapides. ,, Pour la licuse on prend les gros; j'en avais ‘un de ceux-là, hier soir, Dour alles lvous chercher. Je les aime miens. noi; ils sont plus tranquilles. Is ne sont: pas bien attants sur la voi- ture légère, mais “bateau! ça ira- vaille bien! On ne détellé pas

les cahots avec ces: animaux-là, al-

ne fête, Aux coins, quand

lentissaient pour

5, ra- courner, ils Rap-

fleuve, et à gauche la banlieue. ‘La ville “des Trois-Rivières étincolait sous de: solcil montant, lançant au ciel ses colonnes de fumée ct scs domes couleur de cuivre. Le: clo- cher de la cathédrale, le monastère du Précieux-Sang, quelques autres édifices, des cheminées, se déta- chaient au-dessus de: l'amas de maisons, Devant le flenve, les bà- timents de ferme s’étalaient dans leur ampleur, moins affaissés qu’ati- trefoiss clamant aux passants la prospérité d’une ferme bien te- jnue. .

.Comme le docieur et son mére approchaient des, granges, Léon, sortant de son champ de tabac, vint les rejoindre ‘et l’on se dirigea vers la maison. :

“plé! vieux, dit Marie à Baptiste, habille-toi un peu pour -déjeuner avec François.

__Mhabiüller? reprit Baptiste de

danS {bonne humeur, m’habiller? Y pen-

ses-tu? Ce n’est pas dimanche!”

Baptiste et Marie,

grande visite, | Francois, Léon, Gladvs, les - plus

Elle se mit en wecsure d'aider Léon, remplissant le creux de

main de grosses fraises qu'elle ver-

sait ensuite dans les corbeilles que }jour de

le jeune homme préparait pour le marché. La conversation ne lan- guit pas. Gladyvs posait une foule

sagelle lorgnait le superbe paysage

noux, tenant à la main sa jumelle, qui s'offrait: à elle, C'étail samedi, marché aux Trois-Rivières, jour de départ pour Îles promenades de fin de semaine. H y avait donc, sur de chemin, une animation plus

de questions auxquelles Léon fai-lqu'ordinaire. Des automobiles pits-

sait des réponses mi-sérieuses mi-badines, comme quand il vou- lait blaguer avec les enfants.

et{saient. en tourbillon sur

D'a-{lentes. de lourds bord la jeune fille ne-saisissait pas | naient de la ville ou de la bien cé qu'il voulait dire, puis elle | voisine,

Ya belle route provinciale, des voitures plus camions Fev lniteric Puis le fleuve, à cet en-

riait aux éclats quand elle .voyait {droit large de deux milles, solici-

qu'il se moquait d'elle.

Quand grand’mère fut prête à re-{vaisseaux, gros

venir à la maison, elle voulut ra- mener Gadys, mais celle-ci pre- nait goût à son travail. Tu es nu-tête, Jui dit la vicille, tu vas griller, —Griller? awest-ce aue cela?” Tu vas devenir noire comme une puce, les gens de par chez vous ne te reconnaîtront pas, Ils vont te prendre pour une fille d'habi- tant. L ’

iloil,” Tigns, prends mon chapeau,

lau moins.

pauvre. enfant, constamment en vue.

ait constamment la lunette. Des transauiantiques, paquebots ‘du service fluvial, poë- lettes, remorqueurs, trainant de longues files de baïges, étaient

Le rivage s'animait de cris d'enfants qui bar- botaient dans Peau et des barbote- ments d'un troupeau de vaches, glaisées jusqu'aux genoux, Qui flä- naient paresseusement sous le-chaud soleil, La maison était assez éloi- gnée” du chemin pour qu'on püt:

ture fantaisiste, Îlours coulettrs vo-

reve-t

politesse du grand sièele, si PA iourd'hui, x eu aurait bien quinie caise de manière et de tons quil vinot,

charmait les Trifluviennes, laisan-

re de coîte famille de gros euliva Louer

De bonne heure, Louise devait son monde, JE faisait 1

teurs, tout cela contribuait à dim ffâner et rire de dimanche ut

nuer les distances; une, sorte d'in-f;,

vilation mutuelle existait en perma- nence entre Pépouse de Philippe et eclles des messieurs qui étriont ses voisins d'occasion,

HE fut done facile à Louise de proposer à Fannv une visite chez ces dunes, On s'entendil pour Fun des jours suivants. Come l'une ou Pautre de ces citadines parlait assurément Panglais, ‘ee serait pour PAméricaine une distraction cicuse, Fanny parut, satisfaite de la proposition; François en fut en- chanté, H vovait lun moven nes. péré de procurer à sa fem lex 1 musonents qu'elle goûtait taudis que lui, de son câté, cohlinucrait à se reposer à sa façon. Tout nl- fait done pour de mieux et il pou vait maintenant compier Sur des vacnpces splendides. Et qui sait? la rencontre injfévuc d'une socié-

. CHAPITRE QUATRSEME

pré:

Aprés une semaine de dur travail c'était un jour de congé qui conunenen, et Pon sine à SEVOI- rer un congt à ses débuts. D'a- bord, où anrait bien voulu dormir un brin, se lever.un pen plus tard, Au déjeuner, fes jounes gens Ch belle humeur badinaient démesu- rément, En faisant leur toilette, its chantaient plaisantaient, séti- lraient, et l'horloge ne les attendait pas. Alors, a vois de Louise, cont- we une eloche d'alarme, devait ans cesse activer les Ianbins ‘qui Pattardaient partout, à la fenétre en été, autour du poêle en hiver, les mains dans les poches où les pouces dans Je bretelles, On ne finissait pas de panser les chevaux, d'astiquer les voitures... Grand- père n'était pas encore rase, UN at tre ne ge chanssait pas, celui-ci ne et celui-là

cols emnesés, tout arrivait à point ut Pon finissait par partir,

6] ferme qui co un , LD , 4 © : : A de l'oeil | ne n : AsseL d’ oun d'oeil un €s- . CE pavate S nduisait vers le co-|lez!” at Et il clignait finement de Poeill "ant mieux, riposta Gladys en |embrasser, Œun. cou Pi - [la rencon ue dune s00ié fi Guvait pas sa cravate. fau Sainte-Marguerite.. : François admirait les jolis che-f qu côté de François. riant ue n ]pace considérable. À droite, par-|té qui lui, conviendrait diminuerait ne trouvait rien, Louise, calme, que quyromenade sera un peu lon-}vaux qui, sans effor apparent 2 On avait mis la table dans la sal- |: Tu vas salir tes iolis-souliers et mi les demeures des utivateus peut-être a répugnance etre Safe” mais Povil vif, ronvait tot. étaif Hian 1 Baptiste, mais ça te fera Si Itrainaient ja machine So leur fi le à manger, comme on le faisait ta robe, blanche, insista “Marie. Et tou Do village androute à quel in Gprouvâal $ ti i “ partout, répondait à jose Lea 1, La marche t'ouvrira l’apbé- [rapidement leur marche ° “d'ordinaire quand on avait de la ipui vas attraper un coup de so-|d'été bordait la gri à auel-| da, . te et les rasoirs, le | + le \ app ap d'ordinaire qui . AVE Ja puis tu vas P D ques pas du fleuve. Leur architec- habits, les souliers vernis et les

Vüir f,

ù aim, pas vrai? Tu te rappel ss, and un revenais du collège? ‘#4 Commencement des vacanées Îu

ient ment des touffes paient gloutonne is dévoraient

te-longues herbes

,, ensuite en les secouant dans l'air.

grands des enfants de Phiippe y irent place. Les petits. mangeai- Ent dans la cuisine, à la table de

C'est cela, grand’mère, donnez- moi voire chapeau ‘

Et Gladys bondit les

à travers

yantes, -jeur aspect frêle, disaient assez qu’elles étaient habitées par des citadins en villégiature. Fan- ie,

Dimanche Le lendoinain,, é’était dimanche,

Louise passait alors tout son

monde en revue, inspegtant Jes toi- avait

je dlangeais étais pâ &6 is bi fu aimes tou- . C es À UE La ! : æ : en fut intrigu accur , son jh artnseais pas, ti étais pâle. Te vois bien que famille, Louise, aidée de ses fil-|fraisiers pour sé coiffer de-Vim-iny en. " Qt Le lendemain, Cie lots. s'assurant Qu'on 50) je ji mantéais comme un hom- |jonys Îes pacvats, remarque Bapiis |fe, faisait le service, lFannv n’2-|mense chapeau de paille que ln “Qui demeure ds ce co ae Marre. M rehargée ete [chapelet, son mouchoir et son, li- AR travaillais comme nous au-|ic, tn és bien resté. le MÈRE en til. (vait pas encore fait son apparition, [bonne Marie lui nrésenftail, Elle |demanda-t-elle à Fu : ses chez les Paré, = MORE EC lvre de prières: elle glissait aux jeu- poule Aussi. tu prenais des couleurs m'en doutais un peus, mené delHaroïd non plus, On prit le re-\s’attacha les gorgettes sous le men-|ces. Oh! ce sont nos villégiateurs”, fois, Dans a me fo bane [nes une recommandation picuse. cs der mor De CPP. de, vais te, mont pas grec la UE Pie jovouse lonnibms maniere des Melde”"tout répondit celle-ci. ‘ quet.et Ja veillée de famille. : un mot plus autoritaire aux Frances

vrai

le vivcillard se mit à rire de

ces Souvenirs loinains. - luneois jouissait

Cent d Ë souveraine | et entendre l’incessant .bavar-

co” coté eis sent DUiIn. .

til en étendant le bras” . [À quelque distance s'avanraig

une superbe inument et un poule

Je vais te montrer au Tiens.-regarde, ajouta-

ntinaire. jnin inétré

ractérisait celte. famille joyeuse, plus

Î ’ Uo

exubérante encére qu’à lordi- François se senfait out pé- et rajeuni par cet intérieur. La jeune fille se pencha de nouveau

grand’mère se mit à- rire de fout Son coeur en voyant ce frais visa- se sous un chapeau de paysanne.

r + ns

En effet, des familles des Troie

Rivières venaiént passer saison ‘dans le voisinage.

e +

L'endroit

‘Tous les parents. éloignés, tous les amis des anciens Jours, avaient été prévenus et ne manqueraient

JHaïCons, mesurant ses conseils aux besoins de chacun. .

(à suivre) sde à

.bert puisque M, 4. 0. Brodeur vient ide s'établir parmi®nous avec son

Prince- Albert

épouse. . . & rt —{e maître de poste Laurie a —$Sa Grandeur Mgr Prod'homme recu les instructions suivantes con- a fait, dimanche dernier, sa premit.:cernant le demi cougé proclamé re visite à sa pro-cathédrale de Sas- ‘par le gouvernement fédéral pour satoon depuis son retour de Rome "le jour des élections: le barenu de a pontifié à la grand’messe et poste sera fermé de 1 h, pm. jus- donnd à la population qui eMplis- à 5 hrs pm. et il.n'v aura pas sait Péglise Ia bénédiction papale, de Hivraison à domicile dans l'après A son arrivée à la gare. les “Bov MIGt Scouts” de S. Paul el de Ste Marie’ M, et Mme Vien:, de Crystal lui formérent une garde d'honneur. Spring, font part à leurs amis de la —De son côté Mgr Brodeur se fäissance dune fifle à Phâpital de rendit à S. Louis et Bellevue, À ce la Ste-Famille.

dernier endroit, Les artistes de SR — Prince-Albert répétérent dans la, jeux assembiées politiques soirée Pintéressant programme.

au'ils ont donné ici pour la pre: mière fois en septembre.

Le retour après la veillée fut quelque peu désagréable, La ri- ‘vière à la traverse de S$. Louis charriant trop de glace, ÿl leur fal- lut se rendre à Fenton pour la

Donald. candidat Hbhéral,

l'un des principaux 0-:

culture fut: |

franchir, si bien que le jour com-'rateurs. | Vu,

mençait à poindre lorsqu'ils ren-: M, H. I, Fraser, le prémier à a-

trèrent chacun chez soi. ‘aresser la parole, protesla conire —M, P, de L. Taché, inspecteur l'abus de Puniforme militaire ca-

pour la Banque Canadienne Nalio-jÿnadion daus Ja politique ct défen- nale nous afriva samedi soir d'Ed- dit lPattitude de l'administration monton où il était allé dans l'in- ‘libérale vis à vis les vétérans de la, .tér$t de la Banque. ttuerre ct ceux fui sort devenus co- |

—Mme Brodem de Winnineg a lons. Le causé une agréable surprise à son) M. Meboumd exposn sa volitique fils, M. W. Brodeur et à sn belle- ‘en quelques mots et demanda aix fille en venant les visiter, Elle a électeurs leur sunport pour Île 29 nelobre, se réservant de faire un

maintenant deux fils à Prince-Al.

Le Sanetuaire de

Sainte Thérèse

ane penenn pee prenne te ve ne eq

€

de l'Enfant-désus

PORTER EEE nent

#1 désire aider à In ronstruefion du sanetunire de Sie-Thérèse-del'En- fent-éaus.

presses test

nn ss nm

N. B.—-Nous acceptons des abje’s en ar nour la fabrication qu “Ciboire des pélcrins,”

Prière de ne pas envoyer de papier monnaie, mais faire remise par chèque, bon où mandat de peste.….Adresser comme suit: L'abbé Narcisse Burrell, curé, Sanctuaire de la Petite Thérèse, Wakaw, Sack.

É De

gâchis qui règnait alore, Le gouverneme services de l'administration,

À l'arrivée du per déficit.

De 1919 à 1921, les conservateur: 392.00. . oo |

Bees

Deux ind

‘seinblée en faveur de M. Chs Meci L'hon.{, $ Îs € . ' M. ©. Iunilton, ministre de PAgri-is’est permis d'altirer l'attention de

A vie tout à fait moderne.

trés enviable renonnnée,

L Prince-Alhert mème ct est dirigée

f et après des années de travail et de

AN cnux de l'ouest: élle détruit com-

Réduction de la Dette Nationale $36,304,955.00. - Surplus dans l

| À entendre le® lamentations de M. Meighen et de M. Patenaude, tout va de mal en pis au Canada,—le parti libéral mène le pays tout droit à la banqueroute. ; Au lieu de critiquer aujourd’hui à tort et à travers, si les conservateurs avaient mieux administré le pays, s’il: avaient évité les gaspillages, nous n : deite formidable qui pèse lourdement sur le peuple. | :. ‘ darnais, dans notre histoire, aucun gouvvernement n’eût à faire face à autant d'obli. ‘gations onéreuses que le parti libéral lorsqu'il prit les rênes du pouvoir en 1921. Au nt King a établi une saine économie dans tous les

. Sous l'administration King, au contraire, chaque année a montré un eu à 1924, les libéraux ont diminué notre dette de $82,871,647.00,

Si vous voulez que notre pays soi

emma

sdiscours plus élahoré le 28 actobre au soir.

M. Hamilton, éans un discours bien raisonné insista sur la politi- que tarifaire du parti libéral com-

ime étant la meilleure et° assura que les progressistes pourraient

rendre un plus grand service en s'unissant au parti libéral qu'en restant au lairge dans un-vain ef- fort Voir. Assemblée progressiste Vendredi soir avait licu une att-

billet? Ils sont en vent

our tenir la balance du pott- |

tre grande assemblée en faveur du parli progressiste, FE du parti était venu prêté son con- cours à M. À. Rnox, candidat. L’auditoire a écouté attentive- nent les remarques des différents oratcurs sur les deux autres partis. Mme Sutherland de Shelbrook qui a fa parole facile a dit que M, King premier ministre était venu

ee eee ve meneneet emtomee mn n

M. Forke, chef

dans F'Ouest nous faire la cour et

nous chuchoter des petits

dotix'à Poreille,

mots

ustries frañco-

canadiennes à encourager

Bien des fois déjà Le Patriote ses lecteurs sur ie devoir qui s'im- pose à chacun des 45,009 Franco- canadiens de la Saskatchewan de faire cause eomimmne avec ses com- patriotes el de donner tout sôn an- pui moral ot financier à ceux de

[st rare qui font du commerce ou

sont à la tête de quelque industrie, Peux industries. dultilité très

fgrande dans la province sout éta-

blies dans le diocèse de Mgr Pru- d'homme, Fune à Delmas et l'au- tre à Prinec-Albert.

CA TANNERIE DE DELMAS

Celle de Delmas est une tanne-

M, Nor-

N inandin en est le propriétaire, Sort 4 vepéPience dans le tannage des

peaux el ln confection des cuirs a

institution une Le lra: peu

déih dohné à son

vait qu'on lui à confié d'un

D nartout a été fait avee un tel soin et

à des prix tellemenl modérés que ceux qui en ont hénélicié ne taris-

Ù sent vas d’éloges sur le service que

AI Normandin a rendu à tous les cubivatours de l'Opest en iANallant

if chez eux une industrie de cette sor.

les

Pourquoi vendre vos penux à dès prix ridicules, quand vous pouvez a trés peu de frais en les envovant

à à Delmas vous procurer une grande h abondance

Ce de cuir Wibre quadité? Nous reviendrons sur ée sie,

UNE POUDBRE MERVEILLEUSE ‘

de ‘toute pre-

L'e , PR shit + sd à s'autre industrie a son siège à

par deuk compatriotes: Miles Lepa- Grâce à fleur esprit d'initiative

recherches scientifiques elles sont narventes à crécr une poudre à la- ver qui n'a pas sa pareille.

Elec bel faite exprès: pour les

DETTE NATIONALE ti Hibérel en 1921, chu que année du régime

* SASKATOON. — R. $S, Thorne, marchand de Feani Lake, a été tué

ee mme one

882,871,647.00.

’aurions pas maintenant une - .

| Meighen accusait un n ont augmenté le dette du pays de $225,846,-

rplus. De 1922 - : J

LES NOUVE

plétement es mauvais effets de Palkali. Un peu de cette poudre qui ne brûle pasile linge rend tou- tes les eaux très douces, constitue une, grande économie de savon et fait: durer jes tissus deux fois plus iongtemps, paree qu’elle épargne le trouble de les frotter rudenent les jours de lavage, .

C'est une préparation scientifi- que et non pas le produit du ha- sard: tous les éléments constitutifs sont mêlés dans des proportions mathématiquement exactes pour dissoudre la saleté et les matières srasses qui souillent le linge,

Peur rendre cette industrie pa- vante et lui ouvrir tous les mar- chés, il faudrait des fonds assez considérables à nos braves compa- Iriotes, Ne les avani pas sous Îla main, elles doivent procéder avec lenteur; maAis si tous les marchands dé nos centres franco-canadiens, nos institutions religieuses ct nos bonnes miéres de famille voulaient se donner le mot pour n’emplover que ce produit tout à fait supérieur, en un rien de temps les Frânco-ca- nadiens auraient doté la Saskatche- wan d'une industrie prosnére et é- minemnient utile,

Celle poudre possède en même temps des propriétés curatives mer- veilleuses' pour toutes les affections dé la peut,

Elle se vend au petit paqnet, en caisse de quelques douzaines, en sars de cent livres on au tonneau,

Essayez-la el vous ne . voudrez plus vous en passer

De ges

LLES EN QUELQUES LIGNES

sur a figne du CPR. à une traverse à niveau alors qu'il conduisait une tharge de patates.

; OTPAWA."— Sir Henrv Kelly can, divectour-gérant de la Haw-

[dans un foss

LENS TR URSS Diminution des Dépenses d'Administration exploitation des Chemins de Fer Nationaux $40,000,000.00.

Lorsque les conservateurs étaient au pouvoir, les dépenses d'administration . augmen- taient considérablement cheque année: elles ont augmenté de è 1921. Sous d'administration libérale, loin d’aumenter, ‘et, de ce chef, le gouvernement King a écono misé

| | M. Meighen et les conservateurs qui critiquent si sévèrement ladiminiotration des . h chemins de fer nationaux, ont-ils déjà oublié que ce sont eux qui ont acheté de fer et qui ont chargé le contribuable canadien de cette dette colassale ?

Sous l'administration de M. Meighen, pendant les années 1920 et 1921 des chemins de fer nationaux a accusé un cédicit de $43,000,000.

. ÿ * CI © 67 » e ‘ Lo» e r ® ., Depuis l'avènement du parti libéral, au contraire, l'opération de nos. chemins s'est soldée, chaque année, par un ou s'élève à $40,000,000.09.

+ bien administré, qu'il continue à se développer et

parani les autres nations, votes pour le parti liberai

L | Un vote Libéral signifie: PROSPÉRITÉ, ECONOMIE, Ü

kesburv Lumber Companv, de la 2.CW., 2.33; No, 3 C.W., 2,22; re-

"Se . Trop d'animaux Banque de la Nouvelle-Ecosse et dpi 2,12; voie, 2.34. X 8

que les prix soi

ut le ma

rehé ent bons pour

la Canadian Bank Note Company etl Seigle, — No. 1 C.W., 76 1-6; No. [gras $11.25, et. ns, œ de plusieurs autres entreprises im-|2 C.W., 76 7-8. No. 3 C.W., 68 7-8; pour cent pour les sûte vs de {1 portantes, est décédé à sa résiden-lreieté 2 CW., 67 7-8; rojeté, 66 7-8; ide choix $i1,; moutons * Agnezux ce, succombant en quelques minu-}voie, 76 1-2, . 187.50, . ns de $5, j tes’ à une angine de poitrine, I} é-} M He une " ve tait âgé de 86 ans. arché . iMmaus pa po a 4

é aux animaux de L'Islande n'a pas de dettes, mr,

elle n’a pas fait 1 pas, non plus, bâti de che. fer transcontinentaux. che j RS Les hommes vicillisse que les femmes, Qu rièrent Paul avait 20 bine en avait 19. Au

MONTREAL. — Rosaire Fhibau- deau, 20 ans qui s'en allait à St-Jé- rome, de Shawinigan Falls, dans le but d’y voir dérouler “La Passion”, a-été brûlé à mort au bout de PTle, lorsawil s’est trouvé pris sous son automobile, qui venait de tomber é et qui était en flam-

à guerre: elle ha

nins de |

Prince-Albert

Recu: 104 bestiaux, 33 quelques porcs, . Marché actif. Bonnes vaches de boucherie, 3.à 3 1-2, Bonnes génis- ses 4, moyennes 3 à 4 3-4. Les meil- leurs veaux 4 1-2, Porcs gras 51075,

| | veaux, nt plus vite and ils se ma. : aus et Colon. ourd’hui Pont 4

mes. mr es a 40 ans; mais Colombine 1m ; r 0 * » 9 D AVRRE n'en ; : eee LT | Marché aux animaux de [uue 29. Curieux, n'estce pus? QUEBEC. —- Il v a cette année Winni LE Fo à 19,000 enfants à fréquenter les é- innipeg . L'euthousiasme et les démons. coles dans la ville de Québec. ——— tions bruyantes sont QUES

V souvent 7 | le pour Fignorance, ni “a El

QUEBEC, — La célébration de la solennité de saint Gérard Majclla

en,

: Reçu: 5,800 bestiaux; 1,380 porcs. a coincidé à l’église St-Gérard, a-

vec la cérémonie du départ de ul ntissionnaires rédemptoristes pour |. l’Annam, Indo-Chine où ils vont fonder une mission. Les mission- paires sont les RR. PP, Cousineau, | C.SS.R., supérieur’ de la mission de VPAnnam, Larouche, C.SS.R. -son; compagnon et le R, F. Bornahé, €,

| = n RAA 6 = 4 RC

MONTREAL. — M, Charles Ber- nard, gérant de la sous-succursale de la Banque Canadienne Nationa- le, à Rougemont a été trouvé assas- siné ainsi que sa femme à leur de- meurc, ‘ k

Bay Shore Park, — Le lieutenant James H, Doolittle. pilotant l’avion de course Curtiss de l’armée améri- caine, a gagné le trophée interna- tional Jacaues. IT à atteint la vi- 1esse de 232 milles et demi à l'heu- rè, .

F AP, LÉ

} \

e—- SR nan au on Marché aux grains de Prince- Albert

No. 1, 81.10: No, 2, 1.07: No.

51,02; No, 4, Jde. +:

“Marché aux grains de Winnipeg

À Saskatchewan Product : Ë |

An incomparable

Glass ‘of a!

ALSO | ALE AND .

Blé, — No, { nord, 1.32; No. 2, 1.28 3-4; No. 8, 1.23 3-4 No. 4, 1.17! 1-4; No. 5. 1.06 1-4: No, 6, 88 1-4 fourrage, 76 1-4; voie, 1,31 1-4,

Durum, — No. 1.126 1-4; No..2, 1.24 1-4; No, 3. 1.23 1-4,

Avoine, — No. 2.CW., 51 1-4 : No. 3 GC. W. 44 1-4; extra 1 four- rage, 44 1-4: No. 1 fourrage, 42 1-4; No. 2. 39 1-2: rejetée, .36-1-2:;. voice,

STOUT

| Perfect Brew

“Tue Prince or. Azz Beers”

CENTER a

Orgeit fourrage, 54 4-4: voie, 64 3-4, : Fin. — No. 1 N.W.C., 2,37; No.

48 1-2, ‘ ‘ ‘ Ft EE NE ere APE NA: ï Orge, — No. 8 GW. 65 1-4; No.| À NT SR 4e À #4 C.W. 60 3-4; rejetée, 58 1-4; bus ’ té LA LE SAGE ATE : » RES ô $

PICACARE ES LIPIITER AEUA DES CRT ERAE ES x

DEPENSES D'ADMINISTRATION

$128,386,862.00, de 1919 elles ont diminué chaque année, 836,304,985 de 1922 à 1925. DE FER NATIONAUS ee

CHEMINS

ces chemins

, exploitation

sde fer:

mis our 1922, 1028/et 1924,

qurplus, p

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Qu'il occupe la place qu'il deit avoir

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NITE NATIONALE 0 SOU D ds à VE À EVA GARE. Cut ee Andrew MeDonald, Agent officiel pour Chas. MeDonald.